Dis-moi que cette vie n'est pas la mienne...

Elle déploie ses ailes mais
sur le barbelés,
ses ailes sont déchirées

Elle appelle mais en vain.
Ses cris ensanglantés,
résonnent dans l'obscurité.
Elle appelle mais personne vient.

Elle est seule.
La solitude l'a dévorée.
Les vagues font ce qu'elles veulent.
Mais les mouettes l'on repérée.

Son âme s'est évanouie.
Son corps s'est noyé.
A présent, elle n'a plus de vie.
Même l'amour ne saura la ressuscitée.

Elle pleure dans le noir.
Elle devine le tueur,
mais elle a l'espoir,
de perdre cette peur.

Elle imagine une vie.
Celle ou elle jubile d'envie.
Elle manque d'air.
D'amour et d'affection.
Elle lis en lui, en cette intonation.

Elle s'évade mais se cogne.
Au barreaux de la mort.
Elle est comme borgne,
insensible du corps.

Son cœur inutile elle ne saurais,
a qui le donner.
A quelqu'un de malhabile,
Mais hier, elle hésitait.

Aimer encore, elle voulait.
Alors qu'elle n'est plus ici.
Elle ne pourrait donc jamais.
Alors qu'elle n'a plus vie...
(mais elle voulait, aimer encore)

Elle se fera une raison,
sans pleurer.
Acceptera la façon,
d'exister.
Même si elle se savait morte.
Elle saura qu'elle n'a pas
pris la bonne porte.