La nuit est tombée depuis plusieurs heures déjà. Son infini manteau noir est parsemé de millions d'étoiles. La lune se reflète sur la mer, paisible. Les vagues s'échouent sur le sable ou viennent caresser les pieds des falaises obscures.
En haut, la légère brise agite doucement les longues étendues d'herbes. Elles s'étendent à perte de vue, rien ne les pertube.
On pourrait croire cet endroit vide de toute vie, mais au milieu de cette immensité se détache une masse blanche... Un cheval...
Il galope sans s'arrêter, chacune de ses foulée
s venant troubler le calme environnant. Une jeune fille est juchée sur son dos, la tête enfouie dans l'épaisse crinière de sa fidèle monture. Ils semblent ne faire qu'un. Désormais ils seront seuls face à l'inconnu...
Grâce à lui, elle a fuit ce monde qui lui pesait tant...
Beau texte, tu aurais pu encore exploité l'idée, doubler le nombre de lignes sans que cela paraisse trop lourd... Alongé encore la description de la mer en utilisent les autres sense que la vue uniquement ( ex: le bruit des vagues, le sel etc...) tu l'as fait un peu mais pas assez.
Les vagues s'échouent sur le sable
ou viennent caresser les pieds des falaises obscures.
Je pense qu'il est possible de trouver une meilleur tournure de phrase en cherchant...
Mmmh je te propose :
- Traversant le sable de leur écume les vagues caressent les pieds des falaises
enfin à toi de trouver mieux.
Grâce à lui, elle a fuit ce monde qui lui pesait tant... Idée, beauté caché du texte : 0.20 /0.25
Orthographe, construction des phrases :0.20 /0.25
Figure de style, effet : 0.20/0.25
Note finale : 0.6/0.75