Aux pays des anges {+ 2 points}

Tome 1 : Aux pays des anges.

Chapitre 1 : Tout commence.

Les premiers rayons du soleil traversaient les rideaux orange de la grande chambre à la fenêtre ouverte, baignant la pièce de lumière. Des plumes d’un blanc immaculé jonchaient le matelas sur lequel Camille commençait tout juste à émerger d’un doux et profond sommeil. Elle ramena sa couverture jusqu’à son menton, puis finalement la rejeta brutalement en arrière. La jeune fille se redressa et s’étira longuement avant de bailler à s’en décrocher la mâchoire. Elle posa ensuite ses pieds nus sur la moquette pourpre et se releva doucement en se frottant énergiquement les yeux encore embués de fatigue. Enfin, elle déploya ses magnifiques ailes, incrustées dans son dos, achevant ainsi son rituel du levé. Sa longue chevelure châtain lui retombait sur les épaules, ses yeux d’un vert profond balayaient la salle. Celle-ci, spécialement destinée à accueillir la demoiselle, avait été soigneusement aménagée : les murs, recouvert d’une fine couche d’or étincelaient sous le jour nouveau, les meubles, tous d’un bois le plus convoité offraient un mobilier complet. Le palais royal donnait tout ce que désiraient leurs hôtes, ou presque.
Trois années s’étaient écoulées depuis que la jeune fille aux origines inconnues avait élu domicile dans le somptueux château. Elle n’avait pas vraiment eu le choix, car le propriétaire des lieux, le prince Dalgar, souhaitait sa présence dans sa demeure depuis un bon moment déjà … Pourtant, c’était un jeune homme respectable, et soupirant de Camille, âgé désormais de 16 ans. Elle venait d’un petit village établi à l’orée de la célèbre forêt de Chantebois. Abandonné à 3 ans sur ces lieux, elle doit la vie à une vieille femme qui, à l’époque, l’avait recueillie dans sa modeste maison.
L’ange, vêtu d’une chemise de nuit en soie rose, s’empressa d’enfiler une robe de chambre et de se chausser de pantoufle pour aller rejoindre son futur époux. Elle dévala l’escalier de bois en sautant les dernières marches, avant de traverser la cuisine ou s’affairaient de nombreux serviteurs au pas de course, pour enfin pénétrer dans la salle à manger. Là, elle s’assit sur une chaise au bout de l’interminable table, d’ailleurs seul meuble de l’endroit. En face d’elle, se trouvait l’homme qu’elle aimait … Un feu crépitait dans la cheminée d’où émanait une agréable chaleur.
- « J’ai entendu dire hier, que tu me voulais mariée à toi avant la prochaine pleine lune ? » Le grand sourire de la jeune fille trahissait son excitation grandissante, les flammes du foyer dansaient dans son regard si pénétrant.
- « C’est exact. » Répondit simplement Philipe en levant les yeux d’un parchemin qu’il parcourait. « Demain aura lieu ton anniversaire, et la prochaine lune se déroulera la nuit suivante. Comme présent pour cette événement, j’aimerai te prendre pour femme … » Un même sourire se dessina sur la bouche de l’héritier de tout le royaume de l’Est.
Camille prit un faux air surpris et haussa un sourcil :
- « Rien que cela ? » Elle battit brièvement des ailes, quitta sa chaise et survola la table afin d’aller rejoindre le prince à l’autre bout. Elle passa l’une de ses mains par-dessus son cou et l’embrassa sur la joue. « Ce serait merveilleux …» Susurra t-elle à l’oreille de son bien aimé.
- « Ca ne se fait pas de voler à l’intérieur, surtout pour quelqu’un de ta classe, je te l’ai déjà dis une centaine de fois … » Il soupira, comme s’il savait que ses paroles quelles qu’elles soient ne changeraient rien à cela. Il tourna ensuite la tête vers sa compagne et plongea ses yeux dans les siens. Soudain, toute l’agitation alentour, notamment les laquais qui amenaient les plats pour le petit déjeuner royal des maîtres, sembla disparaître. Il n’y avait plus que lui, et elle …« A chaque fois que je te regarde de cette manière, j’ai l’impression de me noyer dans ton regard tellement il est …envoûtant … »
Contrairement à ce que la jeune fille aurait cru, son prince n’accompagna pas ses dires par une mimique amoureuse, ni par une douce caresse sur le visage, comme il avait l’habitude de faire. Non cette fois-ci il n’y eut rien. C’est alors qu’elle décela dans ses yeux, une peur, un malheur qui n’attendait qu’à s’abattre sur ce monde qu’ensemble ils avaient mis tant de temps à construire. La demoiselle ne laissa rien paraître de son inquiétude, et dissimula sa découverte derrière une bouche souriante. Néanmoins, elle ne comptait pas en rester là…
- « Dis moi, pourquoi tant de hâte pour notre union ? » Elle prit appui sur la chaise ou il trônait, et observa sa réaction.
Celui-ci, afficha pendant une fraction de seconde une grimace si discrète, que sa fiancée faillit ne pas la remarquer.
- « Ne te l’ais-je pas déjà dis ? En guise de tes 17 ans eh bien … » Il n’acheva pas sa phrase, car il prit conscience que sa belle attardait son regard sur le papier qu’il lisait un peu plus tôt dans la matinée. Aussi, s’empressa t-il de l’enrouler et de le mettre dans la poche de son vêtement. Ses joues perdirent de leur couleur, peu à peu, le prince pâlissait.
Camille se redressa brusquement, en fronçant les sourcils, plus sous l’effet de la crainte que de la colère.
- « Mais qui y’a-t-il sur ce parchemin ? Philipe ! »
Le jeune homme d’une vingtaine d’années, s’était levé et marchait d’un pas sûr vers la porte qui donnait sur le vestibule.
- « Si après cela il ose encore me faire la morale … » Songea t-elle, frustrée par le comportement de son amoureux. Elle s’attabla, l’esprit vagabond.
- « Mais tout de même … J’aimerai bien savoir ce qu’il était écrit sur ce mystérieux message … »
Sans plus attendre, elle se rendit dans sa chambre et s’y enferma. Toutes ses questions qui s’entrechoquaient dans sa tête ne lui laissaient aucun répit : 1h avait dût passer quand la demoiselle se décida enfin de se vêtir plus convenablement.
- « Me tromperait-il ? » Elle fut surprise par elle-même en pensant cela, et grimaça de fureur.
- « Tout cela devient ridicule ! » Cria t-elle.
De rage, elle jeta violemment un miroir qui alla se briser contre un mur, puis elle se laissa tomber sur le lit à baldaquin.
- « Mais qu’aurait-il donc à me cacher ? Rien du tout. Et pourtant … »
La future princesse fut tirée de ses songes par une personne qui toqua à la porte.
- « Mademoiselle ? Tout va bien ? J’ai entendu un objet tomber … »
- « Heu, oui. Ce n’ait rien qu’une maladresse. » Elle soupira assez bruyamment en posant son regard sur les morceaux éparpillées de la glace.
- « Bien, alors le repas est servi mademoiselle. »
Elle entendit les pas du serviteur s’éloignant dans l’étroit couloir qui débouchait ici. Bientôt, il n’y eut plus que le bruissement des arbres, dont les branches caressaient la façade du palais. Aux pieds de la fenêtre restée ouverte, s’amoncelaient des feuilles mortes d’une teinte rougeâtre, annonçant le début de l’automne. Si la jeune fille avait fermé les yeux, sans doûte se serait-elle laissée transporter 3 ans en arrière, quand elle vivait encore en compagnie de cette bonne vieille femme dans la forêt de Chantebois. Mais la vie n’y était pas plus douce, car là bas les hivers étaient rudes, la nourriture rare et difficile à se procurer dans ce village isolé obligeait parfois l’enfant à partir en quête de champignons ou fruit des bois et même, mais plus rarement, s’en aller à la chasse. Elle en avait apprit les secrets à un certains âge par vieux chasseur du village. Et comment oublier se jour, ou le prince Dalgar s’était rendu dans le hameau afin d’agrandir sa garnison et finalement était reparti avec une adolescente de 13 ans… Revenant au présent, Camille se dévêtu et enfila une robe en satin bleu clair, puis se coiffa d’une pince incrusté de pierre semi précieuses. Cela fait, elle alla dans le réfectoire, ou l’attendait Philipe, déjà assis autour de la table. Dans la grande pièce régnait un lourd silence, et en croisant le regard de son soupirant, la futur madame Dalgar n’osa d’abord rien dire. Il ne restait qu’une petite flammèche sur le point de mourir dans la cheminée en marbre blanc. S’asseyant sur une chaise en face du prince, la demoiselle prit la parole :
- « Je te trouve bien soucieux … »
- « Je serai absent toute cette après-midi, répondit-il sans faire attention à la remarque de son interlocutrice et sans précisé le pourquoi de son départ. Tous les préparatifs ont était menés à bien pour notre mariage, prévu demain matin. Tu ne me verras plus jusqu'à se moment ci. » Il entama un des plats contenant de la viande de sanglier et mangea avec appétit.
La jeune fille s’interdit d’aborder le sujet de l’incident de ce matin, et apaisa à la place la faim qui lui tenaillait les entrailles.
- « Je saurai mettre cela à profit, se dit-elle en avalant une menue bouché de légumes. Je n’aurai qu’a rentré discrètement dans sa chambre, et ce maudit parchemin n’aura plus de secrets pour moi … »
Le repas se déroula ensuite en silence.
Comme prévu, Philipe parti du château à cheval, accompagné d’une escorte, se qui donnait l’occasion à la princesse de lui subtiliser son mystérieux message …

C'est un excellent début, bravo!
Cela dit, quelques remarques:

Du point de vue des fautes, il n'y en a que très peu, et elles sont toutes à la fin du roman [T'as relâché l'attention? ]

"Camille se dévêtu" Dévêtit

"se coiffa d’une pince incrusté de pierre" Incrustée ; pierres

" la futur madame Dalgar" Future

" répondit-il sans faire attention à la remarque de son interlocutrice et sans précisé le pourquoi de son départ" Préciser

" une menue bouché de légumes" Bouchée

Voilà! Je pense que ce sont plus des fautes d'inattention qu'autre chose, mais essaie de rester concentrée jusqu'au bout
Toutefois le style est très agréable, j'ai eu beaucoup de plaisir à te lire (vivement la suite ^^)

Autre chose qui me gêne: les ailes.
"L’ange, vêtu d’une chemise de nuit en soie rose, s’empressa d’enfiler une robe de chambre"

J'ai du mal à l'imagine s'habiller avec ses ailes..
Et surtout, ensuite:

Elle battit brièvement des ailes, quitta sa chaise et survola la table

Donc bon, moi je me suis imaginée qu'elle mettait la chemise de nuit et la robe de chambre par dessus ses ailes mais alors.. Comment elle fait là? Lol, je sais pas si tu vois ce que je veux dire ^^
Il faudrait que tu explique mieux ta pensée concernant les habits.

Enfin, un petit détail, à la fin lorsque Camille pense, tu utilise exactement le même code que lorsqu'elle parle: -"pensée"
Ne serait-il pas mieux de changer de code pour séparer les pensées des paroles? Ne mettre que des guillemets, par exemple.

Voilà, c'est tout ce qu'on peut reprocher à ce très bon texte. Toutes mes félicitations, j'ai adoré

Notation: 2/3

Merci !
J'arrangerai le problème des vêtement dans mon prochain texte, et pour les pensées je mettrai des pitites étoiles, pour ce qu'est des fautes, bah ...

Moi aussi,j'ai bien aimé,et je me suis posée des question pour les ailes^^
Sinon,j'était captivée : je faisait un texte sur la CO et benh je l'aie completement oublié,et je lisait la bouche ouverte jusqu'a ce que je m'en rende comte et que je la ferme^^Si,si,je vous jure^^

Mdr, merci

Nouvel artiste Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 30/08/2006

J'aime bien lol!!^^
Mais ta pas de chance t'est tomber sur quelqu'un qui a rnecotnré pierre bottero
Camille sa vien de la QUête d'ewilan mdr !!^^ biensur je peut me tromper lol!!^^

Effectivement, j'ai lu Ewilan .
Mais vois-tu ce texte je l'ai écrit avant de lire le livre.
Après libre à toi de me croir ou pas, mais je ne vois pas d'ou je tirerais ce plaisir d'écrir si je recopier une oeurvre

Nouvel artiste Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 30/08/2006

Je n'est pasit que tu la recopier j'ia dit que je penser que cela aviat put t'inspirer te lansser ses pour sa que tu aprit camilel comme nom mais l'hisotire non tu ne la pas récopier

J'ai pris Camille comme prénom, pour la simple raison que c'est aussi le mien

Nouvel artiste Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 30/08/2006

A oki mdr !!^^ c'est aussi le nom de la fille de pierre botero !!^^

[ Voici le deuxième chapitre... Malheureusement il n'est pas complètement achevé ! Comme il risque d'être asser long, je le compléterai plus tard .
Ps: Aillant jeté un coup d'oeil à ma fiche récapitulative j'ai remarqué qu'il me manquait 0.5 point dans la partie ' dessin en couleur '! ]

Chapitre 2 : Le jour qui a changé ma vie.

Camille pénétra le plus discrètement possible dans la vaste chambre de Philipe, en refermant soigneusement la porte derrière elle.
- « Où te caches-tu petit message ? » Murmura t-elle en balayant du regard la pièce, composé d’un grand lit à baldaquin, d’une armoire en hêtre touchant presque le plafond, d’une petite table de nuit sur laquelle reposait une bougie, d’un énorme miroir accroché au dessus d’une bassine en pierre posé elle-même sur un meuble de taille minime, et enfin d’un magnifique bureau en bois sculpté.
La jeune fille se dirigea immédiatement vers le bureau. Dessus se trouvait le fameux parchemin. Il portait le sceau de l’officier chargé des troupes du prince Dalgar, elle le reconnaissait. Elle fronça les sourcils, anxieuse, puis parcoura le bout de papier :

Chers souverain,

Les maléfiques ont dors et déjà franchi la frontière du Nord, et la plupart de nos soldats ont été massacrés par l’ennemi. Nous demandons des renforts dès que possible ! Sans quoi, nous ne tiendrons pas une semaine de plus.
La guerre a été déclarée …

La princesse laissa glisser le message entre ses mains moites. Elle respirait bruyamment. Tout son petit être trembla. Les derniers mots du parchemin résonnaient encore dans sa tête :
- « La guerre a été déclarée… »
C’est alors que ses yeux se posèrent sur une autre lettre, encore scellée.
En y regardant de plus près, la demoiselle constata avec horreur que le message portait le même sceau que le précédent ! Philipe n’avait pas dû prendre le temps de l’ouvrir…
- « Je ne devrais pas … » Chuchota t-elle.
Mais à contre cœur, elle ouvrit l’enveloppe et s’empara de son contenu.

Monsieur,

La situation empire…
Les civils courent se réfugier au Sud du royaume, vous devriez en faire de même, vous, et vôtre dame. Demain soir, les anges noires envahiront le château, et alors, il sera trop tard.
Les dernières garnisons combattent vaillamment à la frontière, mais nous ne nous faisons pas d’illusion, nous allons tous périr sur le champ de bataille, mais ce sera la tête haute !
Longue vie au roi et à la reine !

Une larme roula le long de sa joue, et tomba sur le message. D’autres suivirent…
Non, ce n’était pas possible, cela devait être un rêve, un simple rêve, anormalement vrai… Tout était si beau jusqu’à là ! Pourquoi une guerre ?! Pourquoi ? …
Camille s’assit sur le lit au drap bleu, laissant échapper entre ses doigts le parchemin, mouillé par ses larmes. Elle prit sa tête dans ses mains et soupira profondément.
- « Une guerre contre les maléfiques … »
Les maléfiques étaient des êtres sans pitié, au cœur sombre. Ils tuaient et répandaient le mal partout, ne laissant derrière eux que des contrées noires et stériles, ainsi que des villages à feu et à sang. Il était d’autant plus facile de les reconnaître car leurs ailes étaient noires, d’où leur surnom ‘ anges noires ‘.Et bientôt, ils arriveraient ici même.
- « Mais Philipe n’est pas au courant de cette deuxième nouvelle ! » Réalisa t-elle soudainement. En effet, le futur roi - dés qu’il serait marié – ignorait l’approche imminente de ses ennemis au palais.
Elle bondit sur ces pieds et s’apprêta à rejoindre l’extérieur quand des pas se firent entendre dans le couloir ou donnait la porte de la chambre.
Il ne fallait pas qu’on la voit en train de fouiller dans les affaires du prince !
La jeune fille se dirigea alors vers la fenêtre de la chambre avant de l’ouvrir en grand. Elle se mit debout en équilibre sur le rebord et déploya ses magnifiques ailes. Dans ce monde, les vêtements étaient spécialement conçus pour les gens, et les habits possédaient tous des trous dans le dos, afin de laisser passer les ailes.
Puis, elle se jeta dans le vide, la tête la première, juste au moment ou un serviteur pénétra dans la pièce. Le vent sifflait à ses oreilles et ses yeux, étant habitués à ce genre de cascade, restaient grand ouvert.

C'est très bien! Bravo!
A ce titre je te suggère vivement d'essayer de le faire publier une fois terminé (j'ai essayé sans succès quand j'avais 12 ans mais j'écrivais avec pas mal de fautes de frappe.. Vieille machine à écrire mdr)

Niveau contenu c'est très bon, rien à dire.
Après, pour la mise en forme brute il y a quelques fautes:

Attention au féminin que tu as tendance à oublier
regard la pièce, composé d’un grand lit Composée
d’une bassine en pierre posé elle-même Posée

puis parcoura Parcouru
Chers souverain, Cher
dors et déjà D'ores et déjà
anges noires Anges noirs

Autre petite chose, quand tu parles des maléfiques.. Ne serait-il pas judicieux d'utiliser une majuscule, comme si c'était un nom propre?

Voilà, sinon c'est parfait. Un peu court, dommage. Vivement la suite

Note: 2/3
Tu as bien fait de préciser pour le dessin, c'est un oubli de ma part. J'y remedie tout de suite!

Publier ?
C'est un de mes rêves, mais je termine rarement mes histoires... J'essaillerai de tenir et avançer!
Et merci pour les conseils

C'est notre défi à tous, terminer son histoire!
Ca m'est arrivé une fois..
Mais comme je l'ai dis je possedais alors une très vieille machine à écrire.. Si il y avait une faute, soit je la laissais soit je retapais toute la page ^^'
Finalement je l'ai envoyé truffé de fautes donc forcement..

» Les USA, pays des chuchoteurs?
» [OK] Chez moi...{+3 points}