Ma vie d'étalon

Voilà c'est une histoire un peu spéciale, les verbes sont conjugués au présent, celà peu choquer au début mais on s'y habitue vite (pi toute façon chui pas très douée). Bonne lecture!!



Je suis un étalon, je viens de m'en apercevoir. Enfin non, je le savais déjà mais je 'en était pas. Je suis encore jeune et sans expérience. Maintenant j'en suis, je ne vous dévoile pas comment mais je peux juste vous le dire...j'ai regarder...
Je galope dans l'herbe à la recherche de ma nouvelle identitée. Vais-je la trouver dans l'herbe? Non par contre j'ai trouvé autre chose; un odeur pour être précis.
Quelque qui me ressemble et en même temps qui semble être mon opposé. Je réfléchis...un jument! Je continue sans m'arreter. Cette odeur m'attire et je veux savoir ce qu'il y a au bout. Tel un chien, j'ai le museau collé au sol, les naseau grand ouvert.
Je ne m'en rend pas compte tout de suite mais je viens de percuter ce que je cherchais. La jolie noire se relève. Mes oreilles se plaquent sur ma nuque. Les siennes aussi. Je le regarde droit dans les yeux. Je me relève de ma chutte et lui montre légerement les dents en reculant. Elle s'en fiche on dirait, elle s'est remise à brouter. Je dresse mes oreilles car j'entends des bruit et comprends sa quiétude; un étalon arrive. Ses sabot martellent le sol. Un dizaine de juments arrivent derrière un étalon de la taille d'un colosse sur quatres jambes. Mes oreilles sont de nouveau plaquées. La jument noire lève le tête et trotinne gentiment en leur direction. La colosse marche alors posément vers moi. Je recule un peu stressé.
D'un coup j'entends ses dents claquer à quelques centimetre de moi. A ce geste je compris qu'il voulait me dire un truc du genre " Si tu dégage pas dans les 5secondes je te défonce mon pote." Sans perdre de temps je fait demi tour et m'éloigne au galop.
Le soir commence à tombé. Fatigué, j'arrive dans une petite clairière et me couche bercé par le vent doux et éclairé par les rayon de la lune.
C'était déjà le matin et je me réveille. J'ouvre doucement les yeux et je suis ébloui par le soleil. Je m'étire et me lève. Je me met à brouter tranquillement. Je pense à hier. Cette jument noir pourquoi était-elle là toute seule? Désperé par ma propre solitude j'hennit plaintivement.
J'entends alors avec étonnement qu'on vient de me répondre. Un jument venait de me répondre et je suis surpris de voir la noire sortir de derrière un buisson. Je couche mes oreilles. Elle s'approche par petits pas. Mes yeux s'emballent, je suis omnubilé par sa démarche. Je suis ses moindre mouvements. Elle s'arrete à un metre. Je recule un peu. Elle n'avait pas les oreilles couchées mais je prédisait qu'elle avait un mauvais coup derrière la tête. Peut être que son étalon et sa bande de jument vont me sauter dessus. Elle s'approche encore et arrive tout près. Je montre des signes d'énervement mais elle n'y fait pas attention. Elle souffle de l'air chaud dans mes naseaux. J'entend un autre hennissement grave. L'étalon arrive au galop dans la clairière. Il me voit et me lance un regard encore plus méchant que le veille puis continue sa route suivit de sa bande de jument. Le noire avait l'air prise de panique.
Je reste planter là, immobile. J'ai des frissons. J'ai l'impression d'être dans une bulle, je n'entends plus rien et tout devient noire. Je m'écroule...
Je ne suis pas mort, je me réveille. Je sens une présence près de moi. Je me lève doucement. C'est la noire. Elle dort couché à mes côtés. Je ne savais pas pourquoi elle me collait.
Elle ouvre les yeux et moi je l'admire. Mes muscles sont tendus, mes oreilles à demi couchées. Je respire prodondément. Elle se lève doucement et me fixe. Je vois au fond de ses yeux une lueur de désespoir. Je compris qu'elle voulut que je l'aide à fuir l'étalon pour ne pas finir comme les jument esclave. Alors je l'entendi arriver, il avait poursuivit la noire sans relâche. Il se poste devant moi en rage. La bave blanche coulait de sa bouche tellement il avait galopé et hennit. Je n'hésite pas et lui fonce dessus. Je lui décoche un coup de sabot dans une ruade. Il se bat bien aussi, je suis rusé et réussi à le faire tombé. Le combat dura comme cela des heures. Nos sang se melait puis il tombe après que je lui ai donné le coup fatal...il ne releva plus. J'ai tuer le colosse. Ma véritable identitée? Je venait quand même de la découvrir. Je suis protecteur de jument et je possédait maintenant mon propre troupeau, ainsi commençai...ma vie d'étalon!

(voilà je vais continuer mais normalement au passé simple!)

Chapitre II

J'ouvris ce matin d'automne mes yeux encore fatigués. La noire dormait à mes cotés. Elle était d'un coleur tellement noire qu'il était impossible de la reperer dans le noir. Je me levai doucement en prenant la précaution de na pas la réveiller. Les juments broutaient dans la clairière et j'allai à leur rencontre un petit sourir au coin des lèvre. L'une d'elle leva la tête et vint à ma rencontre. Elle tourna autour de moi, la queue en panache.
Mes oreilles bougaient dans tous les sens. J'avançai en la laissant sur place en entendant des petit braillement leger. Pris un cri de douleur se fit retentir au milieu de plusieurs jument rassemblées.
J'approchai au trot alerté par les cris.
Je fus étonné en voyant la jument couché à terre, un sabot sortant de son arrière train. La jument accouchait. Je réfléchis un instant puis en conclu que c'était surement un petit du colosse.
Les juments s'écartèrent à mon passage. Je me couchai auprès de la jument pommelée. Le petit poulain qui était entrain de sortir était tout brun, avec un étoile sur le front. Cet petit être qui était entrain de naitre me donnait chaud au coeur. La jument continua de poussé aussi fort qu'elle le pouvait, les contractions se fesaient douloureuse. Encouragée par mes hennissements le petit finit par sortir en entier.
La jument se releva fatiguée et lecha son poulain, mais avant elle me déposa une petit lechouille de remerciement.
Satisfait je continua mon chemin et partis un peu plus loin surveillé les ennemis qui pourrait attaqué le troupeau.
Je me saisis apercevant derrière moi la noire. Elle s'approcha la magnifiquement panaché, un petit air malicieux dans ses yeux.
Crinière au vent je retrournai ma tête et continuai ma ballade vers les bois. Voyant qu'elle me suivait je couchai les oreilles et la repoussai pour qu'elle aie surveiller le troupeau laisser seul. De multiples dangers pouvait survenir et elle était la seule assez forte pour les proteger.
Consciente de son devoir et coucha les oreilles et à contre coeur fit demi tour et rejoignit le troupeau.
Ma robe alezane était traversée par une brise légère. Un fine pluie s'était levée.
Le vent envoyait les gouttes dans mes yeux que je devait fermer la plupart du temps. J'avançai sans m'arreter. Puis je fis un bond en l'air en entandant un énorme bruit. Je ne pouvait dire ce que c'était, on aurait dis qu'un arbre avait traversé la forêt en un temps éclair.
Je m'approchai avec précaution de l'endroit d'où était sorti le bruit.
Devant moi s'étendait couché un cheveuille, le sang coulait de sa poitrine. Des pulsions le fesait encore comme sursauté. Puis plus rien, il était mort. Des voix retentir d'un peu plus loin puis apparu devant moi 3 créatures roses que je ne n'avait jamais vu. Inconscient du danger je ne m'enfuit pas par simple curiosité. Leurs visages ébahi leur donnait un impression d'impuissance face à moi. Lui d'eux se tourna vers l'autre:
" -C'est étalon est impressionnant, il n'a même pas l'air d'avoir peur. Le boucher nous en ferait un bon prix tu penses?
- Un bon 200euro j'espere!"
Le troisième qui avait l'air d'accor avec les deux autres. Il sortit de derrière son dos un objet en métal et le pointa sur moi. Moi, qui n'était pas si bête recula voyant une menace à cette objet, si c'était ces créatures qui avait tuer le chevreuille alors ils feraient sans doute pareil pour moi.
Je fis demi tour et me mis à galoper comme un force nez dans la forêt esseyant d'échapper aux hommes.
Un coup de feu rententi, une cartouche arriva à toute vitesse vers moi. Je roula au sol esseyant de l'esquiver. Dans un hennissement plaintif je m'écroula au sol, toucher par la balle. Je pus me relever et m'éloignai au galop boitant d'un jambe, la balle pronfondement encrée dedan.
J'arrivai près des juments prises de panique. Le p'tit brun collé à sa mère. Je sonnai l'alerte et toutes les juments me suivirent pendant des heures de courses acharnées. Ma jambes me fesait de plus en plus mal mais je tins bon pour le bien de mon troupeau....

Bon je sais pas si quelqu'un li enfin je continue^^

Chapitre III

Depuis ce jours 3 long mois était passé. L'hivers battait son plein gré. Les tempète de neige était de plus en plus abondantes. Ma blessure était rétablie, même si la belle tronait toujours au milieu de ma jambe. J'avais retrouvé quasi la totalité de mes mouvements. J'étais là dans la neige, ma fourure d'hivers était d'un brun magnifique, je galopais silencieusement dans la neige. Mes sabots ne martelaient pas le sol, il carressaient la neige fraiche du matin. La Noire me suivait à la trace. Un tempête se leva bientôt brouillant la vue et les trace de pattes sur la neige car nous étions bel et bien à la recherche de deux loups, un couple qui se balladait en solitaire. Nous voulions le trouver et le chasser de nos terres pour ne pas qu'il menace le troupeau. Un odeur apparue à mes naseaux frémissants. Les loups n'était pas loin. Mais en arrivant à l'endroit d'ou venait l'odeur je fus surpris de n'en voir qu'un. Ses cros dépassèrent vite de sa bouche. Ses oreilles couchée et ses babines retroussées lui donnait un air puissant. Mais la Noire et moi n'avions en aucun cas peur.
Le loup bondit aussi vite que l'éclair, s'attaquant à la noire. Il planta ses crocs méchament dans la croupe de la Noire. Oreilles couchée je décidai d'agir. La Noire se cabra, fesant valsé le loup à plusieurs mètre. C'est là que je décida d'operer. Je galopai en sa direction et avant qu'il n'ai eu le temps de se relever je me cabrai en enfonçai mes sabots son son poitrail lui brisant des côtes. Il poussa un cri de douleur affeusement aigue.
Je continuai de la même manière, la Noire fesant de même; On n'entendi bientôt plus qu'un couinement pliantif et sourd ainsi que le bruit des os qui se faisaient broyer.
Le loup mort, la Noire te moi retournâmes sur son pas rentrant vers le troupeau, satisfait de notre travail.
Nous arrivâmes à la clairière et découvrîme un jument blessé, et plusieurs affolées et paniquées.
Je lençai un hennissement grave pour remettre de l'ordre. Je m'approchai de la jument. C'était la jument pommelée qui avait eu un petit il y avait de cela quelques mois. Elle était blessée à la croupe, les marques avaient une forte ressemblance avec celles de la Noire. Je compris en un éclair ce qu'il s'était passé. Le loup que nous avions combattu avait fait diversion pour nous occupé tandis que l'autre était venu attaquer les juments innofensive. Je regardai autour de moi, enragé, et quand je découvris le pire, je me jetta au sol avec un rage telle que j'aurais pu tuer un équidés même. Le pti' Brun avait disparu, avec le loup...
L'image des trace de pattes me traversa l'esprit, je les suivit en galopant comme un force nez à travers bois, tempête et verglas. Je gagnait au fur et a mesure du terrain sur le loup qui courrait lui aussi pour échapper à ma colère. J'arrivai enfin à voir son arrière train. Je me rapprochai à vue d'oeil. Je sauta dessus ce qui nous fis rouler tout les deux. Il trainait avec lui un morceaux de viande avec au bout un petit sabot noire. Un morceaux du petit noire. Ma colère se redoubla encore, fou de rage je terressai le loup en moins de deux secondes.
Abbatu par cet evènement je reparti au pas laissant derrière moi un cadavre de loup et un morceaux de poulain de mon troupeau.
Plus jamais cela ne se passera!!!

Merci, je ferais attention pour les prochains chapitres^^

Merci beaucoup pour vos gentil commentaire!! (vous êtes chrtop gentilleeuhh!!!!)
c'est vrai que c'est po facile de lire sur l'écran, vous pouvez l'imprimer et comme ça c'est plus aisé^^

c'est quoi ce jeux de rôle?^^

roooo non j'avais écri tout le chpitre IV, mon ordi ma lacher, je râle arg!!!!

ah oki (connai pas xD)

bon alors, c'est repartit pour le chapitre IV

Chapitre IV

Tout le troupeau avait été traumatisé par la mort du ptit' Brun. Depuis ce jour, plus aucune juments n'avaient encore eu ses chaleurs.
La Noire était partie faire le tour du bois. Moi, je surveillait le troupeau. Je m'approchai de la Pommelée, mon regard dans le sien, et lui soufflai de l'air chaud dans les naseaux. L'hivers touchait à ses fin mais l'air était toujours glacial. La Pommelée baissa les yeux.
Un bruit vint alors à mes oreilles, que je tendis directement.
Des hennissement déseperés déchirèrent le calme des bois endormi.
Je pensai directement à la Noire et me mis au galop. Mes sabot temboutinaient sur le sol gelé. Je m'enfonçai dans les bois, lançant des appel. Mes sabots se dérobèrent et je glissa sur le vergla. Je tomba nez à nez avec un étalon, couché au sol. Le sang coulait de son ventre. Je tournai alors mon regard vers les créture rose. Je m'en souvint et couchai les oreilles, montrant méchamment les dents.
Les trois humains rentrèrent dans leeur voiture après avoir murmuré quelques mots. L'étalon gris, dont la belle robe luisait de sang, me lança un regard désepéré. Le moteur de la voiture s'alluma ce qui me fis sursauter;
Je bondis en avant et galopai dans le bois. La voiture se lança à ma poursuite. Dans un mouvement de mon galop, je sentit mon encolure se tirée violament vers l'arrière. Je tomba aussitôt, un corde au cou. Un des humain sortit et me regarda, très vite il enfila autour des mes jambes, des baillons. Je me débattais tant que je pouvait, mais rien n'y faisait.
J'était bloqué, impossible pour moi je debouger.
La voiture redémara et je me sentit tracté. Je trainais piteusement derrière la voiture. Nous arrivâmes près de l'étalon gris, mort.
Il l'attachèrent aussi à la voiture. Elle redémarra, je trainais sur le sol, dur, gelé, la terre s'accrochait à ma crinière.
Le moteur s'arreta, j'ouvrit les yeux. L'humain me détacha et me donna des coups de bâton pour que je me relève. Fatigué, je ne donna aucune résistance. Il m'attacha entre deux gros mur. Les yeux à demis clos, je sombrai...

Chapitre V

Je me réveillai par un tambourinage. J'ouvris les yeux et me leva doucement. J'essyai de m'extirpé de cet endroit mais une corde me retenait.
Je me mis à tier au renard, le plus fort possible. Je commençai à m'agiter et a me cabrer. Je m'immobilisai voyant un humain pointé le bout de son nez. Oreilles couché je restai sur mes gardes. L'humain s'approcha de moi. Je ne l'avait encore jamais vu celui là. Il m'inspecta des yeux de haut en bas.
Puis il repartit et je ne le vis plus pendant plusieur minutes. Je recommençai alors mes ruades lorsque je m'arretai à nouveau, un nouvel arrivant me troubla. Je scrutai le cheval et m'aperçut avec horreur que c'était la Pommelée. Elle était à peine reconnaissable. Ensanglantée de partout, des moerceaux de peaux déchirés, elle était dans un vraiment piteux état.
J'hennit doucement quand nous fûmes seul elle et moi.
Elle n'arrivait même pas à me répondre. J'esseya de m'arracher à cette prison mais je ne put rien faire, la corde était trop solide et trop bien attachée.
Je seccoua ma tête. Soudain un cris déchirant l'atmosphère retentit. Ce n'était pas la Pomelée. Nous tendîme l'oreille pour savoir d'ou prevenait le bruit.
Un faible gémissement se fit encore entrendre.
Il venait de la caisse là bas, d'où sortait du sang. C'est alors qu'avec des yeux grand ouvert je découvrit le pti brun. J'était tellement étoné que je failli faire une crise cardiaque. Le pti' Brun était donc vivant, les loups ne l'avaient pas tué? Pourtant J'était sur d'avoir vu un morceau de sabot dépassé? C'est alors que ma question eut une réponse. Le sang qui coulait provenait de sa patte, où plutôt de son moignon enfecté et rempli de pu. Je m'approcha du ptit' Brun qui lançaient des petits appels déseperés. Depuis combien de temps était-t-la dedan? Les hommes l'avaient-ils sauvé ou s'est-il réfugié ici tout seul? Autan de question trotaient dans ma tête. Mais je n'avait pas le temps d'y répondre. Je m'accroupi doucement en pris le Ptit' Brun sur mon encolure. Je l'enleva doucement de sa caisse et le déposa sur la maigre paille qui me servait de litière.

Citation :

mais je 'en était pas.

Je suppose que, comme beaucoup d'entre nous, tu es une victime des fautes de frappes^^ Et qu'en réalité tu voulais dire "Mais je n'en était pas". La encore, il y a une faute de conjugaisons^^ Ce n'est pas "était" mais "étais". Ensuite, pas quoi? Un étalon? Pas sûr? Y a peut-être que moi qui comprend pas, mais.. Je comprend pas xD

Citation :

Maintenant j'en suis,

A nouveau, quoi? Un étalon? Sûr?

Citation :

j'ai regarder...

Ce ne serait pas regardé? ^^

Citation :

Je galope dans l'herbe à la recherche de ma nouvelle identitée.Vais-je la trouver dans l'herbe?

Deux fois l'herbe.. pourquoi ne pas plutôt dire "Vais-je la trouver la?" ^^ ? Et C'est "Identité"^^

Citation :

Non par contre j'ai trouvé

Je trouve ce bout de phrase assez gênant, il n'y a pas de pause la ou il le faudrait.. Tu devrais plutôt mettre " Non. Par contre, j'ai trouvé "..^^

Citation :

autre chose; un odeur pour être précis.

Je me demande bien si tu n'aurait pas du mettre un double point au lieu du point virgule..

Citation :

Quelque qui me ressemble et en même temps qui semble être mon opposé.

Quelque chose ou Quelqu'un serait sans doute mieux^^

Citation :

Je réfléchis...un jument!

Faute de frappe ??

Citation :

Tel un chien, j'ai le museau collé au sol, les naseau grand ouvert.

Les naseaux grands ouverts ^^

Citation :

La jolie noire se relève.

Comme tu n'en a jamais parler auparavant, tu devrais mettre "Une jolie.." ^^

Citation :

Mes oreilles se plaquent sur ma nuque. Les siennes aussi.

Peut-être aurait-tu du mettre une virgule au lieu du premier point..

Citation :

Je le regarde droit dans les yeux.

La regarde?^^

Citation :

Je me relève de ma chutte

Chute ne prend qu'un T^^

Citation :

Elle s'en fiche on dirait, elle s'est remise à brouter.

Peut-être que tu devrais mettre "On dirait qu'elle s'en fiche.."^^

Citation :

Ses sabot martellent le sol.

Sabots^^

Citation :

Un dizaine de juments

Une??^^

Citation :

La jument noire lève le tête et trotinne gentiment en leur direction. La colosse marche alors posément vers moi.

Lève la tête et le colosse, nein?

Citation :

Je recule un peu stréssé.

Je crois qu'une virgule ne serrait pas de trop entre "recule" et "un peu" ^^

Citation :

à quelques centimetre de moi.

centimètres

Citation :

Sans perdre de temps je fait demi tour et m'éloigne au galop.

Peut-être une virgule serais a sa place entre "temps" et "je" ^^

Citation :

bercé par le vent doux et éclairé par les rayon de la lune.

Les rayons^^

Citation :

Cette jument noir pourquoi était-elle là toute seule?

Noire^^

Citation :

J'entends alors avec étonnement qu'on vient de me répondre. Un jument venait de me répondre

Une.. Et puis, tu utilise trop souvent le verbe répondre.. Pourquoi pas plutôt "Une jument venait de lancer un hénissement"?^^

Citation :

Je suis ses moindre mouvements.

moindres^^

Citation :

Elle s'arrete à un metre

mètre^^

Citation :

que le veille

La^^

Citation :

Le noire avait l'air prise de panique.

La^^

Citation :

Je reste planter

planté^^

Citation :

tout devient noire

noir sans "e"^^

Citation :

les jument esclave. Alors je l'entendi arriver

juments esclaves. Entendis^^

Citation :

devant moi en rage

une petite virgule ?

Citation :

Nos sang se melait

Mêlaient^^

Citation :

il ne releva plus

.
se releva?

Citation :

véritable identitée?

Identité^^

Citation :

Je venait quand même

Venais^^

Vraiment merci beaucoup, ça ma ouvert les yeux. Je suis un fatal victime des fautes de frappe (et par la même occasion je suis nul pour accordé mes participes passés^^)
mais dit moi comment tu as fait pour trouver toutes mes fautes? Tu as copier dans word et son correcteur orthographique?

ouaww tu es vachement douée en ortho!!

Est ce que quelqu'un pourrait terminer ou continuer un peu le chapitre 5 pour me donner des idées, je suis un peu a sec^^

Chapitre V, suite

Le Pti' Brun lençait toujours des appels désespérés, esseyant de tenir le coup, mais la douleur le crispait et le torturait. Ca me faisait vraiment mal au coeur de le voir comme ça. Il tenta de bouger, se lever mais je le maintena au sol avec ma tête. La pomelée, la reconnaissant se mit à ruer pour aller rejoindre son petit, tirer au renard, le lecher le soigner était son désir le plus fou du moment. Tellement d'émotion de le voir, tellement de haine à dépenser. Elle arracha le crochet au mur, et le traina avec elle jusqu'a son petit qu'elle rejoigna au trot. J'en restait bouche bée, les yeux écarquilés vers cette mère qui retrouvait son enfant, une sorte de petit sourir se découvrit, mais un sourir façon cheval, les oreilles droites, penchées vers l'avant. Je poussai un soupir puis tenta moi aussi de me décrocher, tirant de toute mes forces sur le crocher. Mes cervicales craquèrent me faisant un mal fou. Je m'arreta voyant que je n'y arriverait pas. Je me prit alors dans une tache compliquer qui consistait à me détacher en rongeant la corde.
Le bruit que nous faisions n'avait apparement pas attiré les humains. Je continua de m'user les dents sur cette corde qui ne cedait pas.
La pomelée lechait les blessures du ptit' Brun avec tendresse. Et moi je pensait à la Noire, comment allait elle? Toute cette vie, mon troupeau et ma famille que je devait laisser derrière moi. Une angoisse s'était installée en moi, l'angoisse d'être prisonier à jamais, ne plus jamais galoper crinière au vent, ni se battre contre les bêtes sauvage ni plus rien. le mur et la corde devinrent vite mes pire peur et angoisse je tirait, mordait dans ce mur sans sentiments, sans crainte.
Mes muscles devinrent crispés et douleureux à force, je m'arreta bien vite. Je ferma les yeux et soupira, je ne retrouverais donc jamais ma libertée?

Chapitre VI

Je me suis endormi cette nuit là comme une masse. La pomelée elle était déjà endormie depuis longtemps au cotes de son poulain sont la blessure tellement lechée ne s'était pas refermée mais le sang ne coulait plus. Mes yeux ne suportèrent plus de rester ouverts et se fermèrent automatiquement. Le sommeil me prit très vite. Au petit jour lorsque je réouvrit les yeux je découvrit la pomelée entrain de brouter aux cotés du pti' brun toujours couché. Je découvrit qu'il était attaché par le postérieux droit avec une chêne à la caisse.