Rain

La pluie tombait du ciel, perçait les nuages, s'écrasait sur le sol en grosses gouttes régulières.
Malgré l'imperméable qui lui recouvrait le corps, elle se sentait geler de l'intérieur, mouillé à l'extérieur et si seule... Elle n'avait pour compagnie que la pluie ou le soleil et ce coin perdu était encore pire que d'habitude. Elle n'aimait pas cet endroit, elle n'avait pas confiance, elle ne pouvait laisser le vent jouer avec ses cheveux, elle ne pouvait faire ce qui lui plaisait, la pluie l'obligeant à rester dans la foret près de la route à attendre désespérément que par un hasard quelqu'un passe enfin.
Mais s'arrêterait-il ?
La société était devenu si cruelle si affreusement horrible. Quelqu'un aurait-il pitié d'elle, s'arrêterait-il sur le bord de la chaussé pour la déposé dans un autre endroit ? Tout sauf celui-ci, tout sauf ici. Pourquoi une telle peur, pourquoi une telle frayeur alors qu'elle ne connaissait rien ici, qu'elle n'était là que depuis quelques heures seulement ?! Elle ne connaissait pas cette impression mais ne l'aimait pas. Elle avait peur, une peur qu'elle ne connaissait pas. Elle n'aurait voulu croiser personne mais aurait suivit n'importe qui.

Elle enleva sa capuche, se sentant à l'étroit, ayant marre de cette sensation mouillé sur le haut du front. Elle leva son visage vers le ciel gris, laissant les gouttes s'écraser sur sa peau blanche et purifier son esprit. Elle redressa la tête, inspira profondément et regarda autour d'elle. Et, l'improbable se produit. Des phares percèrent la fine couche de brouillard. Une voiture approchait. Elle tendit le pouce en position d'autostoppeuse et la voiture s'arrêta. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Elle s'empressa de rejoindre son nouveau moyen de transport et entra à l'avant à côté du passager, un homme d'une trentaine d'année soit âgé de quelques 10 ans de plus qu'elle. Il devait se poser beaucoup de questions sur sa présence ici mais eu le tact de n'en poser aucune. Elle eu aussitôt confiance en lui. La conversation fut gaie et animée entre les deux jeunes gens et elle se confia un peu trop sans qu'il ait eu besoin de l'inviter à cela.
Cependant, lorsqu'il arrêta de nouveau la voiture, il se pencha vers elle et fit courir ses mains sur son corps frêle. Elle n'aurait jamais accepter cela au par avant mais une humiliation de plus ou de moins... Et ne se sentant pas de taille à lutter, elle le laissa faire. Il savait cependant qu'il le faisait par la force, elle lui avait demandé de s'arrêter, il avait continuer. Elle lui avait dit de ne pas dégrafer son soutien-gorge, il ne l'avait pas écouté et maintenant, des larmes coulaient le long de ses joues mais il n'arrêtait pourtant pas les mouvements, il ne s'arrêtait pas et lui voler son intimité...
Et sur son visage d'homme l'expression était devenu tellement plus cruelle que maintenant elle avait peur, elle se sentait si petite, si frêle, sans défense. Elle ne bougea pas son corps mais il avait bien plus de force qu'elle et la soulevait comme une poupée en papier. Une fois qu'il eu satisfait son désir, il n'eut d'ailleurs aucun mal à ouvrir la portière et la pousser dehors, à peine rhabillée. Elle se retrouva alors allongé sur le bitume n'ayant même plus la force de se lever. Elle savait que sa fin approchait. Elle restait inerte, roué sur les coup des gouttes, transit par le froid et petit à petit la vie quittait son corps d'oiseau, pour la laisser là étendu sur le sol. Elle ferma finalement les yeux pour ne plus rien sentir et s'évader dans ces rêves de petites filles, qui ne resterait que des rêves...

Quelques jours plus tard, son corps fut découvert...

Rain 788155029

Ouh c'est glauque !

J'aime toujours autant ton style
C'est bizarre, je trouve surtout des fautes vers la fin: Peut-être étais-tu déconcentrée?

Citation :

La pluie tombait du ciel, perçait les nuages, s'écrasait sur le sol en grosses gouttes régulières.
Malgré l'imperméable qui lui recouvrait le corps, elle se sentait geler de l'intérieur, mouillé [mouillée] à l'extérieur et si seule... Elle n'avait pour compagnie que la pluie ou le soleil et ce coin perdu était encore pire que d'habitude. Elle n'aimait pas cet endroit, elle n'avait pas confiance, elle ne pouvait laisser le vent jouer avec ses cheveux, elle ne pouvait faire ce qui lui plaisait, la pluie l'obligeant à rester dans la foret près de la route à attendre désespérément que par un hasard quelqu'un passe enfin.
Mais s'arrêterait-il ?
La société était devenu si cruelle si affreusement horrible. Quelqu'un aurait-il pitié d'elle, s'arrêterait-il sur le bord de la chaussé pour la déposé [déposer] dans un autre endroit ? Tout sauf celui-ci, tout sauf ici. Pourquoi une telle peur, pourquoi une telle frayeur alors qu'elle ne connaissait rien ici, qu'elle n'était là que depuis quelques heures seulement ?! Elle ne connaissait pas cette impression mais ne l'aimait pas. Elle avait peur, une peur qu'elle ne connaissait pas[répétition] Elle n'aurait voulu croiser personne mais aurait suivit n'importe qui.

Elle enleva sa capuche, se sentant à l'étroit, ayant marre de cette sensation mouillé[mouillée] sur le haut du front. Elle leva son visage vers le ciel gris, laissant les gouttes s'écraser sur sa peau blanche et purifier son esprit. Elle redressa la tête, inspira profondément et regarda autour d'elle. Et, l'improbable se produit. Des phares percèrent la fine couche de brouillard. Une voiture approchait. Elle tendit le pouce en position d'autostoppeuse et la voiture s'arrêta. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Elle s'empressa de rejoindre son nouveau moyen de transport et entra à l'avant à côté du passager, un homme d'une trentaine d'année[années] soit âgé de quelques 10 ans de plus qu'elle. Il devait se poser beaucoup de questions sur sa présence ici mais eu le tact de n'en poser aucune. Elle eu aussitôt confiance en lui. La conversation fut gaie et animée entre les deux jeunes gens et elle se confia un peu trop sans qu'il ait eu besoin de l'inviter à cela.
Cependant, lorsqu'il arrêta de nouveau la voiture, il se pencha vers elle et fit courir ses mains sur son corps frêle. Elle n'aurait jamais accepter[accepté] cela au par avant mais une humiliation de plus ou de moins... Et ne se sentant pas de taille à lutter, elle le laissa faire. Il savait cependant qu'il le faisait par la force, elle lui avait demandé de s'arrêter, il avait continuer[continué]. Elle lui avait dit de ne pas dégrafer son soutien-gorge, il ne l'avait pas écouté et maintenant, des larmes coulaient le long de ses joues mais il n'arrêtait pourtant pas les mouvements, il ne s'arrêtait pas et lui voler[Lui volait] son intimité...
Et sur son visage d'homme l'expression était devenu[devenue] tellement plus cruelle que maintenant elle avait peur, elle se sentait si petite, si frêle, sans défense. Elle ne bougea pas son corps mais il avait bien plus de force qu'elle et la soulevait comme une poupée en papier. Une fois qu'il eu satisfait son désir, il n'eut d'ailleurs aucun mal à ouvrir la portière et la pousser dehors, à peine rhabillée. Elle se retrouva alors allongé[allongée] sur le bitume n'ayant même plus la force de se lever. Elle savait que sa fin approchait. Elle restait inerte, roué [rouée] sur[sous?] les coup [coups] des gouttes, transit[transie] par le froid et petit à petit la vie quittait son corps d'oiseau, pour la laisser là étendu [étendue] sur le sol. Elle ferma finalement les yeux pour ne plus rien sentir et s'évader dans ces rêves de petites filles, qui ne resterait[resteraient] que des rêves..

Sinon j'aime beaucoup les adjetifs que tu utilises pour la jeune femme, on a tout au long du texte cet sensation de fragilité, de désespoir, c'est très bien vu
Le petit détail qui me gène un peu, c'est qu'on a une très grande description du moment où elle attend alors qu'il ne se passe pas grand chose, et quand il se passe quelque chose (ne serait-ce que leur conversation) c'est beaucoup plus écourté.
D'un autre côté j'adooore le fait qu'on ne sache absolument rien d'elle.
Voilou bonne continuation !

Ouai, ça me paraissait bizarre aussi qu'à la fin le correcteur d'orthographe ne me trouve plus de fautes. Il a dû en avoir trop au début alors... Razz

Si la description du début où elle attend est un peu (un peu trop peut-être ^^) c'est pour créer l'ambiance autour du personnage. Peut-être plus pour moi que pour le lecteur ^^
Faudrait que tu me donnes des cours privée d'orthographe, je vais avoir des points en moins au bac Razz

(déjà que j'en ai pas beaucoup en français xD)

J'aime beaucoup cette nouvelle(surtout la fin *BAAAF*), ta façon d'écrire.
Comme l'a dit CindyShady(Naa, pleins de lettrees ! *-* Suuurnom !), tu as très bien fait ressortir la fragilité du personnage -si fragile elle est bien. ^^
Le fait que tu ne donnes que très peu de détails à la fin rend plus... "Mystérieux", j'aime bien.

Bravo ! ^_^
(Et j'en veux encore une avec un décès -ou, mieux un meurtre- à la fin ! *BLAM*)

Sa dépend de mon humeur mon comment j'écris et en ce moment, ch'uis d'bonne humeur alors ce sera plus papillon et fleurs bleu que foret noire et gros orage xD
Merci pour les compliments et j'essayerai de te concocter un petit truc comme tu as l'air de les aimer un de ces jours Razz

xD

J'aime les policiers, surtout ceux avec des meurtres en série. xD
Et j'aime quand il y a des meurtres dans les histoires... ^^'

Nyyoo, mercii ! ^^ *-*

Ahen... Je peux te surnommer Nyne ? *BAF*