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 juste un début sans titre [3]

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mimib
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MessageSujet: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeSam 14 Avr - 11:19

voilà se que j'ai écrit il y a quelque jours

La terre était saupoudrée de rosé matinale, que les premiers rayons du soleil n'avaient pas fait disparaître. L'air était léger et frais, une légère brume balayait la plaine créant un décor mystique. Tout était calme, pas de bruit, la nature paraissait figée en se début de journée, le soleil se levait à peine , la lune brillait encore sur le ciel qui se teintait de couleurs magnifiques, du bleu foncé au bleu clair avec des tons rose et orange mais aussi violacé. C'était un beau tableau qui s'ouvrait devant les yeux clairs d'un être au corps fin et grand, habillait d'une cape de voyage, de guêtres de cuire lacés très serrés sur ces mollets, son visage n'était qu'à peine visible la capuche de sa cape étant mise et le soleil persans à peine la brume. L'homme était immobile les yeux rivaient vers le lointain. A ces côtés un destrier robuste, de robe sombre, les crins ondulant légèrement, ces yeux noirs en amande brillant, son poitrail était imposant, tout son corps était maculé de gouttes de sueur, sûrement du à un galop effréné, ses oreilles bougeaient cherchant le moindre bruit suspect dans ce silence. Son harnachement était sommaire: une selle et une bride, mais les deux très brillamment ciselé et surpiqué de fil d'or et d'argent, le mors brillait et les montants des sangles aussi, le cuir de la selle et de la bride était foncé se mariant parfaitement avec la robe du cheval.
L'homme ne bougeait pas et son compagnon non plus. Ils étaient mystérieux ainsi planté dans une brume matinale, loin des chemins et des routes. A chacune de leurs expirations s'envolait un léger nuage de vapeur blanche.
Après de longues minutes, l'homme remonta en selle avec légèreté. Son destrier ronfla légèrement et à la plus petite pression de son cavalier pris un galop léger, ses mouvements étaient fluides et majestueux. La cadence était rapide mais pas trop. Le galop de l'animal troublait le silence des lieux mais restait discret.
Les rayons du soleil perçaient à présent la brume qui disparaissait. L'homme et le cheval apparaissaient à présent distinctement, l'homme possédait des yeux en amande de couleur foncé, ses cheveux avait une couleur brune et les traits de son visage étaient fin et jeune. Son cheval était de robe baie foncé avec des reflets légèrement alezan, il portait sur son front une large liste, et sur trois de ses pattes des balzanes arrivant à peu près jusqu'aux genoux ce qui donnait de loin l'impression que l'on lui avait mis des bandes.
Ils traversèrent une rivière, une plaine, puis entrèrent dans une forêt aux arbres impressionnant mélange de boulots, de chênes et de quelques pins.Ils avançaient loin des routes ce qui rendaient leur avancé plutôt difficile.
Le soleil était haut quand ils s'arrêtèrent, l'homme s'obstinait à garder la capuche de sa cape mise sur sa tête. Son cheval moussait sur le poitrail et au niveau des flancs. L'homme le mena à un petit ruisseau et le laissa se désaltérait. Il dessangla la selle et le bouchonna avec une poignée d'épines et d'herbes ramassaient par terre. L'homme s'assit contre un arbre après avoir sortit d'une pochette accroché à la selle un morceau de pain et de viande séchée qui ne paraissait pas très frais. Ils restèrent sur place tous l'après midi et l'homme établi son campement pour le soir à cet endroit. Il dessella son cheval, posant soigneusement bride et selle au sol, le laissant libre de ses mouvements. La nuit prévoyait d'être fraîche, mais il ne fit pas de feu et se contenta du tapis de selle comme couverture. Il regarda autour de lui regardant son cheval puis le peu de ciel qu'il pouvait apercevoir entre la cime des arbres.
Il s'endormit, mais que d'un oeil, au moindre bruit autre que celui de son cheval il était prêt à se lever d'un bond. Mais durant la nuit à part quelques chouettes et autres animaux nocturnes rien ne troubla son repos. Il se leva bien avant l'ombre sella son cheval qui était resté près de lui et monta en selle prêt à reprendre la route.
Mais avant de talonner son cheval il sortit un bout de papier laissé dans une des sacoche et un outils ressemblant fortement à une boussole, mais des dessins divers l'ornaient et à la place de l'aiguille se trouver un rayon de lumière de différentes couleurs. Il ouvrit le papier où se trouvait en réalité une carte on distinguer au nord des montagnes, vers l'est une grande surface d'eau sûrement la mer, à l'ouest quelque chose de désertique, et au sud des volcans, des plaines et des lacs. Beaucoup de noms de villes apparaissaient plusieurs paraissaient luire d'une lumière, leur nom était: Valconte, Estercastel, et Ordetem. Une croix se trouver sur le nom Ordetem c'était une ville à peu près au centre de la carte. L'homme positionna sa drôle de boussole, et après quelque observation fit volter son cheval sur place et partis au galop à travers la forêt. La forêt était sombre et la clarté de la lune perçait à peine la cime des arbres, pourtant ils se déplaçait à vive allure. A aucun moment le cheval ne buta ou manqua de se prendre une racine, alors que dans la noirceur de la forêt le pas aurait était plus conseiller par n'importe quel homme connaissant les chevaux. La forêt paraissait sans fin. Le galop ne ralenti pas, malgré que le cheval commence à respirer bruyamment et que ses flancs, son poitrail et son encolure soient trempés de sueur et moussant un peu, les naseaux du cheval étaient ouvert. Ces efforts pour garder le galop paraissaient intenses, surtout qu'à chaque fois qu'il ralentissait l'homme serait les jambes pour l'invitait à ne pas ralentir. Vers midi alors que le soleil était au zénith, et que sa lumière perçait la cime des arbres le cavalier consenti à ralentir. Il ne devait pas connaître le dicton disant que "qui veux aller loin ménage sa monture". Le cheval repassa au pas sans s'en faire prié, il avait tous de même garder une allure noble et élégante. L'homme reprit le galop une heure plus tard jusqu'au soir, où il ne fit pas de halte et mangea sur sa monture. Ce périple loin des routes dura trois jours et deux nuits après la dernière escale. Le pauvre cheval était exténué, ses poils était collé sur son corps par la sueur et la poussière, ses genoux était engorgé et ses tendons était chaud et douloureux, son poitrail se soulevait à vive allure, de ses naseaux sortaient de petites gouttelettes rouge. Enfin ils arrivèrent en vu d'une ville, ils retrouvèrent la route et s'engagèrent à l'interieur des remparts les gens qui croisait nos deux compères se retournaient regardant la bête fourbu garder son élégance et s'avancer entre eux. Son cavalier rester le visage à moitié couvert pas sa capuche qu'il n'avait jamais enlevé de tous son périple, il était droit en selle les yeux rivé droit devant lui. Ils empruntèrent plusieurs rue et marché il s'arrêtèrent quelques instant a une fontaine pour repartir en direction du centre de la ville: le château. Ils passèrent le pont dès qu'il eut fait un pas sur le pond le cheval parut revigoré et pris une belle allure soutenu malgré ses courbatures. Un peloton de garde les accueilli a l'intérieur dans la grande cour le cavalier sauta a terre et pour la première foi laissa tombé sa capuche. Ce n'était pas un homme mais une femme qui avait chevauché ses allure masculine venait du fait qu'elle portait une armure. Son visage était fermé et avant de s'occuper des gardes elle se baissa pour regardait l'allure de son cheval. Elle massa doucement ses tendons le dessangla avant de lui faire une caresse sur l'encolure.
"Tu en as bien du courage Flèc" Lui dit elle amicalement d'une voix douce et féminine.

pardonnez mes fautes d'orthographes
vous pensez quoi de se début?? je continue???
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mimib
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeMar 17 Avr - 14:10

besoin d'un avis pleaze vous en pensez quoi?? je la continue ou pas cette histoire???
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mimib
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeJeu 19 Avr - 10:51

merci de répondre a parament sa plai pas...................
c'est trop long???
c'est nul??
c'est plien de faute??, oué bon sa je m'en doute...
c'est incompréensible???

dite moi se que vous en pensez
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Kangyn
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeJeu 19 Avr - 11:21

Franchement continu j'adoreuxxx !!
Je n'ai pas regarder les fautes, j'ai juste lu et j'adoreuxxx !! Razz
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mimib
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeJeu 19 Avr - 13:35

^^ oki bah je la continue ^^
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mimib
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeJeu 19 Avr - 13:48

la suite

La jeune femme tendit les rênes de son étalon de robe sombre à un lad qui était arrivé pour emmener la bête dans les écuries. Ceci fait elle se tourna vers les gardes les dévisageant, ils étaient au garde à vous immobile les yeux fixés sur elle, leurs armures luisaient, parfaitement propre. Un blason se détachait, en or, au niveau du coeur sur leurs armures, au centre de ce blason, brillait une plume d'or et à ses côtés un phénix les ailles ouvertes près à s'envoler. L'un des gardes, sûrement le plus gradé, prit enfin la parole d'une voix pleine de loyauté et de soumission: "Nous sommes heureux de vous accueillir Ma dame". La jeune femme fit presque une grimace à entendre le "ma dame", puis elle se dirigea vers les marches d'un grand escalier sans demander quoique ce soit aux gardes. Ceux-ci la suivirent marchant derrière elle, à 2 mètre en retrait comme selon le protocole. Ils traversèrent plusieurs couloir et antichambre. Il croisèrent peu de monde à part quelques valets qui firent des révérences bien basse à leur passage. L'intérieur du château était frais mais joliment décoré à chaque endroit un objet rappelé la richesse des propriétaires des lieux. La jeune femme paraissait presque dégoûter à cette vue de tant d'objet sans utilité, mais elle continua à marcher lentement droite et noble. Bientôt ils parvinrent devant une large porte de bois précieux, où le blason apparaissait avec des détails impressionnant. Deux hommes ouvrirent les portes pour laisser le passage à la jeune femme, dès l'ouverture des portes une odeur accueillante de fleur se faufila dans le couloir. La salle était claire, comparait au couloir quelque peu sombre. Tous ceux ce trouvant dans cette salle se retournèrent et dévisagèrent cette voyageuse en armure, qui s'avançait parmi eux, recouverte de poussières et de crase, pourtant nombreux d'entre eux lui firent une révérence. Au fond de la pièce dans un rayon de lumière on apercevait un trône imposant par sa taille mais aussi par sa beauté. Le bois du trône paraissait à la fois léger et robuste de magnifiques décorations étaient ciselées dans le bois, de magnifiques pierres précieuses avaient été incrustées dans ce bois même, et de nombreux motifs d'or et d'argent apparaissaient, un tissus rouge sur le siège rendait le trône confortable. La jeune femme s'avança jusqu'aux marches devant le trône, là elle s'agenouilla face à un homme plongé dans la lumière, une couronne simple,au premier regard, était déposé sur sa tête, il tenait d'ailleurs sa tête dans une main, il était presque avachi sur son trône, il était assez gros et sa beauté ,même s'il était interdit de l'avouer, n'était pas son point fort. La jeune femme se releva avant même qu'il lui ai permit se qui arracha chez le roi, car s'en était un, une grimace, elle venait de lui faire un affront publique n'importe quels hommes auraient été tué sur le champs, mais il ne dit rien peut être avait il trop besoin de cette jeune femme pour la tuer. La jeune femme pris la parole recouvrant les chuchotements qui s'élevaient de la salle.
" Bonjours messire" dit elle d'une voix beaucoup moins charmante et féminine que quand elle s'était adressé à son cheval un peu plus tôt.
" Que me vaut cette entrée?" demanda le roi dont la voix montrait son énervement d'être déranger et de latitude de la jeune femme.
" Votre majesté m'avait mise au défi un défi que j'ai relevé sans peine" dit elle d'un ton moqueur et fière. A ce ton le roi se redressa, et dans son regard on lu de la colère.
" Je vous prierais de bien rapidement vous rappelait les devoir que vous avez envers moi et de cessé de me défier. Bien montrer moi la preuve que vous y êtes parvenue a se défi." dit il ironiquement il y croyait a peine qu'elle est réussit, pas un homme y était parvenue avant elle, il l'avait d'ailleurs envoyait là bas pour se débarrasser de cette gène.
"voilà messire" dit elle en sortant de son armure une plume d'or fin qui brillait d'une force impressionnante. Toute la salle fut parcouru de frisson, et un silence impressionnant ce fit entendre même le roi paraissait étonné mais plus qu'étonner il paraissait énervé qu'elle est réussit. Il se leva et lui pris la plume des mains il fit un geste et les grandes portes se fermèrent emprisonnant tous le monde a l'intérieur de la salle. Des gardes armaient jusqu'au dents apparurent encerclant la jeune femme qui fut prise au dépourvu. Elle lança un regard noir au roi devant elle, puis elle se retourna dégainant une épées, dont la lame était fine et aiguisé, la poignée était en argent quelque motif s'y dessiner mais rien n'y était incrusté, elle était légère et très maniable. La jeune femme dévisagea ses adversaire qui était une petite trentaine elle n'avait aucunes chance de s'échapper pas la plus petite issus paraissait possible elle devait les affronter de front et seule. Tous les membres de la noblesse présent dans la salle c'était écarter et regardait le spectacle le sourire aux lèvres même ceux qui lui avait esquisser une révérence, semblait à présent se rire d'elle. La jeune femme regarda par dessus son épaule le roi qui riait presque de l'imaginait mourir devant ces yeux, la plume d'or dans ces mains brillait déjà d'une force moins importante même terne. Elle esquissa une sourire, et dans un éclaire de lumière la plume d'or était devenu poussière après avoir perdu peu à peu son éclat, à cet instant, alors que tous était étonné et regardait le roi qui s'était levé furieux et surpris, elle fonça sur les gardes qui ne s'y attendant pas ou peu eurent rapidement la gorge saignante et leur corps étendu, seulement elle en avait étendu que trois par effet de surprise maintenant il se ruer tous sur elle, mais il n'était plus aussi bien structurer qu'au départ l'effet de surprise les avait quelque peu désorganiser. Les chocs d'épées et les cris enrouler la pièce, elle était perdu, et déjà plusieurs grosses blessures apparaissaient, de nombreuses entailles à des endroits différents. Elle était vive mais rien ne l'aurait sauvait au sort qui l'attendait dans quelques minutes, une épée ou plusieurs sûrement s'abattrait sur elle et briserait ces défenses et l'étendrait par terre immobile à jamais. Pourtant elle voulait vivre et cette envie lui tiraillé les tripes l'aidant à frapper avec son épée malgré les coups qui lui pleuvaient dessus a chaque instant. Plusieurs épée s'abattirent un cri de douleur déchira le chaos, le silence, le bruit d'une chute lente et lourde, un grognement de douleur lorsque le corps toucha le sol, elle était à terre plusieurs entaille impressionnante laissant couler un sang rouge qui se déversait déjà sur le marbre froid du sol. Tous était immobile la regardant mourir sans l'achever tous souriaient a la voir ainsi souffrir. Dans les yeux de la jeune femme brillait de nombreuse étoile de vie qui s'éteignaient peu à peu, mais une flamme, elle ne paraissait pas disparaître, et malgré la douleur et la respiration suffocante, elle restait en vie étendu au sol entourait d'homme en arme. Pas de drôle de pouvoir ne virent à sa rescousse, pas même un brave homme qui aurai un faible pour elle, pas de d'amie, pas de cheval, elle était là seule allongeait au sol mourante. Tous et rien la maintenait si longtemps en vie. Un sourire se dessina sur son visage, puis un rire lui échappa un rire emplis de vie et de joie et pourtant elle était blessée et mourante. L'épée serrée au creux de sa main, sa main tellement fermait sur la poignée de l'épée que tous ses phalanges étaient blanches, dans un élan de haine, de vie, de douleur, de cri, dans un chaos total elle se releva épée droit devant elle, elle venait de trouver une faille et s'enfoncer a l'intérieur échappant a ses adversaires. L'envie de vivre qui l'animer la fit courir aussi vite que si elle n'avait pas était blessé elle traversa toute la salle. Quand elle arriva vers les grandes portes fermées elle leva haut l'épée prête à combattre les deux hommes qui la tenaient close. Elle parvient a étalé au sol les deux hommes avec une rapidité et une agilité féline. Elle entrebâilla vite les portes et se glissa dans l'entrebâillement échappant de justesse a plusieurs coup. elle traversa a toute allure les couloirs qu'elle avait enpreinté a son arrivée, elle toussait du sang, et ses blessures semblaient un flot continuelle de sang. Bientôt elle sortit de ce dédale interminable de couloirs, a l'air libre elle se précipita vers les écuries. Flec était allongé, il portait des bandes à plusieurs de ses membres, il était inapte a un galop effréné elle le regarda donc tristement et dit d'une voix faible
"Adieux mon ami" l'étalon la regarda le regard triste et fatigué. elle fila a travers les écuries aussi vite que ses blessures lui permettaient. Elle trouva enfin un cheval qui paraissait frai elle attrapa son licol et le tira vers la sortie de son box, le cheval la suivie surprit. La jeune femme ne pris pas le temps de prendre sa selle et sa bride elle laissa tous et grimpa a cru. Des bruit de course se faisait entendre il était là il arrivait il fallait qu'elle fut a travers la ville, mais impossible de sortir par devant il fallait qu'elle trouve une autre sortie. Elle talonna son cheval qui ne pris pas aussi rapidement que Flec le galop, elle s'engagea à travers les écurie au galop couché sur l'encolure du cheval. Son visage crispé de douleur. Comment sortir de ce château c'était bien un dilemme pour elle à ce moment là. Elle y parvient enfin et s'engagea au galop dans la ville les gardes a cheval à sa suite. Elle tenait a peine a cheval ,et tous tournait dans sa tête, elle était prise de vertiges, elle s'agrippait tant bien que mal à l'encolure du cheval.
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CindyShady
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeMer 25 Avr - 17:06

Au niveau de l'histoire c'est sympa et ça nous tiens en haleine, j'aime bien Smile
Après, c'est plus au niveau syntaxe/ortho qu'il faut bosser, car tu fais souvent des répétitions, et des choses sont mal tournées ou trop familière (sans négation par exemple)
Un truc qui me gène, c'est qu'elle se relève comme si de rien était alors qu'elle était mourrante.
Tu ne décris pas beaucoup son armure, mais si c'est une armure de chevalier, un homme en parfaite forme n'arrivait pas à se relever une fois à terre avec ça. Alors une femme blessée à mort ça me parait peu vraisemblable :/
Wala sinon je le redis, l'histoire est bien faite Smile
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Woekath
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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeMer 6 Juin - 6:56

La terre était saupoudrée de rosée matinale, que les premiers rayons du soleil n'avaient pas fait disparaître. L'air était léger et frais, une légère brume balayait la plaine créant un décor mystique. Tout était calme, pas de bruit (familier>familier), la nature paraissait figée en ce début de journée, le soleil se levait à peine, la lune brillait encore sur (dans) le ciel qui se teintait de couleurs magnifiques, du bleu foncé au bleu clair avec des tons rose et orange mais aussi violacé. C'était un beau tableau qui s'ouvrait devant les yeux clairs d'un être au corps fin et grand, habillé d'une cape de voyage, de guêtres de cuire lacés très serrés sur ces mollets, son visage n'était qu'à peine visible sous la capuche de sa cape étant mise (rabattue sur sa tête) et le soleil persans à peine la brume (aucun rapport). L'homme était immobile les yeux rivés vers le lointain. A ses côtés un destrier robuste, de robe sombre, les crins ondulant légèrement, ces yeux noirs en amande brillant, son poitrail était imposant, tout son corps était maculé de gouttes de sueur, sûrement du à un galop effréné, ses oreilles bougeaient cherchant le moindre bruit suspect dans ce silence. Son harnachement était sommaire: une selle et une bride, mais les deux très brillamment ciselé et surpiqué de fil d'or et d'argent, le mors brillait et les montants des sangles aussi, le cuir de la selle et de la bride était foncé se mariant parfaitement avec la robe du cheval.
L'homme ne bougeait pas et son compagnon non plus. Ils étaient mystérieux ainsi planté dans une brume matinale, loin des chemins et des routes. A chacune de leurs expirations s'envolait un léger nuage de vapeur blanche.
Après de longues minutes, l'homme remonta en selle avec légèreté. Son destrier ronfla légèrement et à la plus petite pression de son cavalier pris un galop léger, ses mouvements étaient fluides et majestueux. La cadence était rapide mais pas trop. Le galop de l'animal troublait le silence des lieux mais restait discret.
Les rayons du soleil perçaient à présent la brume qui disparaissait. L'homme et le cheval apparaissaient à présent distinctement, l'homme possédait des yeux en amande de couleur foncé, ses cheveux avaient une couleur brune et les traits de son visage étaient fin et jeune. Son cheval était de robe baie foncé avec des reflets légèrement alezan, il portait sur son front une large liste, et sur trois de ses pattes des balzanes arrivant à peu près jusqu'aux genoux ce qui donnait de loin l'impression que l'on lui avait mis des bandes.
Ils traversèrent une rivière, une plaine, puis entrèrent dans une forêt aux arbres impressionnant mélange de boulots, de chênes et de quelques pins. Ils avançaient loin des routes ce qui rendaient leur avancé plutôt difficile.
Le soleil était haut quand ils s'arrêtèrent, l'homme s'obstinait à garder la capuche de sa cape mise sur sa tête. Son cheval moussait (FAMLIER !!) sur le poitrail et au niveau des flancs. L'homme le mena à un petit ruisseau et le laissa se désaltérer. Il dessangla la selle et le bouchonna avec une poignée d'épines et d'herbes ramassées par terre. L'homme s'assis contre un arbre après avoir sorti d'une pochette accrochée à la selle un morceau de pain et de viande séchée qui ne paraissaient pas très frais. Ils restèrent sur place tous l'après midi et l'homme établi son campement pour le soir à cet endroit. Il dessella son cheval, posant soigneusement bride et selle au sol, le laissant libre de ses mouvements. La nuit prévoyait d'être fraîche, mais il ne fit pas de feu et se contenta du tapis de selle comme couverture. Il regarda autour de lui regardantson cheval puis le peu de ciel (flou) qu'il pouvait apercevoir entre la cime des arbres.
Il s'endormit, mais que d'un oeil, au moindre bruit autre que celui de son cheval il était prêt à se lever d'un bond. Mais durant la nuit à part quelques chouettes et autres animaux nocturnes rien ne troubla son repos. Il se leva bien avant l'ombre sella son cheval qui était resté près de lui et monta en selle prêt à reprendre la route.
Mais avant de talonner son cheval il sortit un bout de papier laissé dans une des sacoches et un outil ressemblant fortement à une boussole, mais des dessins divers l'ornaient et à la place de l'aiguille se trouvait un rayon de lumière de différentes couleurs. Il ouvrit le papier où se trouvait en réalité une carte. On distinguait au nord des montagnes, vers l'est une grande surface d'eau ; sûrement la mer, à l'ouest quelque chose de désertique, et au sud des volcans, des plaines et des lacs. Beaucoup de noms de villes apparaissaient. Plusieurs paraissaient luire d'une lumière, leur nom étaient: Valconte, Estercastel, et Ordetem. Une croix se trouvait sur le nom Ordetem c'était une ville à peu près au centre de la carte. L'homme positionna sa drôle de boussole, et après quelques observations fit volter son cheval sur place et parti au galop à travers la forêt. La forêt était sombre et la clarté de la lune perçait à peine la cime des arbres, pourtant ils se déplaçaient à vive allure. A aucun moment le cheval ne buta ou manqua de se prendre une racine, alors que dans la noirceur de la forêt le pas aurait été plus conseillé par n'importe quel homme connaissant (un homme de cheval) les chevaux. La forêt paraissait sans fin. Le galop ne ralenti pas, malgré que le cheval commence à respirer bruyamment et que ses flancs, son poitrail et son encolure soient trempés de sueur et moussant un peu, les naseaux du cheval étaient ouvert. Ces efforts pour garder le galop paraissaient intenses, surtout qu'à chaque fois qu'il ralentissait l'homme serait les jambes pour l'inviter à ne pas ralentir.



Vers midi alors que le soleil était au zénith, et que sa lumière perçait la cime des arbres le cavalier consenti à ralentir ( a baisser l’allure). Il ne devait pas connaître le dicton disant que "qui veux aller loin ménage sa monture". Le cheval repassa au pas sans se faire prier, il avait tout de même gardé une allure noble et élégante. L'homme reprit le galop une heure plus tard jusqu'au soir, où il ne fit pas de halte et mangea sur sa monture. Ce périple loin des routes dura trois jours et deux nuits après la dernière escale. Le pauvre cheval était exténué, ses poils étaient collés sur son corps par la sueur et la poussière, ses genoux était engorgé et ses tendons étaient chaud et douloureux, son poitrail se soulevait à vive allure, de ses naseaux sortaient de petites gouttelettes rouge. Enfin ils arrivèrent en vue d'une ville, ils retrouvèrent la route et s'engagèrent à l'intérieur des remparts. Les gens qui croisaient nos deux compères se retournaient regardant la bête fourbue garder son élégance et s'avancer entre eux. Son cavalier restait le visage à moitié couvert pas sa capuche qu'il n'avait jamais enlevé de tout son périple, il était droit en selle les yeux rivés droit devant lui. Ils empruntèrent plusieurs rues et marchés, il s'arrêtèrent quelques instants a une fontaine pour repartir en direction du centre de la ville: le château. Ils passèrent le pont et dès qu'il eut fait un pas sur le pond, le cheval parut revigoré et pris une belle allure soutenue malgré ses courbatures. Un peloton de garde les accueillis à l'intérieur dans la grande cour. Le cavalier sauta a terre et pour la première foi et laissa tomber sa capuche.

Ce n'était pas un homme mais une femme qui avait chevauché. Ses allures masculines venaient du fait qu'elle portait une armure. Son visage était fermé et avant de s'occuper des gardes elle se baissa pour regarder l'allure de son cheval. Elle massa doucement ses tendons le dessangla avant de lui faire une caresse sur l'encolure.
"Tu en as bien du courage Flèc " Lui dit elle amicalement d'une voix douce et féminine.



Bon, je te note ^^



Tout d’abord tu n’as pas tellement de fautes d’orthographe et j’ai vu largement pire ^^ Tu as seulement un problème, comme beaucoup de personnes, avec le participe passé, l’imparfait et l’infinitif mais c’est compréhensible =P

D’ailleurs je pense en avoir oublié parce que j’étais absorbée par ma lecture ^^
Mon impression d’ensemble est plutôt très bonne et j’aime bien ! ^^
Sinon c’est exact tu fait des répétitions assez gênantes, j’en relève quelques unes :
« Ce périple loin des routes dura trois jours et deux nuits après la dernière escale. Le pauvre cheval était exténué, ses poils étaient………le visage à moitié couvert pas sa capuche qu'il n'avait jamais enlevé de tout son périple »
« Il regardaautour de lui regardant son cheval »

> Tu ferais mieux d’utiliser (la première fois du moins) le verbe « scruter »
Ensuite il faut que tu arrêtes de mettre l’expression « la cime des arbres ». C’est sympa mais 3 fois dans un texte de même pas deux pages, ça fait beaucoup.
Puis dans tes premières phrases tu utilises énormément le verbe « briller » et tout ce qui s’y rapporte !!

Enfin j’ai relevé « luire d’une lumière » ça fait un peu répétitions =P

J’oubliais ! Capuche est utilisé a tous bouts de champs ^^

Ensuite dans un registre différent on trouve les familiarités, j’en ai trouvé pas mal ! D’ailleurs j’ai mis un petit (FAMILIER) a côté =P

Voila, donc après :
J’avais absolument rien compris à cette phrase avant de mettre ce point !! « Ce n'était pas un homme mais une femme qui avait chevauché. Ses allures masculines venaient du fait qu'elle portait une armure »
Tu as un problème de pontuation ! Si tu veux je peux t’aider mais il faut demander ^^

Et dernièrement je trouve que toutes ces descriptions d’harnachement a longueur de lignes, c’est un peu lourd !
Donc je note ce premier chapitre ^^
Très franchement je mettrais … 16
Donc 1,6/2
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Woekath
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Woekath


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MessageSujet: Re: juste un début sans titre [3]   juste un début sans titre [3] Icon_minitimeMer 6 Juin - 6:57

La jeune femme tendit les rênes de son étalon de robe sombre à un lad qui était arrivé pour emmener la bête dans les écuries (aux écuries est moins maladroit). Ceci fait, elle se tourna vers les gardes, les dévisageant, ils étaient au garde-à-vous immobile les yeux fixés sur elle, leurs armures luisaient, parfaitement propre. Un blason se détachait, en or, au niveau du coeur sur leurs armures, au centre de ce blason, brillait une plume d'or et à ses côtés un phénix les ailes ouvertes, près à s'envoler. L'un des gardes, sûrement le plus gradé, prit enfin la parole d'une voix pleine de loyauté et de soumission: "Nous sommes heureux de vous accueillir Ma dame". La jeune femme fit presque une grimace à entendre le "ma dame"(très maladroit), puis elle se dirigea vers les marches d'un grand escalier sans demander quoique ce soit aux gardes. Ceux-ci la suivirent marchant derrière elle, à 2 mètre en retrait comme (juste une virgule) selon le protocole. Ils traversèrent plusieurs couloirs et antichambres. Ils croisèrent peu de monde (mis) à part quelques valets qui firent des révérences bien basses à leur passage. L'intérieur du château était frais mais joliment décoré. A chaque endroit un objet rappelait la richesse des propriétaires des lieux. La jeune femme paraissait presque dégoûtée à cette (la vue) vue de tant d'objet sans utilité, mais elle continua à marcher lentement droite et noble. Bientôt ils parvinrent devant une large porte de bois précieux, où le blason apparaissait avec des détails impressionnant. Deux hommes ouvrirent les portes pour laisser le passage à la jeune femme, dès l'ouverture des portes une odeur accueillante de fleur se faufila dans le couloir. La salle était claire, comparée au couloir quelque peu sombre. Tous ceux ce trouvant dans cette salle se retournèrent et dévisagèrent cette voyageuse en armure, qui s'avançait parmi eux, recouverte de poussières et de crase, pourtant nombreux d'entre eux lui firent une révérence. Au fond de la pièce dans un rayon de lumière on apercevait un trône imposant par sa taille mais aussi par sa beauté. Le bois du trône paraissait à la fois léger et robuste de magnifiques décorations étaient ciselées dans le bois, de magnifiques pierres précieuses avaient été incrustées dans le bois même, et de nombreux motifs d'or et d'argentapparaissaient,un tissu rouge sur le siège rendait le trône confortable. La jeune femme s'avança jusqu'aux marches devant (en face du) le trône, là, elle s'agenouilla face à un homme plongé dans la lumière, une couronne simple, au premier regard, était déposé sur sa tête, il tenait d'ailleurs sa tête dans une main, il était presque avachi sur son trône et était assez gros. Enfin sa beauté, même s'il était interdit de l'avouer, n'était pas son point fort. La jeune femme se releva avant même qu'il lui ai permit se qui arracha chez le roi, car s'en était un, une grimace, elle venait de lui faire un affront publique n'importe quel homme auraient été tué sur le champs, mais il ne dit rien peut être avait il trop besoin de cette jeune femme pour la tuer. La jeune femme prit la parole recouvrant les chuchotements qui s'élevaient de la salle.
" Bonjours messire" dit elle d'une voix beaucoup moins charmante et féminine que quand elle s'était adressé à son cheval un peu plus tôt.
" Que me vaut cette entrée?" demanda le roi dont la voix montrait son énervement d'être dérangé et de l’attitude de la jeune femme.
" Votre majesté m'avait mise au défi, un défi que j'ai relevé sans peine" dit elle d'un ton moqueur et fière.

A ce ton le roi se redressa, et dans son regard on lu de la colère.
" Je vous prierais de bien rapidement vous rappelait les devoir que vous avez envers moi et de cessé de me défier. Bien montrer moi la preuve que vous y êtes parvenue a se défi." dit il ironiquement il y croyait a peine qu'elle est réussit, pas un homme y était parvenue avant elle, il l'avait d'ailleurs envoyait là bas pour se débarrasser de cette gène.
"Voilà messire" dit elle en sortant de son armure une plume d'or fine qui brillait d'une force impressionnante. Toute la salle fut parcourue de frisson, et un silence impressionnant ce fit entendre. Même le roi paraissait étonné mais plus qu'étonné, il paraissait énervé qu'elle ai réussit. Il se leva et lui pris la plume des mains. Il fit un geste et les grandes portes se fermèrent emprisonnant tous le monde à l'intérieur de la salle. Des gardes armés jusqu'aux dents apparurent encerclant la jeune femme qui fut prise au dépourvu. Elle lança un regard noir au roi devant elle, puis elle se retourna dégainant une épée, dont la lame était fine et aiguisée, la poignée était en argent. Quelques motifs s'y dessinaient mais rien n'y était incrusté, elle était légère et très maniable. La jeune femme dévisagea ses adversaires qui étaient une petite trentaine. Elle n'avait aucune chance de s'échapper. Pas la plus petite issue paraissait possible elle devait les affronter de front et seule. Tous les membres de la noblesse présents dans la salle s'étaient écartés et regardaient le spectacle le sourire aux lèvres. Même ceux qui (lui) avaient esquissé une révérence, semblaient à présent se rire d'elle. La jeune femme regarda par dessus son épaule le roi qui riait presque de l'imaginer mourir devant ses yeux, la plume d'or dans ces mains brillait déjà d'une force moins importante, même terne. Elle esquissa un sourire, et dans un éclair de lumière la plume d'or était devenue poussière après avoir perdu peu à peu son éclat, à cet instant, alors que tous étaient étonnés et regardaient le roi qui s'était levé furieux et surpris. Elle fonça sur les gardes qui ne s'y attendant pas ou peu eurent rapidement la gorge saignante et leur corps étendu, seulement elle en avait étendu que trois par effet de surprise maintenant ils se ruaient tous sur elle, mais ils n'étaient plus aussi bien structurés qu'au départ. L'effet de surprise les avait quelque peu désorganisé. Les chocs d'épées et les cris enroulerla pièce, elle était perdue, et déjà plusieurs grosses blessures apparaissaient, de nombreuses entailles à des endroits différents. Elle était vive mais rien ne l'aurait sauvé du sort qui l'attendait dans quelques minutes, quand une épée ou plusieurs sûrement s'abattraient sur elle et briseraient ses défenses et l'étendraient par terre immobile à jamais. Pourtant elle voulait vivre et cette envie lui tiraillait les tripes l'aidant à frapper avec son épée malgré les coups qui lui pleuvaient dessus à chaque instant. Plusieurs épées s'abattirent, un cri de douleur déchira le chaos, le silence, le bruit d'une chute lente et lourde, un grognement de douleur lorsque le corps toucha le sol, elle était à terre plusieurs entailles impressionnantes laissant couler un sang rouge qui se déversait déjà sur le marbre froid du sol. Tous étaient immobiles la regardant mourir sans l'achever. Tous souriaient de la voir ainsi souffrir. Dans les yeux de la jeune femme brillait de nombreuses étoiles de vie qui s'éteignaient peu à peu, mais une flamme, elle ne paraissait pas disparaître, et malgré sa douleur et sa respiration suffocante, elle restait en vie étendue au sol, entourée d'homme en arme. Pas d’étrange pouvoir ne vint à sa rescousse, pas même un brave homme qui aurait un faible pour elle, pas d'amie, pas de cheval, elle était là, seule allongée au sol, mourante. Tout et rien la maintenait si longtemps en vie. Un sourire se dessina sur son visage, puis un rire lui échappa, un rire emplis de vie et de joie et pourtant elle était blessée et mourante. L'épée serrée au creux de sa main, sa main tellement fermée sur la poignée de l'épée que toutes ses phalanges étaient blanches, dans un élan de haine, de vie, de douleur, de cri.



Pour te dire que je n’ai même pas lu la suite car c’est trop invraisemblable comme la dis Cindy, c’est trop lourd une armure !!

J’ai beaucoup moins aimé que le premier chapitre par contre ^^

Beaucoup plus de faute de syntaxe, de ponctuation ce qui m’a vraiment lassé.

Ensuite tu fais énormément de répétitions que j’ai « italiqué »



Passons au cas par cas :

-« Elle fonça sur les gardes qui ne s'y attendant pas ou peu eurent rapidement la gorge saignante et leur corps étendu, seulement elle en avait étendu que trois par effet de surprise maintenant ils se ruaient tous sur elle, mais ils n'étaient plus aussi bien structurés qu'au départ. L'effet de surprise les avait quelque peu désorganisé. Les chocs d'épées et les cris enroulerla pièce »

Mets « elle en avait tué que trois » !! Et la deuxième expression que j’ai soulignée, ça ne veut rien dire ! Je ne comprends même pas le sens !

Ensuite dans le même petit morceau de texte tu écris deux fois « effets de surprise » change !

- « Quelques motifs s'y dessinaient mais rien n'y était incrusté » Très lourd !

- « Toute la salle fut parcourue de frisson, et un silence impressionnant ce fit entendre » Déjà « impressionnant » utilisé 40 fois… Ensuite, un silence ça ne se fait pas entendre !

- Gros problème : « A ce ton le roi se redressa, et dans son regard on lu de la colère.
" Je vous prierais de bien rapidement vous rappeler les devoirs que vous avez envers moi et de cesser de me défier. Bien, montrez moi la preuve que vous êtes parvenue a ce défi." dit il ironiquement. Il y croyait a peine qu'elle est réussit, pas un homme y était parvenue avant elle, il l'avait d'ailleurs envoyé là bas pour se débarrasser de cette gêneuse. » Ca c’est mieux.

- « … lui firent une révérence (courbèrent le dos). Au fond de la pièce dans un rayon de lumière on apercevait un trône imposant par sa taille mais aussi par sa beauté. Le bois du trône paraissait à la fois léger et robuste de magnifiques décorations étaient ciselées dans le bois, de magnifiques pierres précieuses avaient été incrustées dans le bois même, (évidemment, ils vont pas être incrustés pas dans le bois !!!) et de nombreux motifs d'or et d'argent apparaissaient (flou !!), »
Voila j’ai tout mis entre parenthèses.



Et pour finir :

La jeune femme fit presque une grimace à entendre le "ma dame", puis elle se dirigea vers les marches d'un grand escalier sans demander quoique ce soit aux gardes. Ceux-ci la suivirent marchant derrière elle, à 2 mètre en retrait comme »

C’est mieux : « La jeune femme fit presque une grimace quand elle entendit le « ma dame » »

Ensuite a la place du « comme » tu mets un virgule, ça va mieux ^^





Voila je te mets 14 paskeuh ça me plait pas et que c’est maladroit et de plus pas a la hauteur de ce que tu peux faire !

1,4/2
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