Une jeune demoiselle vivait dans une haute tour d’un château noir comme la nuit. Elle s’y faisait bien traiter mais plus les jours avançais plus la solitude la pesait. Amélia n’aimait point la vie dans se lugubre château. Elle ne pouvait voir personne et personne ne pouvait la voir sauf les servantes. Elle était constamment seule. La roi du château l’y avait emprisonner car il ne voulait pas voir sa fille souffrir d’un mal de l’amour que lui même avait vécu des années bien avant cela. Amélia avait déjà rencontré l’homme de sa vie mais son père, le roi Vorgon, avait refuser l’union de sa fille avec ce bel homme, le prince Guillaume. Amélia l’avait rencontré quand elle n’avait à peine 5 ans mais elle l’avait tous de suite su, c’était son homme. Guillaume aussi l’avait ressenti, mais il était plus âgé, 7 ans. Les parent du garçon, maintenant âgé de 20 ans, avait accepter l’union. Par contre le père d’Amélia avait refuser, disant qu’une peine d’amour était trop dur à vivre. Dès se moment elle fut enfermer dans la plus haute tour du château.
Amélia savait que son père, seul, avait le pouvoir de la sortir de cette tour. Elle savait aussi que ses servante ne lui refuserais rien car elle était de sang royale. Elle savait aussi qu’elle pourrait faire appelle à un espion en cas de besoin car un jour, elle avait sauvé le travail d’un agent secret qui avait échoué une mission que son père lui avait demandé. Elle avait soutenu cet étrange personnage discret puis il avait réussit à garder son poste d’espion du roi. Depuis se temps, il avait un dette envers Amélia.
Amélia fit appelle à un servante qui accourut.
- Faites entrer très discrètement l’espion.
- Oui ma très cher à votre service, dit l’espion qui était entré subtilement dans la pièce ronde, j’ai ressenti votre appelle.
Amélia congédia la servante puis discuta quelques instant des nouvelle du royaume car il y avait très longtemps qu’elle n’en avait pas été informé. Elle discuta aussi politique puis revint au sujet initial, l’espionnage. Elle dit tout se qu’elle avait besoin de dire. La réaction de l’espion fut immédiate.
- Je ne peux point emprunté cet objet, même si c’est pour la plus belle des princesse. Je reconnaît qu’il vous serait utile mais vous ne savez que trop bien que cet emprunt est dangereux. La salle du coffre est garder par une dizaine de soldat et je ne peux y pénétrer d’aucune manière. Je suis désolé, c’est trop dangereux, dit l’espion en guise de réponse.
- Même si je vous offre un bisou sur la joue en plus? Demanda la jeune femme.
- Vous savez bien que j’aimerais mais je dois refuser cette offre très tentante. Vous êtes la plus belle des princesse du monde et je suis flatter de cette offre, mais je suis désoler je dois la décliner.
La princesse regarda attentivement l’espion. Grand et bien battit il serait un bon parti, mais son cœur était déjà pris, par un homme qu’elle n’avait pas vu depuis des années et qui lui manquait énormément. Ses cheveux brun bouclé était scintillant sous les rayons du soleil qui pénétrait par la petite fenêtre. Ses yeux bleu pétillait de joie. Il était très beau.
- Je vous en supplie, j’ai besoin de votre aide. Vous êtes le seul à pouvoir m’aider. Je ne peux compter que sur vous. Je comprend que c’est dangereux, mais s’il vous plaît. Je vous donnerai plusieurs bisous en guise de remerciement!
Après hésitation il dit :
- Alors j’accepte cette offre! Je ne sais pas quel moyen je vais y arriver mais je le ferai pour vous gente demoiselle. Combien de temps me donnez-vous?
Amélia lui dit qu’elle lui laissait le temps qu’il voudrait. La seule condition c’est qu’il devait réussir. La boule magique devait revenir entre ses mains d’une manière quelconque. Celle-ci lui permettrait d’appeler son charmant Guillaume par ses penser, mais cette boule de quartz était essentiel.
- D’accord alors je vais revenir dès que j’aurai des nouvelle, répondit l’espion.
C’est seulement deux semaines plus tard que le charmant espion revint. Il portait avec lui un sac de toile noir. La sac contenait l’objet de conviction de la jolie princesse. Quand l’espion entra la jeune femme sauta dans ses bras. Elle lui donna des milliers de bisous partout. Quand elle se rendit compte qu’elle n’embrassait pas son Guillaume elle arrêta sur le champ. Elle demanda gentil à l’espion le sac se qu’il lui donna avec regret car il avait bien apprécier la fougue de la jeune femme. La princesse se rendait bien compte que l’espion l’aimait mais elle ne pouvait rien y changer, elle se n’était pas le cas. Elle aimait Guillaume et personne d’autre. Depuis qu’elle était enfermé dans cette tour elle ne pensait qu’a lui en essayant bien de ne jamais oublier son visage de rêve. Elle avait fait envoyer plusieurs lettre au prince sans jamais ne recevoir de réponse. Mais elle savait pourquoi, son père interceptait toute les lettre du prince.
- Merci beaucoup, je vous donnerait bien tous l’or du monde, mais si mon père apprenait se que vous et moi avons fait il nous enfermerait à jamais dans le donjon. Je ne vous remercierai jamais assez. Maintenant c’est moi qui a une dette envers vous.
L’espion fit comprendre à la princesse que se qu’il avait fait, il l’avait fais par amour pour la jeune femme, mais celle-ci dut répondre qu’elle ne l’aimait pas mais qu’elle l’aimerait à jamais comme ami. Soudain un homme, large d’épaule mais pas très grand, entra dans la pièce décoré d’une fenêtre, d’un lit confortable et d’une petite table de nuit complété d’un meuble de rangement pour les vêtements de la princesse. L’espion, qui reconnu immédiatement la démarche du roi, sorti furtivement de la pièce en faisant bien attention de passer inaperçu mais surtout de prendre le sac de toile.
- Ma chère enfant, je ne voudrais t’accuser mais je me suis fait voler ma boule de quartz magique, l’aurais-tu vu? Demanda le roi.
Amélia répondit qu’elle ne l’avait pas vu se qui n’était pas faux car elle n’avait pas encore ouvert le sac de l’espion. Le roi regarda minutieusement la chambre car il ne croyait pas sa fille. Il marcha lentement, les bras derrière le dos, vers la commode de sa fille. Il ouvrit le premier tiroir où il découvrit les robes de tous les jours d’Amélia. La jeune fille ne fit rien mais continua à regarder son père en colère. Il ouvrit le deuxième tiroir et n’y découvrit rien d’intéressant non plus. Dans le troisième, il n’y avait que des pantalons et de beaux chandails. Il fit volte face puis la regarda tendrement.
- Je vous croit chères enfant, dit le roi après cette minutieuse fouille.
Vorgon sorti de la pièce comme il y était entré. Il se retourna, regarda sa fille une dernière fois puis parti. L’espion qui s’était cacher derrière les pans de rideau du couloir sorti quand le roi fut plus loin. Il entra dans la chambre de la princesse, sans lui dire un mot, il lui donna le sac puis il parti. Amélia ne bougea qu’après l’espion parti. Elle prit le sac et l’emmena en dessous des couvertures de son lit. Puis elle se mit au lit avec l’instrument magique dans les bras.