Pirates ( Chap 1, 1er jet) [1,7]

Alors voici un premier jet de ce que je compte développer, c'est un roman commencé y a deux ans que je perfectionne, ce premier het est donc pour voir un peu les conseils générals qui reviennent ( j'ai eut des échos, d'orthographes et des répétitions que j'ai remarquées mais corrigés dans le nouveau jet)
Bonne lecture .

CHAPITRE 1
La jeune fille bloqua sa respiration et replongea dans les eaux cristallines de la mer des Caraïbes. On apercevait que les parties bronzées de son corps non cachées par son maillot ayant la même couleur que l’eau. Aïcha remonta à la surface, ses cheveux bruns plaqués sur la tête se soulevèrent avec l’alizé qui passa, elle fit signe à sa mère qui lui répondit du bateau. Elle s’enfonça dans la mer et nagea en direction de celui-ci. Le bateau suivait le mouvement des vagues tandis qu’Aïcha se hissa à son bord, elle embrassa sa mère, celle-ci lui demanda : « On rentre au port ?
- Oui, on pourra prendre des fajitas pour le dîner de ce soir ?
-Comme tu veux.»
Aïcha monta sur la proue et sa mère démarra le moteur. Toute[Tout] en s’approchant des côtes de Martinique, Aïcha pensa au vacances qu’elle et ses amis allaient passer ensemble ; Elle et ses amis[Répétition] c’était[S'étaient] rencontrés lors de leur premier stage d’escrime à l’âge de huit ans et depuis tout les six sont devenus inséparables. Cette année leurs parents leurs[Leur] avaient proposés[Proposé] un camp ou une colo, mais très vite les jeunes gens
proposèrent pour une croisière et justement il y’avait un concours organiser[Organisé], qu’ils gagnèrent haut la main. Aïcha pensa soudain à son père qui avait disparut[Disparu] lorsqu’elle n’avait quatre ans. Depuis elle n’avait plus vue [Vu] sa famille.

Le lendemain, sa mère était partit [Partie] avec une amie en « vadrouille », Aïcha, elle, devait rejoindre ses amis à onze heures à la plage. Il était neuf heures lorsque Tycoon, son chat, sauta sur son ventre et réveilla celle-ci en sursaut. Elle se leva péniblement et descendit déjeuner, puis elle s’habilla, servit à manger au chat et partit à la recherche d’un bon livre dans la bibliothèque du salon. Un livre attira particulièrement son attention : c’était un vieux livre en cuir, de couleur marron et de taille moyenne. L’ado sortit l’ouvrage de la bibliothèque et une enveloppe blanche glissa entre ses jambes, sur celle-ci était écrit « Pour Aïcha ». Elle posa le livre et ramassa l’enveloppe, puis l’ouvrir [l'ouvrit]: dedans se trouvait un sablier en or accroché sur une chaîne en argent et il y avait, sur celui-ci d’étranges symboles. Elle décida d’aller voir le vieil antiquaire du centre ville, elle regarda l’horloge, « Il me reste une heure » calcula t-elle. Elle renferma l’enveloppe, la fourra dans sa poche, attrapa ses clés, le livre et ses affaires de plage, puis enfourcha son vélo. Sur le chemin elle croisa Mathilde, sa meilleure amie. Celle-ci était dotée d’un grand sens de l’humour qu’Aïcha enviait beaucoup, Mathilde s’intéressait beaucoup au Moyen Age, de plus elle collectionnait des créatures fantastiques en bois datant de cette époque. Elle voulait jetés [jeter] un coup d’œil dans la boutique pour inspecter le nouveau stock, elle se joignit donc à Aïcha.

Arrivées, elle attachèrent leurs vélos et entrèrent dans le magasin. Celui-ci était rempli d’objets datant de la préhistoire au vingt-et-unième siècle. Les deux jeunes filles se frayèrent un chemin parmi les « antiquités » et tandis que Mathilde se dirigeait vers la section Moyen Age, Aïcha s’approcha du comptoir et tendit l’enveloppe au vieil homme, « J’ai trouver [trouvé] cet étrange objet chez moi… Commença celle-ci, Je voulais savoir si vous pouviez me donner de information ? » L’homme examina l’objet puis il demanda à Aïcha : « Connais tu les livres sur les malédictions du dix-septième, dix-huitième siècle ?
- Bien sûr, je les [ai] lus plusieurs fois même…
- Tous ?
- Non, seulement les trois premiers. Les autres étaient déjà empruntés.
- Regarde dans le tome six je croit [crois] qu’il pourrait y avoir des informations sur ce sablier ou alors dans les archives et demande les malédictions des pirates.
- Ok, très bien. » Répondit Aïcha en achevant ses notes. Elle mit le petit bout de papier dans sa poche ainsi que l’enveloppe que lui tendait l’antiquaire puis fit signe à Mathilde de se dépêcher. Celle-ci réapparut avec trois figurines dans les mains, le vieil homme les plaça chacun dans un étui puis dans un sac et les retendit à la jeune fille ; « Je te les offres [offre]. Annonça celui-ci.
- Merci beaucoup. Au revoir.
- Au revoir.
- A bientôt les filles ! » Répondit le vieil homme.
Sortit [sortie]du magasin, Aïcha regarda l’heure : « Il est dix heures trente, on passe à la bibliothèque ?
- Pourquoi pas.
- Alors on y va. » Répondit Aïcha qui enfourcha son vélo, son amie lui emboîta le pas.

Lorsqu’elles arrivèrent à la grande bibliothèque, Mathilde partit à la recherche de « son livre » tendit qu’Aïcha demanda à Anne, la bibliothécaire, où trouver le fameux livre et si il était toujours disponible. Par chance le tome six était de nouveau dans les rayons après deux mois d’absence (un vieil homme avait effectuer [effectué] des recherches sur ces fameuses malédictions) après l’avoir trouvé Aïcha rejoignit Mathilde sur une des tables de la bibliothèque.
-« Alors ? Que représentent tes nouvelles créatures fantastique ? demanda Aïcha
- Alors celle-ci représente une elfe des forêts et celle-ci un lutin des eaux." Répondit Mathilde
Aïcha leva les yeux au ciel et pointa la troisième figurine,"Et… Ce loup ci ?"
- Je sait pas, il n’est pas dans, le livre… » Marmonna son amie.
Aïcha esquissa un sourire : Mathilde détestais ne pas trouver ce qu’elle cherchait. La jeune fille commença à feuilleter son livre, lorsqu’elle trouva enfin ce qu’elle cherchait, elle se dirigea vers le comptoir pour l’emprunter puis fit remarquer à Mathilde qu’il fallait y aller. « D’accord, répondit celle-ci en refermant violement le livre, je le repose et on décolle. »

Lorsqu’elles arrivèrent sur la plage Clotilde était déjà là ; elle était la plus grande des cinq, en effet elle avait quinze ans mais allait sur seize ans et mise à part son petit ami Hugo qui vient [venait] d’avoir dix-sept, tout les autres du groupe en avaient quinze ou seize. Entre elle et Mathilde, il y avait toujours un moment de conflit ou de débat portant sur les preuves scientifiques et la magie. Aïcha et les garçons, Mathieu, Quentin et Hugo aimaient bien les voir se disputer pourvu que ce soit drôle. « C’est le duo parfait » pensait souvent Aïcha. Et Mathieu faisait remarqué [remarquer] qu’elles n’avaient jamais eu d’expérience pour se disputer sur un sujet si flou.
« Salut les filles ! Sa[ça] va ? Demanda Clotilde.
- Oui ! Répondirent en cœur Aïcha et Mathilde.
- Vous êtes venues à pieds ?
- Non, répondit Mathilde, on est venue [venues] avec nos ailes.
- A hurler de rire. Commenta Clotilde.
- On est venue[venues] à vélo. Pouffa Aïcha.
- Je me disais aussi, un miracle aurait eu lieux si Mathilde était venue à pied. » Répondit Clotilde en regardant Mathilde. Celle-ci lui tira la langue. Aïcha essaya de ne pas rire en voyant les deux filles se regarder avec des yeux d'assassins. « Sinon quoi de neuf ? Reprit Clotilde
- J’ai trouvé ça dans ce livre. Annonça Aïcha en sortant de son sac l’enveloppe et le vieux livre.
- Ca ressemble à un journal, commenta son amie en feuilletant le livre, tu l’as trouvé dans ta bibliothèque ? » Aïcha acquiesça puis raconta en bref ce qui c’était passé et les réponse trouvées. « Voilà les garçon [garçons]! » Annonça Mathilde en apercevant les trois silhouettes masculine de leurs amis s’approcher d’elles, Aïcha jeta un œil sur sa montre : il était onze heure dix. « Ca va faire du bruit » Pensa celle-ci en suivant Clotilde et Mathilde qui se dirigeaient vers les trois garçons. « Vous êtes en retard ! Commença Clotilde en embrassant Hugo, votre excuse ?
- Désolé « Miss ponctualité », mais on à eu un léger souci des plus importants : le frère de monsieur ici présent ne voulait pas allé [aller]au jardin d’enfant alors on…
-On a mis un peu plus de temps. Coupa Mathieu.
- Et ce n’était pas de tout repos. Finissa[finit] Hugo.
- Ce n’est pas grave, puis vous avez que dix minutes de retard. Commença Aïcha, après tout vous n’avez pas louper [loupé] grand-chose
- Que c [s]’est il passé ? Demanda Mathieu avec un sourire ironique.
- Toujours aussi perspicace, j’ai trouvé un étrange sablier en or dans un vieux livre en cuir de ma bibliothèque.
- Vraiment ? Demanda Hugo étonné, qu’est ce que tu sais dessus ?
- Je sais que les symboles parlent d'une malédiction, ensuite que celle-ci lie, le sablier et deux familles. » Un silence se fit au sein du groupe puis Clotilde reprit la parole, « D’où tu sort [sors]ces informations ?
- Du tome six des malédictions. Répondit Aïcha.
- Et que dit le livre en cuir à propos de ce sablier ? Demanda Quentin.
- Heu…
- Aïcha ? Qu’est ce qu’il dit ? Insista Mathilde inquiète de la réaction de son amie.
- En faite pour tout vous dire ça semble être un journal écrit par un pirate… Et je pense que c’était à l’époque de l’arrestation de Rackam qui est survenue, comme vous le savez, en mille sept ans vingt car il le mentionne et puis…
- Aïcha ! Hurlèrent ses amis.
-Ach… Dit-le, s’il te plaît, que dit ce journal à propos du sablier ? Redemanda Mathieu
- Il dit qu’en sa possession on peut remonter le temps. » Acheva enfin celle-ci. Un nouveau silence ce fut, puis Hugo brisa enfin ce silence : « Vraiment ?
- Voyons c’est absurde ! Répliqua Clotilde.
- Et si c’était vrai… Si on pouvait remonter le temps comment on pourrait s’y prendre et comment revenir. Analysa Mathieu
- Attend tu crois vraiment que c’est possible ?
- Ce livre nous met dans le doute Mathilde, est-ce vrai ou pas on ne peut pas dire… Ce n’est qu’un témoignage après tout mais si ce livre et écrit à la main et bien…
- Les évangiles étaient écrits à la main et pourtant Jésus n’a jamais marché sur l’eau. Rétorqua celle-ci.
- Oui mais… C’est du conditionnel et personne ne pourra aller vérifier. Rectifia Aïcha.
- Mais avec un sablier remontant le temps on peut toujours y aller pour voir ! Tout le monde ce retourna vers Quentin, c’était pour briser la glace… Répliqua t-il pour toute défense.
- Bon comme nous sommes sans preuve on ne peut débattre sur le sujet…
- Hugo à raison. Et toi Mathilde, que dis tu de tout ça ?
- C’est vrai tu n’as pas fait le moindre commentaire.
- J’ai faim… Répondit celle-ci, je propose d’aller manger. »
Tout le monde la regarda interloqué, c’était la première fois que leur amie ne débattait pas sur un sujet qui, normalement été très important à ses yeux. Même Clotilde n’en revenait pas. « Bon alors allons-y, Mathilde à raison.
- T’as vraiment rien à dire ? Demanda à nouveau Mathieu.
- Si je pense que sa pourrait être possible et en même tant c’est vraiment invraisemblable.
« C’est pas du genre de Mathilde d’être partagée comme ça… » Pensa Aïcha.
- Bien sûr je penche plutôt vers le côté possible de cette histoire.
- J’te reconnais bien là ! » Pouffa Clotilde. Les autres éclatèrent de rire et puis se dirigèrent vers leur snack en bord de mer.

Lorsqu’ils arrivèrent au « Beach Snack » le petit groupe eut la désagréable surprise de tomber sur Célia Lecanto. Cette riche héritière à la Paris Hilton n’avait jamais eu un moindre sentiment de pitié ou de compassion de la part de nos cinq amis, et celle-ci leur rendait la pareille. Elle était accompagnée de ses deux amies, Niña et Nathalia. « Tiens, quelle surprise les six nigauds.
- Tu n’as pas mieux ? Quand on est peu cultivé vaut mieux se la fermer. Miss snob…Rétorqua Mathilde.
- Laisse tes histoire de culture ailleurs et dégagez vous polluer mon espace vital.
- Il doit être restreint car sinon tu pourrait sentir la pollution de ta limousine. Répliqua Mathieu.
- Pff. Vous êtes jaloux de ne pas avoir de tels de privilèges.
- Mais on a des amis sincères sur lesquels on peut compter. Fit remarquer Aïcha.
- Et malheureusement des ennemis. Continua Quentin.
- Et non des copines profiteuses. Acheva Clotilde.
- Dégagez ! » Lorsqu’elle sortir [sortit] du snack les six amis s’installèrent à une table. « Je déteste cette langue de vipère. Commença Mathilde.
- Elle doit ce dire la même chose. Répondit Quentin puis tout le monde éclata de rire.
- Hello tout le monde ! Cria une voix derrières eux, c’était Maëlle une des serveuses.
- Salut Maëlle ! Répondirent en chœurs [choeur] les adolescents.
- Bon qu’est ce que je vous sert ?
- Ca sera un hamburger et un coca pour moi. Commanda Clotilde.
- Pareil pour moi. Dirent en chœur Aïcha, Mathieu et Quentin.
- Moi un « Maxi burger » avec un coke. Choisissa [choisit]Hugo.
- Et pour le dessert cinq gaufres [gauffres] chocolats[chocolat] chantilly. » Acheva Aïcha. Puis toute la tablée et Maëlle se tournèrent vers Mathilde, celle-ci était connue pour ses desserts bien remplis : «Un hamburger, un coca et pour le dessert… Je vais prendre une gaufre chocolat chantilly, commanda Mathilde, avec des pépites de chocolats, des morceaux de bananes, de la glace à la myrtille et à la pêche, du coulis de fraise, de la menthe, du chocolat chaud et une cerise confite. » Manou et les quatre autres éclatèrent de rire mais Marion elle le prenait très au sérieux. Maëlle esquissa un sourire : « C’est noté ! »