Rédac...

Voilà alors...notre prof de français nous a demandé de faire une rédac sur le thème: roman policier. Je ne l'ai pas encore finie, mais...Qu'est-ce-que vous en dites...?

La seconde disparue

Je me présente : Steve McTeens, détective privé, de mon métier. J’enquête actuellement sur la disparition mystérieuse d’une étudiante en Sciences Physiques. Hier, une de ses amies, une charmante fille appelée Nathalie Colbert m’a rendu visite et m’a prié de m’occuper de la retrouver. Elle m’a raconté qu’il y a un mois un professeur de l’académie avait disparu aussi, et qu’on avait retrouvé son cadavre dans la Seine, à Paris. Or, Mary Stephens (la disparue) avait des relations étroites avec ce professeur, car il était son oncle par alliance. Mary était très réservée quand on avait des discussions sur son oncle, elle avait juste laissé échapper qu’il étudiait les propriétés des pierres Lunaires, c'est-à-dire des pierres provenant de la Lune. Quand elle lui avait demandé des détails, Mary s’était tue et n’avait plus pipé mot jusqu’au prochain cours, comme si elle s’en voulait d’en avoir trop dit…
Elle avait aussi raconté qu’un jour Mary n’était pas venue à l’école, qu’elle n’avait pas répondu au téléphone…et que… et que… et que juste à ce moment là la demoiselle Colbert avait éclaté en sanglots, me faisant promettre des centaines de retrouver son amie, qu’elle soit morte ou vivante. Après avoir utilisé tout un paquet de mouchoir, la pauvre Nathalie, avait ajouté que le lendemain non plus, Mary n’était pas venue à l’académie, et que le soir, en lui rendant visite pour se faire expliquer son absence, elle avait trouvé la porte fermée à double tour, et une lettre sous le paillasson… J’avais dû lui promettre encore une douzaine de fois que je retrouverais son amie, puis elle m’avait quitté, en me laissant une poubelle pleine de mouchoirs chiffonnés, et une lettre tout aussi froissée.

Nathalie,
Ne me cherche pas. C’est inutile.
Je sais que cela a à voir avec Nicolas. Je ne te l’ai pas dit, mais je savais.
C’est ma faute s’il est mort.
Mon oncle, en effet, avait découvert que les pierres Lunaires
avaient la propriété de produire de l’

Le reste de la lettre avait sans doute été déchiré, on voyait une coupure irrégulière au bas de la feuille.

Je téléphonai à Nathalie, histoire de la rassurer puis de lui demander de me donner l’adresse de l’académie et celle de l’appartement de Mary. Je lui demandai aussi de me dicter l’emploi du temps de l’étudiante disparue, ainsi que le nom des professeurs.
Je commençai par l’appartement. Il me fut facile de le trouver. Il se trouvait dans le quartier latin, non loin de la Sorbonne. Je composai le code à l’interphone pour ouvrir l’énorme porte en bois verni. Comme me l’avait indiqué Nathalie, je montai au troisième et dernier étage. Il y avait à coté de la porte de la disparue une paquette de métal sur laquelle était gravée son nom. Je sortis discrètement mon passe partout et entrepris d’ouvrir la porte. Ce fut un jeu d’enfants. Une fois dans l’appartement, je remarquai rapidement que les deux seules pièces avaient été saccagées, comme si on avait cherché quelque chose. J’entrepris de fouiller l’appartement. Après des recherches minutieuses, je trouvai un indice qui me paraissait louche : un bout de carrelage blanc, comme cassé, qui ne correspondait à aucun des sols de l’appartement, et une minuscule pierre grisâtre, que je supposai provenant de la lune. Je quittai enfin l’appartement, mes deux indices dans la poche, après avoir soigneusement refermé la porte de l’appartement derrière moi. Dans l métro, je réfléchis à mon programme du lendemain. Je n’irais pas au bureau : je me rendrais à la faculté.
Je me levai vers huit heures, fis ma toilette, m’habillai et partis pour l’académie. Je demandai à rencontrer la directrice de l’établissement à qui je montrai ma carte d’enquêteur et demandai de me conduire au bureau de Nicolas…
-Harnaud ?- me demanda-t elle. Je traduisis ce mot comme le nom du professeur décédé.
J’acquiesçais. Elle m’amena donc salle 23, au rez-de-chaussée.
-Voilà, monsieur.
-Merci…
Le bureau semblait ne pas avoir été utilisé depuis la disparition du professeur. Encore, des feuilles gisaient, abandonnées. Quelques fioles de verre éparpillées sur le bureau, des posters indiquant des formules extra compliquées… Mais ce que je remarquai du premier coup d’oeil fut une dalle dont l’un des coins semblait avoir été cassé. Je m’approchai, le bout de dalle trouvée le jour précédent chez Mary. Je le comparai d’abord la couleur de mon « échantillon » avec celle du carrelage du bureau. Les mêmes. Indice de plus : le morceau rentrait parfaitement dans le trou. Alors que j’appuyai dessus, Il y eu comme un déclic et s’ouvrit une trappe qui devait avoir été cachée sous la dalle. Si on l’avait cachée, c’est que je trouverai sûrement des indices là dedans. Je me tournai vers la principale de la faculté et lui fis un signe de la main pour lui faire comprendre qu’elle pourrait me suivre si elle en avait envie. Je remarquai qu’elle me regardait avec une certaine admiration. Evidemment, elle me suivit. Je rentrai dans le trou, descendis deux ou trois marches et me retrouvai dans le noir. J’allumai mon briquet pour faire un peu de lumière tandis que Mme Layer (la principale) descendait à son tour dans le trou.

Oui tu dois pouvoir faire une bonne rédac' avec une base comme celle-ci
Y'a deux ou trois trucs que je changerai:

Citation :

’avais dû lui promettre encore une douzaine de fois que je retrouverais son amie, puis elle m’avait quitté, en me laissant une poubelle pleine de mouchoirs chiffonnés, et une lettre tout aussi froissée.

[lettre]

Le reste de la lettre avait sans doute été déchiré, on voyait une coupure irrégulière au bas de la feuille.

Je téléphonai à Nathalie, histoire de la rassurer puis de lui demander de me donner l’adresse de l’académie et celle de l’appartement de Mary. Je lui demandai aussi de me dicter l’emploi du temps de l’étudiante disparue, ainsi que le nom des professeurs.

Là en fait, moi j'ai l'impression que la fille vient de partir et qu'il lui téléphone de suite. Faudrait clarifier je pense

Pour l'appart, une petite incohérence à mon gout: Lorsque quelqu'un disparaît, selon moi il y a avant tout enquête de la police. Il faudrait au moins sous-entendre leur précédente venue (c'est juste une suggestion ^^)

Sinon bonne orthographe, bon style, histoire prometteuse

Mais ma prof m'a demandé trois pages max et j'en suis déja à une page et demi... A moins que je ne rallonge les limites au risque d'écrire un roman...

Pour le petit problème pour le coup de tel à Nathalie, au début, il dit que telle fille est venue le voir hier. C'est pas tjr évident mais je crois qu'on peut penser que le jour après, il téléphone à Nathalie...

Pour le problème de la police, c'est vrai que c'est pas trés clair tout ça...
Conseils SVP!!!!!!

Ah oui d'accord.
A ce moment là j'aurais écris:

Aujourd'hui encore je relisai pour la quinzième fois le mot de Mary, observant chaque courbe de ses lettres, y cherchant un quelconque indice.
Finalement, je téléphonai à Nathalie, histoire de la rassurer puis de lui demander de me donner l’adresse de l’académie et celle de l’appartement de Mary. Je lui demandai aussi de me dicter l’emploi du temps de l’étudiante disparue, ainsi que le nom des professeurs.

Pour que ce soit un chouillas plus clair, ça te mange juste deux lignes et je pense que c'est utile quand-même.

Pour la police, il faut pas développer dessus. Juste signaler sa venue.. Tu peux mettre un truc dans ce style par exemple:

Comme me l’avait indiqué Nathalie, je montai au troisième et dernier étage. Il y avait à coté de la porte de la disparue une paquette de métal sur laquelle était gravée son nom. Je sortis discrètement mon passe partout et entrepris d’ouvrir la porte, que la police avait refermée avec soin après avoir effectué les premières fouilles. Ce fut un jeu d’enfants.
J'entrai non sans une petite bouffée d'excitation dans la pièce désormais vide, et je remarquai rapidement que tout avait été saccagé, comme si on avait cherché quelque chose.

Woâââ!Attends c'est génial!!!
Merci J'adore!![/img]

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