Concours N°1: A partir d'un résumé

Alors, pour ce premier concours, vous allez me travailler les sentiments.
Le gagnant sera celui qui aura suscité le plus d'émotion!
Alors mettez-vous à la place du personnage, essayez de le faire vivre !!

Voici un petit résumé. A vous de le détailler, d'insister sur ce que vous jugez important.

Elisabeth avait rencontré un chien errant. Il lui a plut, et comme il était très maigre, elle l'a ramené chez elle.
Elle lui a donné à manger, pas grand chose car elle n'avait rien d'adapté. Son père regardait l'animal d'un oeil sévère.
Elisabeth part acheter de la nourriture plus adéquate, pour chiens, et quand elle revient elle apprend que son père a appelé la fourrière. Le chien n'est plus là.

Vous décidez de l'âge et de l'apparence des héros, de leur caractère etc..
Comme ça ça ne paye pas de mine, mais je vous garantie que vous pouvez nous arracher des larmes en le travaillant au maximum

Pour vous aider, voici quelques possibilités:
-La rencontre
-La reconnaissance du chien
-La déception du personnage principal.

Il y a d'autres choses que vous pouvez développer, bien entendu

Date de fin du concours indeterminée. Une chose est sûre, vous avez au moins jusqu'au 5 Novembre. Après, tout dépend du nombre de participants.
Vous posterez à la suite, je compte sur vous pour ne pas copier bêtement les idées sur quelqu'un d'autre

A gagner:

1er Prix: 4 points d'écriture
2ème Prix: 2 points d'écriture
3ème Prix: 1 point d'écriture.

Voilà, je me lance :

Elisabeth était une fillette de 10 ans.
Elle vivait avec son pére dans une petite maison au nord de Londres. C'était une petite fille tout ce qu'il y a de plus adorable : elle était gentille, attentionnée et incapable de faire du mal à quelqu'un.
Aujourd'hui, elle était habillée d'une petite robe pastel avec un gilet bleu clair. Ses cheveux dorés étaient attachés en une queue-de-cheval et ses yeux bleus brillaient.
Elle avait eue une bonne note en Mathématique, alors elle était contente. Elle trouvait que c'était une chose capitale d'avoir de bons résultats, ainsi elle ne posait pas de probléme à son pére. Elisabeth ressentait également un peu de fierté : elle était la seule de sa classe à avoir eu un 20/20.
A l'angle d'une rue, elle se trouva nez à nez avec un grand chien.
La petite fille recula instinctivement de 3 pas mais elle se rendit vite compte que ce chien-là ne lui ferai aucun mal.
Le chien était maigre, horriblement, atrocement maigre. Elisabeth voyait même la plupart de ces os. Son pelage gris était sale, en bataille et plein de puces. L'animal leva ses yeux vers Elisabeth qui eut un pincement au coeur.
Le chien la regardait avec des yeux si tristes, si abbatus qu'on aurait dit qu'il en avait marre de la vie. Il boitillait et reniflait le sol à la recherche d'une quelquonque nouriture.
Si vous avez déjà croisé dans le rue un chien errant, vous savez alors ce qu'on ressent au fond de nous même. La vue de ce pauvre animal abandonné, perdu et livré à lui-même nous donne souvent envie de pleurer. On voudrait prendre ce chien dans nos bras, le caresser, le cajôler pour qu'au moins un tout petit peu d'amour égaie sa pauvre vie. On voudrait l'aider, le nourrir, le garder avec nous, le sauver de ce triste sort. On voudrait que ces gens immondes qui arrivent à abandonner leur animal juste pour pouvoir partir en vacances soient punis, qu'ils voient ce qu'ils ont fait. Mais généralement, tout ceci est impossible. C'est çà le pire.
Elisabeth ne put s'empêcher de verser quelque larmes en voyant ce pauvre chien grignoter quelques brins d'herbes. Elle n'hésita même pas.
Elle s'approcha du chien et le caressa gentiment. Elle réussit sans probléme à le rassurer et le chien la suivit au travers des rues.
" Viens, entre ! "
Elisabeth ouvrit la porte et laissa entrer le chien. Celui-ci s'arrêta sur le seuil, comme s'il n'osait pas aller plus loin, de peur qu'on le remette dehors.
Elisabeth le fit avançer jusqu'à la cuisine en lui parlant gentiment. Elle lui servit une écuelle d'eau et une assiette de pâte trouvée dans le frigo qu'elle réchauffa.
Le chien renifla l'assiette mais il n'y toucha pas. Il leva ces yeux tristes vers Elisabeth, comme s'il attendait son autorisation.
" Vas-y, mon beau ! Mange ! "
En le regardant manger comme s'il n'avait pas touché à de la nourriture depuis des mois, la fillette eut encore mal au coeur. Si çà se trouve, ses anciens maîtres le battait et lui interdisait de toucher à de la nouriture, songea-t-elle avec un mélange de pitié et de révolte.
Elisabeth trouvait çà abominable. Est-ce-qu'un être humain serait capable de faire une chose pareille ? Apparement, oui ...
A ce moment là, le pére d'Elisabeth entra.
Il avait le visage renfrogné : visiblement sa journée s'était mal passée.
Il s'arrêta net en voyant le chien au-milieu de la cuisine.
" Qu'est-ce que c'est que çà ?! " aboya-t-il.
Le chien gémit et se coucha, les oreilles en arriére, le corps tremblant.
" Papa, je t'en prie ! Tu lui fait peur ! " s'écria sa fille.
L e pére répondit d'un grognement, regarda le chien d'un oeil noir et sortit de la cuisine en pestant.
Elisabeth se détendit un peu et carressa le chien pour le rassurer.
" Ne t'inquiéte pas, tout va bien. "
Elle se releva et réfléchit un instant. Son protégé avait bien besoin d'un bain, mais il était urgent d'aller acheter de la nourriture adaptée. Elle se décida rapidement.
Elisabeth attrappa le porte-feuille de son pére et s'agenouilla prés du chien qui la regardait tristement.
" Ne t'inquiéte pas, je reviens. Je vais t'acheter à manger. "
Le chien gémit et cala sa tête entre les bras de la fillette.
" Je reviens, je te le promet. Tu entends ? Je ne t'abandonnerai pas. Je ne ferait pas comme tes anciens maîtres, je te le jure ! Tu vivras ici maintenant, tout va bien. Je t'aime mon chien. "
Elle embrassa la tête du chien et lui sourit.
" Je reviens, je te le jure. Je ne te laisserai jamais seul. "
Elisabeth se leva et traversa le salon. Son pére lisait le journal sur le canapé.
" Où vas-tu ? " demanda-t-il.
" Je vais chercher de la nourriture pour le chien. IL est trés maigre, je vais le soigner. "
Et elle sortit rapidement, de peur que son pére ne l'arrête.
Si elle ne serait pas partis si vite, elle aurait remarquer le regard étrange de son pére. Un regard qui ne disait rien qui vaille.
Elisabeth arriva rapidement au supermarché.
Elle alla au rayon des animaux et choisit avec soin la nouriture de son chien, ainsi qu'un collier et des jouets.
" Voilà ! Cà devrait lui plaire ! "
La fillette passa à la caisse et sortit dans l'air frais de cet fin d'aprés-midi.
En marchant, elle souriait. Elle se sentait bien, elle était rassurée pour son nouveau chien. Elle ne l'abandonnerai jamais et elle lui donnerai de l'amour chaque jour. Elle ne voulait surtout pas que le chien revive son cauchemar passé.
Elisabeth rentra dans sa maison par la porte de derriére qui menait directement à la cuisine.
" Je suis rentrée ! Où est-tu mon petit chien ? "
Le chien n'était pas dans la cuisine. Elisabeth déposa ses achats sur la table et entra dans le salon.
" Le chien ! Où est-tu ? "
Pas là. Ni dans le couloir, ni dans le bureau.
" Le chien ! " appella Elisabeth en sentant la panique la submerger.
Elle courut dans les chambres, à la cave, dans tous les coins de la maison en criant.
C'est en passant devant la fenêtre du salon qu'elle remarqua qu'un camion était garé devant la maison. Sur son flan, il y avait un sigle qu'elle connaissait que trop bien.
La fouriére.
" NOOON !!!!! " hurla-t-elle en ouvrant violement la porte d'entrée.
Son pére était debout sur le trottoir et adressa un signe de la main au conducteur qui démarra son véhicule.
" NON !!! cria-t-elle de nouveau en courant vers le camion. Le chien !!! "
Elle apperçut son chien, dans la cage à l'arriére du véhicule.
Il avait l'air plus abbatus que jamais, et il était couché, le regard vide.
" Le chien !!! "
Le chien leva sa tête vers Elisabeth.
Son rgard était étrangement calme, comme s'il se doutait de ce qui allait se passer.
" Noooon !!! "
Elisabeth pleurait et se mit à courir aprés le camion qui emportait son chien.
Elle n'avait jamais éprouvait autant de tristesse et de détresse à la fois.
Elle eut juste le temps d'apperçevoir une derniére fois le chien qui la regardait fixement, avant que le camion ne tourne à l'angle d'une rue et disparraisse de sa vue.
Elisabeth resta là à pleurer, pleurer, pleurer et pleurer encore et encore.
Elle ne voulait pas se retourner et voir son traître de pére, elle ne voulait pas que les passants la regardent d'un air hébété, elle ne voulait pas que son chien lui soit enlever, elle ne voulait rien.
Tout ce qu'elle voulait, c'était qu'on offre une chance à ce pauvre chien.
Mais alors que la chance était en train de lui sourire, tout était retombé. Elisabeth en voulait à tout le monde : à son pére, au chauffeur,à la fouriére et même à elle-même.
Mais le pire était qu'à cause de la trahison de son pére, elle ne pourrait jamais tenir la promesse qu'elle a faites à son chien.
" Je ne t'abandonnerai pas, je ne te laisserai jamais seul. "
Pourtant, c'est bien ce qu'elle est en train de faire.

Voilà !!!
Ouah, çà m'as pris plus longtemps que prévu ! ^^
J'espére que vous aimerai bien !

Allez, je me lance! Mes débuts en écriture! C'est partie!(c'est bien pour ne pas laisser Lola toute seule^^)

C’était un matin de novembre, un matin comme les autres. Il faisait froid mais Elisabeth ne se pressait pas, emmitouflée dans son manteau et son écharpe de laine. La fillette se rendait à l’épicerie, a coté de chez elle. Bien qu’elle n’ait que 9 ans, sa mère ne craignait pas de l’envoyer seule à l’épicerie, car le magasin était tout près. Ce jour-là, sa mère devait partir pendant que la petite fille irait chercher le pain, mais elle avait promis de rentrer le plus tôt possible. Elisabeth était partie vers l’épicerie tandis que sa mère s’en allait. La petite fille était rousse, le nez criblé de taches de rousseur. Elle n’était pas bien grande. Elle marchait tranquillement, regardant les passants pressés et les boutiques lumineuses qui présentaient déjà des produits de noël. Elle flânait, collant le nez aux vitrines, observant les oiseaux qui volaient çà et là vers les cheminées, pour se réchauffer…Elle entra dans le magasin et acheta une baguette ainsi qu’une brioche, comme l’avait demandé sa mère. Elle paya, mis ses achats dans son sac et poussa la porte. Elle sortait de l’épicerie le sac à la main, quand elle entendit un gémissement. Il provenait d’un cul-de-sac où étaient rangées de grosses poubelles. Elle s’arrêta, écouta. Il y eut un silence puis soudain la plainte recommença, faiblement. La petite fille s’approcha des poubelles et regarda vers le fond, contre le mur. Elle se pencha et aperçut alors, couché sur les sacs poubelles entassés, un petit chien noir et blanc, maigre comme un clou, le poil sale et emmêlé. Elle s’accroupit à côté de lui, fascinée, et posa son sac.
-Oh, pauvre chien…murmura-t-elle.
Il était en piteux état. Son poil était rêche, de la boue sèche était collée à son ventre. Il était si maigre qu’on voyait ses côtes. Il tremblait, sans doute plus de froid que de peur. La fillette tendit la main pour le caresser. Il leva un peu la tête puis se laissa faire. Elle lui gratta les oreilles et lui caressa le front.
-Mon pauvre, tu as froid, c’est ça ? dit-elle d’une voix douce.
Elle déroula son écharpe et l’enroula délicatement autour du petit chien. Puis elle le prit dans ses bras, ramassa le sac et sortis dans la rue. Elle rentra chez elle en faisant attention de ne pas faire tomber son protégé. Elle passa par la porte d’entrée. Sa mère n’était pas encore revenue, elle n’allait pas tarder. Elisabeth déposa le chien sur la moquette du salon et alla dans la cuisine. Elle voulait lui donner à manger. Elle grimpa sur une chaise et ouvrit la porte du placard. Elle fouilla le meuble mais ne trouva pas quelque chose qui convienne. Alors elle eut une idée. Elle prit son sac et sortis le pain. Elle en coupa une bonne partie et revint vers le chien. Il engloutit avec délice le morceau qu’elle lui tendait. Comme il ne semblait pas rassasié, elle coupa un autre morceau du pain, puis un autre, et encore un autre. Bientôt il ne resta plus qu’une moitié de pain. Elle décida alors de donner la brioche au chien. Elle lui donna plusieurs bouchées et le regarda les avaler goulûment en rigolant. Soudain elle entendit du bruit : sa mère venait de rentrer. Elle pénétra dans le salon et vit le chien qui mangeait la brioche.
-Elisabeth ! Qu’est ce que c’est que ça ? Qu’est ce que ce chien fait ici ! s’écria-t-elle.
La fillette sourit.
-Tu a vu comme il est beau ? Il avait faim, je l’ai ramené chez nous ! C’est mon chien maintenant !
-Tu rigoles ? Non mais tu as vu ce chien ? Il est maigre, crasseux, sûrement plein de puces !
-Qu’est ce qui se passe ici ? dit le père, qui venait de rentrer. Quand il découvrit le chien, il s’exclama :
-Qu’est ce que c’est que ce chien errant ?
-C’est Elisabeth qui vient de ramener cet animal ! Elle l’a ramassé dans la rue !
-Voyons, Elisabeth, va remettre cette bête là ou tu l’as trouvé ! Il a peut être des maladies, il est si sale ! Et si maigre !
La fillette ne comprenait pas la colère de ses parents. Qu’est ce qu’il y avait de mal à ramener un pauvre chien perdu ? Elle prit le chien dans ses bras et dit d’une voix tremblante :
-Je peux le garder, s’il vous plait ? Ca sera mon chien !
Ses parents déclarèrent finalement :
-Bon, tu le garde aujourd’hui et demain on verra ce qu’on n fait.
Ils regardèrent d’un œil mécontent l’animal qui s’était couché sur la moquette et remuait la queue. La mère alla dans la cuisine tandis que le père observait le chien d’un air dégoûté. Elisabeth lui donna encore un morceau de brioche.
Sa mère revint soudain. Elle tenait la moitié du pain à la main et était très en colère.
-Elisabeth ! Où est passée l’autre moitié de ce pain ? Et la brioche que je t’avais demandé de ramener, où est elle ?
-Elisabeth, d’où vient la brioche que tu viens de donner à cet animal ?demanda sévèrement son père.
Elle ne répondit pas et baissa la tête.
-Alors ? demanda sa mère en haussant la voix.
-Il avait faim…je lui ai donné du pain et comme il avait encore faim, je lui ai fait manger la brioche…
-Mais voyons ! Bien sur, on te demande d’acheter quelque chose et tu le donnes à cet animal !
-Retourne à l’épicerie et rachète une brioche ainsi que de la nourriture plus adaptée pour ce chien, dit sa mère, un peu radoucie.
Elle sortit de la maison et retourna au magasin, heureuse. Elle ne se pressa pas, confiante. Elle demanda de la nourriture pour chien, le vendeur lui demanda quel genre de nourriture. La fillette hésitait. Comme elle était indécise, le vendeur lui donna un paquet de croquettes. Elle allait partir quand elle se rappela qu’elle devait acheter une autre brioche. Elle rentra avec les achats. En entrant dans la maison, elle appela :
-Le chien … Le chien…
Il n’y eut aucun bruit. Elle alla dans la cuisine. Sa mère nettoyait des verres. La fillette posa le sac sur le meuble et demanda :
-Maman, il est où le chien ?
Sa mère ne répondit pas.
-Il est où, le chien ? Insista-t-elle.
Alors sa mère posa le verre sur le meuble et dit d’une voix calme et posée :
-Elisabeth, tu sais ce que ton père et moi pensons de ce chien…tu l’as ramassé dans la rue, il est sale, il a sûrement plein de puces et des maladies ! C’est pourquoi…ton père a appelé la fourrière et ils ont emmené le chien.
Les yeux de la fillette s’embuèrent de larmes. Ses lèvres se mirent à trembler.
-Non…mon chien…sa voix se brisa. Elle éclata en sanglots et courut dans sa chambre. Elle s’effondra sur le lit, en pleurs, et demeura allongée à déverser sa peine. Les larmes coulaient à flot et dévalaient ses joues. Elle resta là sans bouger, continuant de pleurer. Peu de temps après, la porte de sa chambre s’ouvrit et sa mère entra. Elle s’assit sur le lit et posa sa main sur l’épaule de sa fille.
-Elisabeth…commença-t-elle, tu sais, je pourrai…t’emmener le voir à la fourrière et… on peut vérifier si il n’a pas de maladies…et si il n’en a pas, on pourrait…
-Je pourrai le garder ? demanda-t-elle en levant la tête, pleine d’espoir.
-Non, je n’ai pas dit ça…je ne veux pas de chien à la maison. Mais on pourrait essayer de trouver quelqu’un qu’on connaît qui veuille bien le garder, comme ça tu pourrais aller le voir souvent…D’accord ?
La fillette hocha tristement la tête et s’appuya en reniflant contre l’épaule de sa mère.

Quelques minutes plus tard, la voiture que conduisait sa mère roulait en direction de la fourrière.
-Je ne suis pas sûre que le camion où il y avait le chien soit déjà là, car ils allaient chercher d’autres chiens après.
Lorsqu’ils arrivèrent devant le bâtiment de la fourrière, un camion venait de s’y arrêter. Elisabeth sortis et s’avança sans attendre sa mère. Elle vit un homme sortir du véhicule, le chien qui se débattait dans les bras.
Elle courut vers l’animal en criant « Le chien ! Le chien ! »L’animal aboya. La petite fille éclata en pleurs tandis qu’elle courait vers le camion. Alors tout se précipita. Le chien échappa à l’homme qui le tenait et s’enfuit en courant. La fillette courut derrière lui en pleurant et en répétant désespérément « Mon chien ! Mon chien ! »
Une voiture déboucha du tournant de la rue. Un cri s’étrangla dans la gorge de la mère de la fillette. Le chien fonça droit sur le véhicule, affolé. Elisabeth cria. La voiture freina dans un crissement de pneus. Mais il était trop tard. Le chien fut percuté de plein fouet et atterrit lourdement sur le goudron. Il poussa un cri déchirant. La fillette, en larmes, s’accroupit devant l’animal qui gisait sur la route. Elle posa sa tête contre le corps du chien. Elle le caressa, pleurant toujours. Il gémit et la regarda avec des yeux tristes. Il comprenait. Elle comprenait. Mais elle ne voulait pas. Il tourna la tête et poussa un profond soupir. La fillette déposa un baiser mouillé sur le front de l’animal, et la vie le quitta. Sa tête retomba. Il ne remua plus. Et la petite fille resta là, près de lui, ne pouvant calmer ses pleurs. Il était partit pour toujours. Et il lui manquait déjà terriblement. En quelques heures, elle s’y était attaché énormément, et elle n’imaginais pas pouvoir à présent vivre sans lui. Mais c'était pourtant ce qu’elle devrait faire.

Bon, c'est un peu plus long que prévu...je ne me suis pas apercue de la longueur quand je l'ai tapé sur word!

Je participe... Mais je ne saurais le faire que pour le 7 janvier...

Ben va pour le 7 alors

Il étais déjà tard, pas loin de 21 heures... Le soleil était déjà couché, ne brillant plus dans le ciel bleu devenu noir... C'étais en hiver, les jours étaient très courts et Elisabeth rentrai de l'école. Elle allais se faire engueuler par son père qui devait déjà l'attendre depuis plusieurs heures... La jeune fillette mesurait 5 pommes bien rouges, les joues rosées, ses chevaux bruns accompagnés de belles et fines mèches blondes, lui donnant un air angélique.
En vérité, notre poupée revenait aussi tard car elle avait été collée... Pour avoir mis des punaises sous a chaise du professeur de mathématique. Vous pensez bien que ça ne lui a pas vraiment plu, le pauvre... Il l'a empoignée par le bras gauche, la soulevant de sa chaise, faisant voler, sans faire exprès, sa jupe aux couleurs provencales pour le plus grand plaisir des garçons...
Le Directeur fit assoir Elisabeth à une table et lui donna quelques dizaines de feuilles de français, grammaire et autres matières plus ennuyantes les unes que les autres... Elle du s'executer pendant de longues heures, obligeant le Directeur à rester à l'école... Elle décocha un sourire à sa bouche fermée, gelée par le froid et l'humiditée... Elle donnerais tout pour êter assise à une table, un chocolat chaud entre les mains... Déjà elle s'emportait dans ses pêchés horribles de gourmandises... Des sucreries, un chocolat chaud pour la réchauffer... Tout ce dont peut rêver une jeune fillette de 8 ans...
Soudain, Elisabeth sentit de l'eau tiède sur sa cheville gauche, comme un suson... Elle sursauta et ouvrit ses yeux, étonnée et horrifiée... Elle avait marché dans une flaque d'eau ? La neige commencait-t-elle à tomber ? Non... Elle secoua éperduement sa tête de droite à gauche, cherchant l'auteur de cette bizarerie... C'est alors qu'elle apperçut, à ses pieds, un petit chiot de couleur beige, les yeux à peine ouverts... Elle fixa son regard sur cet animal, si mignon, qui avait déjà une petite place dans son coeur...
Le chiot de race labrador la regardais, comme suppliant de lui donner un peu de chaleur, de bonheur, de réconfort... Et sourtout, à boire et à manger. Le fillette ne pu s'empêcher de s'abaisser, soulevant légerement sa jupe pour qu'elle ne se mouille pas, et elle caressa tristement la tête du chien... Celui ci lui répondit d'un doux et long aboiement, faisant preuve de reconnaissance et de remerciement. Elisabeth fouilla ses poches à toutes vitesse, espèrant trouver quelque chose pour ce pauvre chien abandoné dès sa naissance, dans la rue... Mais, elle ne trouva rien. Juste un petit bout de papier...
Pour consoler le chien, elle l'atteappa et le serra dans ses bras, contre son ventre, lui apportant chaleur. Bien décidée à s'en occuper, elle mit son cartable quelle tenait jusqu'à maintenant à sa main gauche, sur son dos, le chiot dans ses deux mains, encore plus gelée qu'avant. Mais elle s'en fichait totalement, même royalement, tout ce qu'elle voulait, c'étais que ce chien rentre avec elle...

Sur le chemin du retour, Elisabeth se décida à lui trouver un nom. Il falait bien qu'elle l'appelle... Au bout d'une longue hésitation, elle trouva un acccord de toutes les conditions sur "Petite Plume"... Mais au fond d'elle, son coeur et sa gorge se serraient, comme l'empêchant de bouger n'importe quel membre de son corps. Sa jupe et le reste de ses habits étaient maintenant trempée, la pluie venait de commencer à tomber fortement... Elle mouillait les deux jeunes amis...

A finir...

Re-Prolongé au 7 février ^^

Je participe!

10 novembre 1865,

Une jeune fille, qui devait avoir 15 ans, trainer dans une rues, retourner à son logis.
Elle était fines, sensible, douce... Elle avait pour cheveux, de belles boucles brunes, s'entortillant les unes entre les autres. Elle était plutôt jovial et entrainante, la joie des autres la rendait heureuse.

Elle se nommait Elisabeth. Il était tard et il fesait déjà nuit. Elle pressa le pas, de peur d'être punie de son retard par son père.

Elle était aller chercher du pain à la boulangerie, à l'autre bout du village, mais elle avait été retarder : elle avait croiser son amie en chemin, Corine.

Elle longea le trottoir, suivit le tournant, et tomba nez à nez, avec un chien.

Elle vivait dans un village de Dordogne où ces animaux était très rare, seul le vieux Norbert et son fils, Grégoire, en avait un.

Le chien était maigre, sentait mauvais, de petites puces sautaient de son dos, il était sale et repoussant, mais ses grands yeux doux et sa petite tête rigolote le rendait siii attendrissant...!

Elle tendit les bras vers lui, un large sourire aux lèvres... Le chien s'enfuit à toute allure.
Le sourire de la jeune fille tomba en même temps que ses bras, elle fut surprise et dessue : elle aurait tant aimer pouvoir le toucher...

Elle se mit à courir à sa recherche, ne prenant garde à l'heure. Elle parvient tout de même à trouvé le petit chien, au bout d'une longue course, coinsé contre un mur, tremblant comme une feuille, elle souris, l'attrapa délicatement, et le ramena chez elle, le chien s'accrochant de toute ses forces à la jeune fille.

Elisabeth ouvrit la porte, serrant le chien contre sa poitrine, son père la regarda méchament, puis jeta un oeil sur sa montre, il devint rouge de colère :

- Eli...

- Oui père...

- Sait-tu l'heure qu'il est ??

- Euh...Non père...

Elle baissa les yeux, le petit chien sauta à terre, elle laissa échapper un petit cri.
Son père fronssa les sourcils et saisit l'animal de sa large main, il se leva, plaça le chien devans les yeux d'Elisabeth, le tenant par la peau du coup.

- Qu'est-ce que c'est que c'la encore ?!

- Un chien égaré que j'ai trouvé sur le chemin, c'est pour cela que je suis en retard...

Elle leva les yeux sur son père, qui la fixée toujours méchament, il jeta le petit chien qui couina en touchant le sol, arracha le pain des mains de sa fille et partit en cuisine en lachant :

- Et débarasse moi de cette...Chose!

Les yeux d'Elisabeth se remplirent de larmes
Elle se jeta aux pieds de son père.

- Père ! Je vous en prie ! Laisser moi le garder ! J'en prendrais seule la charge, je vous le promet !

Les yeux d'Edward, son père, lansèrent des éclairs.

- Bien ! Soit ! Mais je ne veut pas d'histoire !

Il marmonna quelque chose d'autre mais Elisabeth n'y pretta pas attention, elle courut au sous-sol, fouilla, et en sortit un morceau de viande, elle revint vers le petit chien, déposa le morceau dans une assiette, carressa le chien, qui mangait goulument, puis monta se coucher.

Cette nuit là, le jeune fille rêva de sa mère, elle avait décédé un an plus tôt, d'un arrêt cardiaque, du moins..., c'était ce qu'on lui avait dis...

Le lendemin, elle se mit à la quête de nourriture, qui conviendré à son chien, elle fit le tour des boutiques, dans une ville voisine, elle trouvit son bonheur.
Elle prit donc le chemin du retour.

Arriver chez elle, elle vit un drôle de camion sortir, avec des grilles à l'arrière, elle fronssa les sourcils, elle avait déjà vu ce genre de camion, elle pressa le pas. Son père serra la main à un homme vêtu de vert, avec inscrit dans dos un mot qui lui fit un haut le coeur : « FOURRIERE » Elle courut aussi vite après la voiture qui venait de démarrer, trop tard, elle était déjà bien loin.
La jeune fille s'écroula à terre, en pleure, elle remarqua les traces des pattes sales du petit chien, elle posa la main dessu, une larme roula le long de sa joue, et tomba sur la marque.

Elisabeth était assise au bord du lac, sur la rive, les genoux repliés contre sa poitrine. Elle contemplait un coucher de soleil qui rougeoyait l’horizon.
Quelques mèches de cheveux brunes venaient lui barrer le visage, ballottées par la douce brise du crépuscule. Ses yeux gris vert observaient le ciel, avec une fascination digne des plus passionnés d’astronomie.
Avec leur aspect cotonneux et les reflets roses que leur conférait le soleil, les nuages devenaient de gigantesques barbes à papa aux yeux de quiconque les regardait.
Un voile céleste ne tarda pas à recouvrir le parc, le plongeant dans l’obscurité.
La jeune fille d’une quinzaine d’années, arrachant alors son regard au spectacle, se releva et passa sa main sur ses fesses afin d’ôter d’éventuelles saletés que son jean azur aurait pu accroché.
° Il commence à se faire tard, papa doit s’inquiéter, il faut que je rentre… ° Songea t-elle en laissant échapper un bref soupir.
Ce fut à cet instant qu’elle le vit, là, couché dans une poubelle renversée, le regard abattu.
Les immenses yeux du canidé faisaient peine à voir tant la tristesse qui les emplissait était grande, la tête posée entre ses petites pattes noircies par la saleté, il fixait l’inconnue d’un air lasse.
Prise de pitié, Elisabeth s’approcha doucement, et s’accroupi sans geste brusque devant le vieux chien. Celui-ci, voyant quelqu’un lui portant un quelconque intérêt remua faiblement sa queue touffu, et releva légèrement sa tête avant de lâcher une sorte de gémissement.
« Bonsoir toi… » Murmura t-elle d’une voix douce.
La demoiselle tendit sa main et la posa délicatement sur le crâne du canidé dans un geste qui se voulait réconfortant. L’animal gris gémit à nouveau, comme s’il avait oublié cette agréable sensation qu’offrait une caresse.
Il se redressa avec difficulté sur des pattes tremblotantes, puis, la queue entre les jambes, il avança mollement vers Elisabeth et lui renifla timidement le visage.
La jeune fille senti le museau humide de l’animal contre sa joue, elle prenait cela comme une marque d’affection, un petit baiser venant d’une pauvre bête…
Elle plongea par la suite son regard dans le sien, et ce qu’elle y vit ne la fit plus hésiter une seconde : dans ses grands yeux larmoyant régnait l’espoir que la vie lui donne bien plus qu’un malheur croissant chaque jour, ils semblaient dire : « Que dois-je faire pour un peu de bonheur ? »
° Je ne peux pas le laisser ici… ° Pensa la demoiselle, qui, touchée par l’infortune du canidé, décida de le prendre sous son aile.
« Tu comptes réellement passer la nuit ici ? Allez vient ! » Dit-elle avec entrain à son nouvel ami, après s’être relevé.
Et comme si le vieux chien avait comprit que la vie lui souriait enfin, que dans le regard de l’humaine il avait trouvé une nouvelle famille, il suivit la jeune fille, qui déjà, en gardant un œil soucieux sur lui, prenait le chemin du retour.

Chez Elisabeth, la cuisine faisait lieu d’une dispute quelque peu bruyante…
« Non, non et non !! » Tonna la voix du père d’Elisabeth tout en considérant avec dédain le ‘pouilleux’ comme il disait.
La maigreur du chien faisait peine à voir, il suffisait de le regarder dévorer les restes de poulet pour deviner qu’il n’avait pas mangé depuis des jours.
« Mais papa, regarde le ! Donne lui au moins une chance ! » Supplia la jeune fille en pointant du doigt l’animal en question.
Ayant tout avalé, le canidé au poil terni par la fatigue se colla contre la jambe de sa maîtresse, tout en fixant avec inquiétude l’homme à la grosse voix.
« Bon, nous reparlerons de tout cela demain ! Cracha l’adulte. En attendant, file à Méga-Max acheter un sachet de croquettes. Ce magasin est ouvert 24h/24… »
La demoiselle hocha positivement la tête, un sourire jusqu’au oreille, mais quand elle voulut serrer dans ses bras son père afin de lui montrer sa gratitude, celui-ci la repoussa.
« Dépêche toi… Maugréa t-il, puis désignant le canidé avec son menton, mais lui reste ici. »
Elisabeth, trop heureuse pour douter de quoi que se soit, enfila son manteau et après avoir jeté un tendre regard à son ami, quitta la maison.

L’adolescente courut pendant tout le trajet, elle s’imaginait déjà en train de s’occuper de son chien dès qu’elle serait retournée chez elle. Elle lui donnerait d’abord un bon bain et puis l’installerait confortablement sur le canapé.
Etant enfin arrivée devant le super marché, elle s’immobilisa et posa ses mains sur ses genoux dans le but de reprendre son souffle.
Tout en inspirant profondément, elle balaya les environs du regard.
° Etrange, c’est désert… °
Puis, la demoiselle se redressa, elle ne put alors retenir un hoquet de surprise : le magasin était fermé, les grilles avaient été depuis longtemps baissées sur les vitrines.
Il ne lui fallut alors pas plus de temps pour comprendre : son père l’avait envoyé ici dans le but de se débarrasser d’elle afin d’avoir le temps de… de…
° Non !!! Comment ai-je pus me montrer aussi naïve ?! °
Alors qu’elle sentait venir les larmes, elle bondit en avant et se mit à courir aussi vite qu’elle le pouvait. Ses pieds frappaient le sol avec une force peu commune, ses jambes l’a porté toujours plus loin, toujours plus vite…
° Faites que je n’arrive pas trop tard… ° Supplia t-elle en croisant fermement ses doigts.
Elisabeth bifurqua à gauche, puis à droite. La voilà enfin dans sa rue.
Epuisé, n’arrivant même plus à reprendre son souffle, elle tomba à genoux sur la route et posa ses mains sur le sol. Elle aurait tant voulu appeler son chien, mais elle n’avait pas eut le temps de lui donner un nom…
Le temps. Quelle chose étrange… Tel un sablier, chaque grain représente un instant de notre vie. Des milliers de souvenirs, des centaines d’aventures, des dizaines d’années, une seule existence…
Pour Elisabeth, le dernier grain venait de tomber de l’autre côté du sablier, celui du vécu, de la Mort… Un dernier souvenir, pour une dernière année d’existence, pour une même vie…
Le Camion de la fourrière klaxonna encore et encore, mais cela ne changea en rien ce qui allait arriver.
La jeune fille eut juste le temps de relever la tête, ses yeux furent éblouis par les phares jaunâtres de son ‘bourreau’.
° Papa… Pourquoi ?... °
Elle entendit crisser des pneus, l’aboiement du vieux chien à l’intérieur du fourgon puis… plus rien.

L’adolescente, ouvrit les yeux, des bips sonores à rythmes réguliers retentissaient à côté de ses oreilles. Allongée sur un lit aux draps blancs, elle était reliés à de nombreux fils.
Elle avait mal, très mal… Ou sa ? Partout. Elle voyait flou, rien que le fait de garder ses yeux ouverts lui demandait de fournir un gros effort. Mais elle sentait que si elle les fermaient à nouveau, jamais plus elle n’arriverait à les rouvrir…
« Ma fille… Ma petite fille… » Murmura une vois tremblotante dans une phrase entrecoupé de sanglot.
Elisabeth sentait qu’on lui tenait la main, celle-ci était humide à cause des larmes qui s’écrasaient à sa surface.
« Regarde, il est là, ton chien… » Chuchota la même vois familière et réconfortante.
La jeune fille tourna la tête malgré son extrême fatigue, l’oreiller moelleux sur lequel reposait celle-ci ne facilité pas la chose.
Le vieux chien, était présent dans la pièce d’hôpital, assit devant la porte, il la fixait d’un air absent. Il ne bougeait pas, l’on pouvait même croire qu’il avait arrêté de respirer.
Elisabeth le contempla une dernière fois, longuement, pensivement, laissant un lourd silence s’imposer.
« Shadow… murmura t-elle soudain dans un chuchotement presque inaudible, il… s’appelle Shadow… »
L’animal en question s’avança alors, doucement, la tête basse, le regard abattu. Il passa une langue chaude sur la main de la demoiselle, la même que tenait le père.
« D’accord, Shadow, mais il est là ton chien, tu as vu ? Je lui ai acheté de la bonne nourriture, on va tous rentrer à la maison ensemble… Hein ma fille ? » S’obstina le grand homme au visage blafard, ne savant que trop bien la vérité.
Elisabeth eut un petit sourire absent, ses lèvres bougèrent en un mot qui voulait dire : « Je t’aime », puis ses yeux furent voilés de ses paupières, définitivement…
Qui aurait pu croire que ce chien changerait d’une manière si brutale la vie de l’adolescente ?...
Désormais, il était trop tard, trop tard pour retourner le sablier du Temps.
Shadow disparu quelques jours plus tard, comme volatilisé. Pourtant, le père d’Elisabeth s’occupé particulièrement bien de lui, comme l’aurait voulu sa fille.
Son maître le retrouva finalement une semaine plus tard, allongé sur la tombe de sa fille, immobile, glacée, sans vie…

Comme j'avais un peu de temps devant moi, voilà ma participation !
Je sais, la fin fini un peu brutalement, mais je trouve que cela insite le lecteur à réfléchir sur l'histoire, en particulier sur la véritable cause de la mort du chien...

juste un peu hors date^^

Je cite :

Date de fin du concours indeterminée. Une chose est sûre, vous avez au moins jusqu'au 5 Novembre. Après, tout dépend du nombre de participants.

Vu qu'équalyspso n'avait pas terminé, il n'y avait que 3 participants, hors il y a 3 places dispo, la logique veut qu'il y est plus de participant que de prix ^.^
Et puis, de toute façon je ne pense pas que j'aurais eu le temps de participer avant les vacances de février
Après, si je suis malgré tout hors date... Ben, mon texte ne vaut rien...

Oula ptete pas quand même, t'as vu la taille du texte! loool

Meuu non qu'elle est pas hors date MiMolette ^^
Même si ce n'est pas la taille du texte qui fait son contenu, ton texte est loin de ne rien valoir
D'ailleurs ça serait cool qu'il y ait encore un ou deux participants

Merci, j'ai eu peur que mon texte ne soit pas prit en compte
Mimolette x]
C'est un new surnom ?

Ba mwa j'étais partie pour faire un texte,
Et Hop!
J'ai tout effacé d'un coup, pcq j'en avais marre^^
Vouis, c'est c'que je fais en général quand je suis pas contente
De mes textes^^

Artiste habitué Nombre de messages : 370 Date d'inscription : 24/01/2007

J'aimerais participer, je peux?

Rho, AdoOOow, quel dommage
Tu peux pas recommencer =) ?
S'il faut à tes yeux tes textes tu les trouves bof, mais pour les notres...

Bien sûr que tu peux participer Lau

J'vais essayer alors...^^

Vi vi vi
Ma n'AdoOw!

Artiste habitué Nombre de messages : 370 Date d'inscription : 24/01/2007

Bon, je me lançe^^

Elisabeth longait le mur de a prison. Elle avait très peur. Elle était poursuivie par une meute de chiens affamés. C'etait ainsi à cette époque, les chiens était devenus completement fou à cause du réchauffement de la planète.
Soudain apparut la meute aux trousses de la jeune fille.Elle s'encourut de toutes ses forces. Elle commençait déjà à s'engourdir la fatigue la faisait ralentir.
Elle sentit avec effroi qu'un chien lui avait attrapé la jambe. Elle tomba raide sur le sol. Elle seccoua vivement sa jambe lorsque les autres chiens arrivèrent et se jettairent sur elle. Ses cris purent retentir dans toute la ville qui semblait restée muette. C'est alors que, couverte de blessure de haine, de peur et de sang elle put apercevoir un chien parmis les autres, mais qui était à coup sur différent. Le temps sambla s'arreter, le chien bondit, babines retroussées sur les autres.
Le temps reprit et une enorme vague de peur envahi Elisabeth.
Ce chien n'était pas entrain de l'attaquer mais de la protéger. Il était tout maigre et de la taille d'un beagle. La petite en profita pour se dégager alors que les chiens se battaient entre eux. Elle tremblait sur place, se retourna et s'enfui à toute jambes.

Elisabeth reprit son souffle un peu plus loin. Couverte de sang elle alla à la rivière se laver, car Elisabeth jeune fille de 11ans n'avait de douche dans sa maison, elle n'avait pas de lit ni de frigo, pas de table ni de lampe. Un carton lui suffisait pour dormir. Elle vivait avec ses parents dans la pauvreté et sa mère malade avait réussi à renter à l'hôpital avec l'argent qu'il restait.

La jeune fille passa la tête par le mur de la prison pour voir si les chiens étaient partis. C'était le seul moyen de rentré chez elle. La voie étant libre elle se mit à marcher avec précaution. C'est alors que lui parvint un faible bruit. Elle s'arreta et tendi l'oreille. Un faible grognement n'était pas loin. Elle pris peur.
Elle aperçut dans un ramassi d'ordures quelque chose qui ressemblait à une vieille loque crasseuse et pleine de sang. Avec effroi elle put reconnaitre le chien maigre.
Elle poussa un cri qui résultait de la fusion de bonheur, peur, tristesse et effroi.

Elle prit la boule de poil dans ses mains, c'était encore un chiot. Elle eut si piter de lui qu'elle le serra contre elle. L'animal se battait contre la mort. Il s'était allier avec la vie, mais le combat était rude et il n'en avait plus la force.
Elisabeth marcha avec le chien jusque chez elle. Elle déposa sur lui délicatement la couverture qui ornait le carton.
"Ne t'inquiete pas, je vais te sauver. Tu sera mon chien à présent. Je t'appellerais Pookies"
Elle se leva et partit en direction de la poubelle non loin de là. Elle ouvrit le couvercle et fouilla dedan. Elle réussi à en sortir quelques détritus qu'elle présenta à Pookies.
"Il faut que tu manges...c'est important"
Elle ouvrit patiemment la geule du jeune chien et y glissa la nourriture. Pookies ne réagit pas. Le jeune fille mima l'action de la bouche.
Elle soupira
"Il aime peut être pas..." se murmura-t-elle à elle même.
Elle mit sa main dans la poche de son pentalon et ne sortit un pièce de 2euro.
"Je vais utilisé l'argent de papa pour lui acheter de la nourriture, je suis sur qu'il ne dira rien."
Elle partit en courant...

Lorsqu'elle revint un peu plus tard le carton était vide. Elle fut très étonné et commença alors à appeler son chien. Son père était derrière elle et la frappa violament à la nuque. Elle tomba et se mit aussitôt à pleurer.
"Elisabeth ou as tu la tête? Tu es folle de ramener un chien ici, petite inconsciente!
- Qu'en as tu fais? Il m'a sauver la vie!
- Elisabeth, ta mère est morte aujoud'hui à l'hopital! Et tu sais bien pourquoi, parce les chiens ici ont tous la rage et qu'elle s'est fait mordre par l'un d'eux. Tu m'entend Elisabeth?"
Dit il en seccouant la jeune fille.
Mais Elisabeth n'avait plus l'air d'écouter.Elle était occupée à se rendre compte que sa mère était morte. Elle pleurais aussi pour son chien, son sauveur.
Mais une pensée encore plus terrible la fit tressaillir. Elle se souvint avoir été mordue à la jambe par un des chiens.
Elle n'écoutait plus son père elle réussi à saisir un phrase parmi d'autre.
"...j'ai amené ton chien à la fourrière..."
Elle se leva et partit le plus loin possible.

Elle arriva, larme aux yeux à la rivière. Elle regarda son reflet dans l'eau limpide. Elle repensa à ce qu'aurais pu être sa vie. Elle repensait à ce qu'aurais put être l'amitier entre elle et son chien. Elle repensait à son père...
Elle leva les yeux au ciel et murmura
"J'arrive maman..."
Elle ferma les yeux et un frisson la parcouru mais elle était décidée.
Elle se laissa tombée dans la rivière et les courants l'emportèrent...à jamais...

Je sais qu'il reste plein de fautes, mais je suis pas une génie en orthographe^^

alors ça vous à plu?

Eh bé j'aimerai pas être les personnages de tes histoires!! mdr

j'ai fini hier soir, je poste ça dans la journée

Artiste habitué Nombre de messages : 370 Date d'inscription : 24/01/2007

Chtite-Auri a écrit:: Eh bé j'aimerai pas être les personnages de tes histoires!! mdr

xD, je suis assez mort bide (je suis pas gothique hein^^)
Il m'en faut beaucoup pour être impressionnée

Artiste habitué Nombre de messages : 370 Date d'inscription : 24/01/2007

Alors, on aurais quand les résultat?^^

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