Newaed {+0,5}

Il devait être très tôt quand Lisa se réveilla dans le champ où elle s'était endormie, le soleil n'avait pas encore perçait[percé] mais il faisait plus clair que le soir même. Il faisait aussi plus clair dans l'esprit de Lisa. Elle se demanda comment elle avait pu en arriver là, comment avait elle pu dormir une fois de plus sans sa famille, sans savoir où se trouvaient ses soeurs et si elle[elles] étaient encore en vie.
Elle se leva et se regarda dans le petit miroir offert par sa mère. Elle passa en revu [revue] ses vêtements, son visage. Elle ne fit rien d'autre et se mit en route. Peu à peu, comme la veille, les souvenirs du chemin qui menait au ranch de son oncle s’éveillèrent en elle. Elle avait oublié tous ses doutes et c'était réveillé en sachant qu'elle allait retrouver son oncle, qui l'attendait peut être et qui avait sûrement la réponse à toutes ses questions.
Elle n'avait plus peur ! Au loin une forêt de sapin se découvrait en même temps que le soleil. Grisée par le paysage magnifique qui l'habillait autrement et plus délicieusement que ses vêtements et se mit à cour [courir]fendant l'herbe sèche sous ses pieds. Elle couru le plus vite qu'elle pu[possible] pendant quelque minute [quelques minutes] puis s'arrêta brusquement[.] elle avait entendu quelque chose, un cri lointain provenant de la lisière de la forêt, [...]rapidement[,] elle vit les premiers arbres s'élever à quelques pas d'elle et la voix se faire de plus en plus proche.
- Allez on ne fait pas monter n’importe qui sur les cinq meilleurs chevaux de l'écurie.
Lisa eut un soupir de soulagement, sa destination finale se rapprochait.
Puis un sentiment irrésistible l'envahie[envahit], elle voulait voir se[ce] qui se passait et qui était la propriétaire de cette voix autoritaire[:] après tout, il était très tôt son oncle dormait peut être encore... Elle fit quelques pas, s'arrêta derrière un arbre ou personne ne pouvait la voir.
Elle s'accroupit : devant elle il y avait une carrière ou[où] cinq chevaux et leurs cavaliers, ainsi que la femme qui criait, s'entraînaient. Le paysage était magnifique, un trait de lumière unique filtrait au milieu des arbres et éclairé [éclairait]la clairière en faisant briller le pelage des animaux,[:] deux était d'un noir pur, deux blanc nacrée [nacré] et le cinquième avait une robe couleur feu.
Le cavalier du cheval de braise était étonnamment[étonamment] jeune : il devait avoir environ deux ans de plus que Lisa.
La voix de la femme qui les entraînait s'éleva une nouvelle fois :
-Hezibiza, dit elle en se tournant vers le cheval, et Newaed dit elle au cavalier, vous allez nous montrer se qu [ce que]vous savez faire....
Newaed ne se le fit pas dire deux fois, sur son visage ses deux yeux couleur bleu mer s'écarquillèrent et il lança son cheval au galop dans une suite de cabrioles incroyable[incroyables]. Lisa, derrière son arbre[,] resta figé, [:] elle ne savait pas qui du cavalier ou du cheval l’impressionnait le plus.