Tout était blanc hormis le ciel grisâtre... {+1}

[Écrit en 2003 puis retouchée en 2007]

+ 1 +
Tout était blanc hormis le ciel grisâtre. La neige avait enveloppée tout le paysage. Les animaux se terraient dans leurs habitats, les êtres humains, eux restaient bien au chaud devant un bon feu. Une forme se distingua malgré les flocons de neige. Elle avançait à pas lents mais légers. Soudain, elle s’écroula. Cette ombre frêle n’était t’autre qu’une jeune fille d’environ 16 ans à en juger par sa taille.
Pourquoi était elle là ? Pourquoi avait elle marché jusqu'à tomber de fatigue ?
Soudain, la jeune fille se releva péniblement. Elle marcha jusqu'à une grotte à quelques mètres. Une fois à l’intérieur, elle se laissa tomber lourdement sur le sol. Elle se découvrit de sa capuche en fourrure beige. Son visage était fin, ses cheveux devait arriver jusqu’aux épaules et étaient d’une couleur étrange…rose, roux ou non, peut être violet… Ses yeux étaient noirs, ils contrastaient avec son visage si doux. Ses vêtements étaient trempés par la neige sibien qu'elle grelotait dedans. Elle les retira donc, les étendis par terre et s’enroula dans une cape sèche. Elle attrapa de sa poche quelques branches qu’elle gardait toujours, pour un feu. Elle les disposa par terre et, elle prononça une formule inaudible, la paume de la main vers le sol. Une flamme jaillit vivement des branchettes. La jeune fille se réchauffât, tout son corps reprenait des couleurs. Mais un bruit fendit le silence reposant. Une alarme criait de tout son cœur. La jeune fille se figea, une peur se lisait sur son visage. Elle se rhabilla en vitesse dans ses habits humides et éteignit le feu en l'étouffant avec sa cape. Bien qu’elle fût à bout de force elle s’échappa en trébuchant maladroitement.

A la Base…
Les soldats accouraient de toutes parts. Dans un haut parleur, la voix effrayante du directeur criait : « Alerte112 LeTout était blanc hormis le ciel grisâtre. La neige avait enveloppé tout le paysage. Les animaux se terraient dans leurs habitats, les êtres humains, eux restaient bien au chaud devant un sujet expérimental 29 s’est échappé, tous à la salle générale ! »
Il répétait se message en boucle. Lorsque enfin tout le monde fut dans le lieu demandé, un homme, petit, gros et habillé en costard se montra du haut d’une estrade :
« Le sujet n°29 s’est échappé. Nous lui avions implanté l'Expérience dans le corps sans qu’elle en ait conscience.»
Tous les hommes présents se figèrent de peur. L’Expérience… personne ne savait avec exactitude sa forme ou sa couleur mais il était sûre que c'était un engin destructeur et dangereux pour l'humanité. Mina était le premier Androïde à le tester. Le petit directeur dirigea ses soldats avec fougue et hargne. Ils partirent en courant, des armes puissantes à la main.

Dans la nature …
La jeune courait, courait, courait à n’en plus finir.
« Il ne faut pas qu’il me rattrape Il ne faut pas qu’il me rattrape Il ne faut pas qu’il me rattrape »pensait-elle très fort. Au fur et à mesure que ses pas battaient le sol, on distinguait un mince filet de sang qui souillait la neige éclatante. Cependant, le liquide rouge fut recouvert très vite par une tempête.
« Pas maintenant… »
La jeune fille se tenait l’avant bras. Le sang venait de là.
« C’est pas vrai… Je ne peux pas me laisser attraper… »
Ses yeux d’habitude si noirs eurent, un instant une lueur orangée. Elle accéléra le rythme, un instant elle crut pouvoir s’échapper. Mais, épuisée, elle s’affala par terre, le visage dans la neige :
« Allez…relève toi !
Pourquoi me relever ?
Mais, on te rattrapera sinon !
Et alors, ça arrivera bien un jour… »
Mina luttait contre son envie de rester étalée là, par terre. Soudain, elle sentit quelque chose la soulever.
« Ca y est, il m’ont retrouvé…
Mais défends toi idiote !
Ca sert à rien
Mais si allez, DEFENDS TOI !
Non… »
Elle n’eut pas le courage de parler, de donner un coup quoique ce soit. Elle se laissa simplement transporter.

Tama a écrit:: [Écrit en 2003 puis retouchée en 2007]

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Tout était blanc hormis le ciel grisâtre. La neige avait enveloppée tout le paysage. Les animaux se terraient dans leurs habitats, les êtres humains, eux restaient bien au chaud devant un bon feu. Une forme se distingua malgré les flocons de neige. Elle avançait à pas lents mais légers. Soudain, elle s’écroula. Cette ombre frêle n’était t’autre [n'était autre] qu’une jeune fille d’environ 16 ans à en juger par sa taille.
Pourquoi était elle là ? Pourquoi avait elle marché jusqu'à tomber de fatigue ?
Soudain, la jeune fille se releva péniblement. Elle marcha jusqu'à une grotte à quelques mètres. Une fois à l’intérieur, elle se laissa tomber lourdement sur le sol. Elle se découvrit de sa capuche en fourrure beige. Son visage était fin, ses cheveux devait [devaient] arriver jusqu’aux épaules et étaient d’une couleur étrange…rose, roux ou non, peut être violet… Ses yeux étaient noirs, ils contrastaient avec son visage si doux. Ses vêtements étaient trempés par la neige sibien qu'elle grelotait [grelottait] dedans. Elle les retira donc, les étendis par terre et s’enroula dans une cape sèche. Elle attrapa de sa poche quelques branches qu’elle gardait toujours, pour un feu. Elle les disposa par terre et, elle prononça une formule inaudible, la paume de la main vers le sol. Une flamme jaillit vivement des branchettes. La jeune fille se réchauffât [réchauffa], tout son corps reprenait des couleurs. Mais un bruit fendit le silence reposant. Une alarme criait de tout son cœur. La jeune fille se figea, une peur se lisait sur son visage. Elle se rhabilla en vitesse dans ses habits [répétition] humides et éteignit le feu en l'étouffant avec sa cape. Bien qu’elle fût à bout de force elle s’échappa en trébuchant maladroitement.

A la Base…
Les soldats accouraient de toutes parts. Dans un haut parleur, la voix effrayante du directeur criait : « Alerte112 Le sujet expérimental 29 s’est échappé, tous à la salle générale ! »
Il répétait se message en boucle. Lorsque enfin tout le monde fut dans le lieu demandé, un homme, petit, gros et habillé en costard se montra du haut d’une estrade :
« Le sujet n°29 s’est échappé. Nous lui avions implanté l'Expérience dans le corps sans qu’elle en ait conscience.»
Tous les hommes présents se figèrent de peur. L’Expérience… personne ne savait avec exactitude sa forme ou sa couleur mais il était sûre que c'était un engin destructeur et dangereux pour l'humanité. Mina était le premier Androïde à le tester. Le petit directeur dirigea ses soldats avec fougue et hargne. Ils partirent en courant, des armes puissantes à la main.

Dans la nature …
La jeune [oubli] courait, courait, courait à n’en plus finir.
« Il ne faut pas qu’il me rattrape Il ne faut pas qu’il me rattrape Il ne faut pas qu’il me rattrape »pensait-elle très fort. Au fur et à mesure que ses pas battaient le sol, on distinguait un mince filet de sang qui souillait la neige éclatante. Cependant, le liquide rouge fut recouvert très vite par une tempête.
« Pas maintenant… »
La jeune fille se tenait l’avant bras. Le sang venait de là.
« C’est pas vrai… Je ne peux pas me laisser attraper… »
Ses yeux d’habitude si noirs eurent, un instant une lueur orangée. Elle accéléra le rythme, un instant elle crut pouvoir s’échapper. Mais, épuisée, elle s’affala par terre, le visage dans la neige :
« Allez…relève toi !
Pourquoi me relever ?
Mais, on te rattrapera sinon !
Et alors, ça arrivera bien un jour… »
Mina luttait contre son envie de rester étalée là, par terre. Soudain, elle sentit quelque chose la soulever.
« Ca y est, il m’ont retrouvé…
Mais défends toi idiote !
Ca sert à rien
Mais si allez, DEFENDS TOI !
Non… »
Elle n’eut pas le courage de parler, de donner un coup quoique ce soit. Elle se laissa simplement transporter.

C'est pour l'instant un sujet connu, aussi j'espère que la suite de l'histoire sera plus originale
Tu as un très bon style, fluide et agréable. Quelques petites erreurs:

Lorsque tu dis "Soudain la jeune fille se releva péniblement", c'est contradictoire. Soudain veut dire vite, rapidement, or l'adjectif "péniblement" c'est tout le contraire

"Il ne faut pas qu'il me rattrape" je n'ai pas coloré car je ne savais pas si c'était voulu, mais peut-être serait-e mieux de mettre "ils" ? Car ils sont plusieurs les soldats

Ci tout
1/1,5

A vrai dire, c'est encore flou la suite x)
Merci pour ces notes et pour les petite correction [ en effet c'est "ils" ! ]

Ouaaa !! Il est magnifique....^^

Merci beaucoup!
J'ai lu le tien aussi, il est un peu tristounet quand même T__T

ouai XD ^^

+ 2 +
Les hommes de la Base …
Le directeur était préoccupé… Voici la deuxième fois qu’un de ses sujets s’était échappé. Il repensa à cette mésaventure datée de quelques années plus tôt:
Un jeune garçon de 17 ans était mort. Mr le Directeur avait comploté avec la STDCMecanique [site de transfert ou de destruction des corps mécaniques] pour qu’elle lui revende le corpsd'un Androïde. Il l’avait ensuite fait des expériences illégales de toute sorte sur ce corps: test de resistance, customisation, autopsie, etc. Ce garçon était entreposé dans une cage de verre, aux sous sol, baignant dans un liquide bleuâtre. Mais, alors que le directeur essayait une nouvelle expérience, celle ci dégénéra et le n°6 s’enfuit. Plus jamais la Société ne le retrouva. Plus jamais elle n’entendit parler de lui.
Et voila qu’un autre sujet s’enfui… Le Directeur hésitait à employer les grands moyens.
« Non, pas tout de suite, mieux vaut d’abord ne lancer que des recherches avant d’utiliser le nucléaire ! Il ne faudrait pas s’attirer la haine des Misérables (Misérable => Le peuple). »
Le directeur si pensif s’en alla voir comment se passaient les opérations de recherche. Malheureusement ou heureusement (?!) ses hommes ne trouvèrent qu’un indice: un mince filet de sang qu’ils analysèrent sans attendre. D’après l’ADN, ce sang contenant des particules mécaniques appartenait bien au n° 29. Le patron ordonna des recherches poussées, c'est-à-dire que ses soldats n’hésiteraient pas à fouiller les maisons des Misérables et à les mettre sans dessus dessous et sans aucune alternative. Bref, une fois l’armée de la Base lancée, c’est la panique totale pour les habitants …

Mina se laissa porter par l’être mysterieux qui l'avait retrouvée. Il avançait à un rythme régulier et rapide. La jeune fille ouvrit un œil hésitant. Elle vit son visage : des cheveux châtains, court en broussaille, un visage beau mais montrant une expression dure et des yeux d’un orange penchant sur le rouge. Mais, pourquoi avait il prit Mina ? Allait il la ramener à la Base ? Prenant conscience de tout ceci, la jeune fille trouva la force de se débattre. Elle articula au prix d’un grand effort :
-Qui est tu … ? Lâche moi !
Le jeune garçon regarda « le sujet d’expérience » dans les yeux. Il lui dit d’une voix calme :
-Mieux vaut que je te garde, à moins que tu choisisse la torture des expériences?
Mina comprit que son transporteur n’était pas contre elle, mais avec elle.
*Comment connait il les expériences de la Base?* pensa-t-elle. Mais elle préféra garder ses questions pour plus tard.
La neige tombait toujours. Tout deux, ils parcoururent un long chemin dans la foret avant d’arriver devant un arbre bien plus haut, plus majestueux et plus ancien que les autres. Le jeune garçon mit Mina sur son épaule. Il commença à grimper. Il était d’une agilité et d’une force sans pareil. Il s’accrochait, se balançait, s’aggripait tel un petit singe. Mina se laissait ballotter de droite à gauche, tout en fermant les yeux. Soudain, il s’immobilisa. Une douce chaleur réconfortante caressa la peau de la jeune fille. Il la déposa sur un matelas et l’enfouit sous une couverture. Le « sujet n°29 » s’endormit tel un humain. Le garçon lui resta assis tout en veillant sur elle. Plus tard, Mina se réveilla. Les flocons cristallins tombait toujours. Elle identifia où elle se trouvait : une pièce vaste baignée d’une lumière douce et chaleureuse, un feu brûlant dans l’âtre, une fenêtre d’où l'on pouvait voir la tempète de dehors et, le garçon, se tenant de dos, assis à la petite porte, les jambes dans le vide. Il n’y avait que quelques meubles, une armoire, une table, deux chaises et une cheminée.
Mina se releva sur son matelas. Il se retourna vers elle et, enfin, il se présenta :
-Tu t’es bien reposée ?
-Oui mais, qui es …tu ?
-Sujet n°6
-Quoi ?
-Sujet n°6, Luni.
La jeune fille eut beaucoup de mal à apprendre la nouvelle mais, elle fut vraiment heureuse! Se tenait devant elle le fameux sujet expérimental n°6 ! Celui qui s’était échappé, celui qui avait combattu les hommes de la Base, celui qui était comme…elle ! Un sourire s’afficha sur son visage, elle commença :
-Je suis …
-Je sais qui tu es !
- ?
-Eh oui, t’es le sujet n°29. Je préfère t’appeler Mina.
Celle-ci acquiesça. Une alarme retentit encore une fois, au loin. Les deux se regardèrent, inquiets.

Alors ce chapitre 2, cool pas cool ?

Merci de respecter le délais de 5 jours pour les up, et de poster dans le post-it prévu à cet effet

Tama a écrit:: + 2 +
Les hommes de la Base …
Le directeur était préoccupé… Voici [C'était : concordance des temps] la deuxième fois qu’un [que l'un] de ses sujets s’était échappé. Il repensa à cette mésaventure datée [datant] de quelques années ~~plus tôt:~~
Un jeune garçon de 17 ans était mort. Mr le Directeur avait comploté avec la STDCMecanique [site de transfert ou de destruction des corps mécaniques] pour qu’elle lui revende le corps d'un Androïde. Il l’avait ensuite fait des expériences illégales de toute sorte [toutes sortes] sur ce corps: test de resistance, customisation, autopsie, etc. Ce garçon était entreposé dans une cage de verre, aux sous-sol[sous-sols], baignant dans un liquide bleuâtre. Mais, alors que le directeur essayait une nouvelle expérience, celle ci dégénéra et le n°6 s’enfuit. Plus jamais la Société ne le retrouva. Plus jamais elle n’entendit parler de lui.
Et voila qu’un autre sujet s’enfui[s'était enfui]… Le Directeur hésitait à employer les grands moyens.
« Non, pas tout de suite, mieux vaut d’abord ne lancer que des recherches avant d’utiliser le nucléaire ! Il ne faudrait pas s’attirer la haine des Misérables (Misérable => Le peuple). »
Le directeur si pensif s’en alla voir comment se passaient les opérations de recherche. Malheureusement ou heureusement (?!) ses hommes ne trouvèrent qu’un indice: un mince filet de sang qu’ils analysèrent sans attendre. D’après l’ADN, ce sang contenant des particules mécaniques appartenait bien au n° 29. Le patron ordonna des recherches poussées, c'est-à-dire que ses soldats n’hésiteraient pas à fouiller les maisons des Misérables et à les mettre sans dessus dessous et sans aucune alternative. Bref, une fois l’armée de la Base lancée, c’est la panique totale pour les habitants …

Mina se laissa porter par l’être mysterieux qui l'avait retrouvée. Il avançait à un rythme régulier et rapide. La jeune fille ouvrit un œil hésitant. Elle vit son visage : des cheveux châtains, court en broussaille, un visage beau mais montrant une expression dure et des yeux d’un orange penchant sur le rouge. Mais, pourquoi avait il prit Mina ? Allait il[Allait-il] la ramener à la Base ? Prenant conscience de tout ceci, la jeune fille trouva la force de se débattre. Elle articula au prix d’un grand effort :
-Qui est tu[es-tu] … ? Lâche moi !
Le jeune garçon regarda « le sujet d’expérience » dans les yeux. Il lui dit d’une voix calme :
-Mieux vaut que je te garde, à moins que tu choisisse [tu ne choisisses]la torture des expériences?
Mina comprit que son transporteur n’était pas contre elle, mais avec elle.
*Comment connait il [connait-il] les expériences de la Base?* pensa-t-elle. Mais elle préféra garder ses questions pour plus tard.
La neige tombait toujours. Tout [Tous] deux, ils parcoururent un long chemin dans la foret[forêt] avant d’arriver devant un arbre bien plus haut, plus majestueux et plus ancien que les autres. Le jeune garçon mit Mina sur son épaule. Il commença à grimper. Il était d’une agilité et d’une force sans pareil. Il s’accrochait, se balançait, s’aggripait tel un petit singe. Mina se laissait ballotter de droite à gauche, tout en fermant les yeux. Soudain, il s’immobilisa. Une douce chaleur réconfortante caressa la peau de la jeune fille. Il la déposa sur un matelas et l’enfouit sous une couverture. Le « sujet n°29 » s’endormit tel un humain. Le garçon lui resta assis tout en veillant sur elle. Plus tard, Mina se réveilla. Les flocons cristallins tombait toujours. Elle identifia où elle se trouvait : une pièce vaste baignée d’une lumière douce et chaleureuse, un feu brûlant dans l’âtre, une fenêtre d’où l'on pouvait voir la tempète de dehors et, le garçon, se tenant de dos, assis à la petite porte, les jambes dans le vide. Il n’y avait que quelques meubles, une armoire, une table, deux chaises et une cheminée.
Mina se releva sur son matelas. Il se retourna vers elle et, enfin, il se présenta :
-Tu t’es bien reposée ?
-Oui mais, qui es …tu ?
-Sujet n°6
-Quoi ?
-Sujet n°6, Luni.
La jeune fille eut beaucoup de mal à apprendre la nouvelle mais, elle fut vraiment heureuse! Se tenait devant elle le fameux sujet expérimental n°6 ! Celui qui s’était échappé, celui qui avait combattu les hommes de la Base, celui qui était comme…elle ! Un sourire s’afficha sur son visage, elle commença :
-Je suis …
-Je sais qui tu es !
- ?[A éviter. Préfère une petite phrase comme "elle lui lança un regard interrogatif"]
-Eh oui, t’es le sujet n°29. Je préfère t’appeler Mina.
Celle-ci acquiesça. Une alarme retentit encore une fois, au loin. Les deux se regardèrent, inquiets.

Alors c'est pas mal, cependant il y a beaucoup de fautes. Pas tellement d'orthographe tu l'a vu, mais plus de style, de concordance des temps, bref de syntaxe. Ca je suis sûre que tu peux en éviter 70% sans soucis en te relisant plus soigneusement
Par ailleurs, jusque là ça me fait plus penser à une nouvelle qu'à un roman: Tu décris les actions, c'est tout. Entre plus dans la psychologie des personnages, donne plus de descriptions pour en faire un vrai roman
L'histoire est toujours intéressante, essaie d'étoffer ces passages.
N'oublie pas de ne pas révéler tous les détails, il faut garder un peu de mystère pour séduire

0,8/1,5

Au secours, toutes ces fautes xD
Merci pour ces conseils, je vais essayer de les appliquer ^^

J'ai hâte de voir la suite

+ 3 +
Le Directeur…
Dans une pièce circulaire d’une vingtaine de mètres environ s’étendait un bureau au milieu du quel trônait un fauteuil grisâtre. Face à celui-ci, une baie vitrée offrait une vue sur un jardin reconstitué. Sur les murs peints couleur métal étaient accrochés différents tableaux représentants des scènes historiques de l’ancien temps tel que la bataille de Waterloo. Le Directeur, assis sur son trône, écrivait. Soudain, il sursauta. On avait fait retentir une fois de plus l’alarme. Un sourire malsain se dessina sur les lèvres de l’homme bien portant.
« Je ne commettrais plus l’erreur du sujet n°6. Les fouilles sont lancées, aucune chance de t’échapper.» pensa-t-il.

Les Misérables…
Des cris fusaient de toute part. Les Soldats avaient commencés « les recherches ». C’était la débandade chez les Misérables. Une femme tenant son bébé de quelques mois dans les bras fut éjectée de sa pauvre maison, elle regardait l’Armée chercher des indices… ce qui revenait à mettre sans dessus dessous le mobilier déjà cassé. Certains hommes tentaient de résister aux fouilles même des enfants s’étaient armés pour combattre. Mais, pensez vous que de malheureux couteaux ou fourches ferait affaire contre des armes surpuissantes ? Beaucoup de personnes, pourtant si courageuse, furent mutilés.
Après des heures d’horreur, un Sergent lança, enfin, à ses soldats :
-Repli!
Toute l’Armée se retira, laissant derrière elle des villageois miséreux et blessés. Le chemin menant vers une inlassable guerre, une révolte sanglante, semblait s’éclaircir pour l’avenir…

Dans la petite maison haut perchée…
L’alarme s’était tue. Mina passa la main dans ses cheveux violets orangés et ferma les yeux. Après s’être reposée, elle voyait plus clair. Il fallait songer à un plan. Elle s’adressa à Luni sur un ton inquiet :
- Tu ne crois pas qu’il est dangereux de rester ici ?
- Très certainement.
La fermeté avec laquelle il répondit étonna la jeune fille. Elle continua cependant :
- Nous devrions fuir…
- A quoi bon ? Il n’y a que les lâches qui fuient ! Mieux vaut combattre ! De toute façon, nous n’avons aucun endroit où nous réfugier.
- Mais tu dois le savoir aussi bien que moi, ils possèdent des armes puissantes et dévastatrices, nous ne sommes pas de taille!

Le jeune homme ne répondit rien. Il était debout prés de la fenêtre, observant au loin. Il finit par s’asseoir dans l’encadrement de la porte, son regard toujours porté sur le paysage enneigé.
Mina le regarda faire, ne disant rien, ne bougeant pas. A première vue, Luni lui avait paru quelqu’un de sensible et naïf. En réalité, elle découvrait peu à peu une volonté de fer et une forte personnalité.
Il souffla comme pour évacuer les mauvaises pensées de son esprit puis, il répondit sur un ton posé.
- Si nous fuyons, où irons nous ?
- Je crois que nous pourrions trouver un abri ou l’hospitalité des gens.
- Naïve… Les humains sont racistes envers les androïdes quand aux cyborgs, ils les considèrent plus comme serviteurs.
- Ils ont mieux à faire que de rejeter deux androïdes. Je sais que des recherches ont été lancées, toute leur haine sera retournée contre les Soldats.
- TU es la cause de leurs soucis, c’est à cause de TOI que le Directeur a ordonné des recherches ! Alors, tu penses vraiment qu’ils vont d’accueillir à bras ouvert ?
Plus de réplique, plus de mots, il venait de découvrir l’argument imparable, l’argument sadique qui transperça le cœur de Mina. Pourquoi n’avait elle pas réfléchit ? C’était à cause d’elle… Se rendant compte de mal qu’il avait causé, Luni baissa les yeux puis avança doucement. Il posa sa main sur l’épaule de Mina et s’excusa rapidement, gêné. Sans ajouter une phrase de plus, il s’éclipsa dehors. La jeune androïde resta seule, ressassant la conversation et, elle se rendait compte des catastrophes qu’elle causait. Sans se rendre compte, elle exprima ses pensées à voix haute :
- Comment vais-je faire ? Je n’ai aucune issus… Et si je me suicidais ? Ainsi, personne n’aurait plus de problème et j’aurais mis en échec les résultats des recherches testées sur moi.
- Non, ce serait idiot.
Luni venait de s’avancer devant elle. Il poursuivit d’une voix puissante :
- Dis moi Mina, sais tu exactement ce que la Société t’a fait? Quelles sortes d’expériences ? Qui ils sont ? Sais tu pourquoi je te connais, qui je suis ?
- Je n’en sais rien. La plupart du temps, je sombrais dans l’inconscience lors des interventions trop violentes et …
Le garçon l’interrompit.
- Laisse moi t’expliquer, mais avant assis toi.
Dans le silence le plus total, les deux androïdes s’assirent sur le matelas et Luni commença son histoire.
- Je suis né dans le Nord du pays. Depuis petit, j’ai des malformations. Mes parents ont décidés de me faire poser des prothèses mécaniques. A 5ans, mes jambes et mon bras droit étaient fait de fer et d’acier. C’était, et c’est toujours, chose courante. Hélas, un jour, mes parents ont perdu une somme importante. Nous étions pauvres, ce fut notre coup de grâce. Mon père se suicida, ma mère mourut de chagrin. Je me suis retrouvé seul à dix ans dans la rue. Durant 5 ans, j’ai traîné avec des gamins, dans la ville. On volait à droite à gauche, vivant comme on pouvait. Jusqu’au jour où je suis mort. Ne me demande pas comment, je ne m’en souviens plus. Mon corps a été retrouvé et on l’a emmené au STDCMécanique [site de transfert ou de destruction des corps mécaniques]. La Société fait un trafic de corps avec le STDCMécanique, voilà pourquoi j’ai été transféré là bas. Les différentes expériences m’ont ramené à la vie… Sauf que maintenant, je suis presque entièrement fait de fer et d‘acier. Il y a 1 an, jour pour jour, je me suis enfuit des entrepôts de la Société. J’ai réussit à me cacher, jusqu’à maintenant, mais ça va devenir de plus en plus difficile avec ta fuite…

Mina restait sans voix, son récit semblait tout droit sorti d’un cauchemar. Luni l’avait bouleversée, d’autant plus qu’il racontait avec une froideur inhabituelle.

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Oups, j'ai pas eut le temps de me relire Surprised

Quelques fautes mais trop bien !

Merci
Je vais me corriger les fautes, j'ai pas eut le temps ^^

[ Encore Joyeux Anniversaire xD ]

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