C’est surement un mal convenu entre nous

C’est surement un mal convenu entre nous


Un jour je serai facile,
A ce jour trop égocentrique peut être paranoïaque, pas assez fiable
Nuit noire obscurité qui par une braise devient malléable,
Ronde de minuit, de danseurs regrettables les voilà qui se rapprochent d’un âtre plaisant
Blanc furtif, parfois, rouge le plus souvent
Un cœur flamme de sentiment,
Pour toi, personne ne peut ressentir ce trouble qui me continue fâcheusement
Car il y a une faiblesse immense dans ma joie continue
Car je connais mal mes défauts et trop mes qualités
Seulement les solutions pour chasser ces danseurs sous les étoiles sont des plaies
Elles sont dans le plus loin, rechercher l’immense, avis non entendu
Je me vois un avenir faste c'est-à-dire être oublié par cette ordre qui me bouleverse
Rythme d’une vie trop doux, peut être un seul besoin d’aventure.

Le son est trop triste, elle glisse, gouttes s’échappant de ma maladresse
Ressentie, parfois soumis à ma propre censure.
A ces moments plus qu’une phrase me guide :
« J’ai l’impression qu’il m’aime vraiment… »
S’éloignent les sentiments reprennent leurs tours peureusement
Mais qu’adviendra t’il le jour levé ? Je me l’imagine, gémissements avides
Quand nous serons main dans main en plein centre de cette ampleur ?
Reviendrons t’ils ? Malheureusement c’est probable,
Que je tourne en rond comme eux ; autour de ces gens affables
Que tu côtoies ceux-ci après tout, certaine chose m’apparaisse comme fatal et plein d’ardeur
Ce tour de manège, simple et cour, m’amusera t’il ?
Il risque de me briser et je ne pense pas que cela en vaille la peine
Mais, tu me fais murmurer par le seul battement de tes cils,
Et tu fait naître l’aube en moi, soleil voilà la fin de danseurs pareil
Pour un moment paisible en tout cas.

Bin en gros : il fait tout noir à l'interieur de moi, dans mon esprit. C'est la nuit. Au milieu il y a une flamme : mon coeur. Mon coeur change de couleur et peu réduire l'obscurité. Si il fait noir, c'est à cause de lui parce que c'est dur, parceque je ne suis pas [encore?] avec lui. Autour de ce feu, mon coeur, il y a des danseurs c'est toutes les questions que je peux me poser, tout ce que je peu vivre, mes petits tracas. Et ils se rajoutent à l'obscurité pour me faire mal. Et là je me dit peut être que ce que je vie n'est pas assez fort? Peut être aurais je besoin d'aventure?

Et je pleure, parce que je l'aime, parce qu'il m'aime. Et j'attend qu'on soit ensemble, que le jour ce lève à l'intérieur de moi même. A ces moments je ne voient même plus les danseurs mais plus que le coeur et le sombre. Mais finalement je me pose cette question : quand nous serons ensemble, quand le jour ce levra, tout sera t'il aussi fantastique? Il restera ces danseurs qui tourneront toujours autour de mon coeur Et seule je réfléchis à tout ça, je me dit que c'est impossible que se serais trop dure d'être ensemble. Je le vois et j'oublie tout, l'obscurité devient l'aube et je ne pense plus qu'au moment présent, plaisant mais pas durable.

Bon mais après le truc je voulez laisser l'imaginaire aux lecteurs je vous dévoilent tout c'est pas le but > < enfin j'éspère que sa vous aidera à comprendre mes textes étranges...