Chapitre I
Sur le table de chevêt de Sébastien était posé une paire de lunettes de soleil de sport, genre celle qui couvre l'entièreté d'un demi- crâne, celle qu'on met lorsqu'on va au ski. Il les aimait beaucoup ces lunettes, déjà parce sur lui ça lui allait bien et qu'en plus c'était une trouvaille, laissée par un skieur aux Diablerets, magnifiques montagnes en Suisse ( ou France? c'est près de la frontière il faut que je vérifie).
Sébastien dormait encore, il devait être environ six heure du matin, heure à laquelle on ne se lêve pas le dimanche matin, deuxième jour des grandes vacances.
Il avait la bouche ouverte, d'où sortait d'ailleur un filet de bave. Ses yeux verts roulait dans tout les sens, le rêve devait être mouvementé. Il bougait aussi quelque fois ses bras et ses jambes assez violament. Il était coiffé d'une tignasse brune ébourrifée et longue d'à peu près six centimètres. Il était d'un taille moyenne, environ un mètre septante.
Sa chambre était composée d'un lit, une armoire, un bureau et une ordinateur assez vieux mais sur lequel Sébastien pouvait passer des heures.
La porte s'ouvrit brusquement et une femme au court cheveux aussi ébourrifés que son fils. Elle brandissait un balais en poussant des hurlements de sioux. Au bout de ce balais, une pauvre petite créature aux poils blanc et soyeux. La bête affilée courait dans tout les sens espérant échapper aux coups du balais. Elle trouva enfin refuge sous le lit de Sébastien. Celui ci se réveilla en sursaut, son coeur battant la chamarade dans sa poitrine. Il hurla:
- Qu'est ce qu'il se passe nom de dieu??
La mère arreta de crier, elle s'agrippa à son balais comme si elle était atteinte d'un crise cardique, soufflant comme une vache qui aurait couru le 100 mètres sur des roulette.
- Figure toi qu'un bête pleine de poils est entrée dans la maison! Elle est là sous son lit! -
Sébastien se leva d'un bond et alla se réfugier derrière sa porte, faisant dépasser juste sa tête. Sa tête bouffie et ses yeux équarquillé lui donnait une espece de tête de mort vivant. Il se mit à quatres pattes sur la moquette et baissa la tête la posant contre le sol. Il regarda sous son lit et apercut une petite boule de poil blanche, recroquevillée sur elle même. Il ne pouvait dire de quel animal il sagit, c'était petit, ni ressemblant à un chat, ni à un lapin, plutôt à un écureil. Il le comtempla quelques instant, puis hausse les épaules regardant sa mère.
-Finira bien par sortir un jour ou l'autre... -
La mère ne répondis rien, encore sous le choc d'un "animal avec des poils", la chose la plus horrible qu'on puisse immaginer n'est ce pas?
Seb déscendit les escaliers d'un pas lourd, il n'était pas encore bien réveillé. Il arriva à la table du déjeune, ou evidemment à cette heure ci il n'y avait encore rien et s'assit sur une chaison comme un éléphant. Il soupira puis reste là de longue minute à regarder l'horloge faire des petits "tic! tac!". Les aiguilles avançait lentement, trop à son gout. Il soupira encore puis se leva après dix minutes de réveillage intensif. Il s'effrondra litéralement sur le canapé, prenant la télécomande en main et allumant une chaine débile, avec des programmes stupides qu'il ne regardait même pas. Un petit bruit le sorta de sa semi somnolence, il leva la tête et écouta attentivement chaque bruit. Des petits pas, avec de petites griffes progressait doucement sur le carrelage. Il leva la tête par dessus le canapé et aperçut la petite bête blanche, plus petite qu'un chat. Elle avait un long museau qui se terminait par un nez au formes rectangulaires et un museau noir. Au cou elle portait un collier, une pierre qui brillait pour être plus précis.
Sebastien se leva puis s'approcha, la boule de poiles surprise se mit à courir, mais Seb l'attrapa alors qu'elle avait faillit passer entre ses jambes.
Il la serra assez fort à cause de l'exitation. Puis il s'assit sur le canapé et entrouvrit les mains, lorsqu'il découvra qu'elle n'était plus là. Il regarda dans le vide comme un abrutit, pensant qu'il avait des illusions. Il seccoua sa tête sentant encore quelque chose dans ses mains. Il les ouvrit completement et découvrit logé au fond le collier avec la pierre. Cette pierre en question était carrée, grise mais en son centre un il avait un point en crystal vert aisin qu'un cerle aussi en crystal vert. Elle brillait au soleil, c'était très beau. Seb était loin de savoir ce qu'elle représentait, il ne comprenait pas le signe en son centre et ne cherchait pas à savoir plus loin. Il serra le pendentif dans sa main et l'emporta dans sa chambre. Il le plaça sur sa table de chevet, à coter de ses lunettes fashion.
Le soir vers minuit, Seb alla se coucher après un bon film. Il s'appréta à rentrer dans son lit lorsqu'il regarda la pierre de plus près. Le crystal en son centre bougeait très légerement, il tournait. Le cercle tournait lentement autour du point vert brillant qui tournait plus vite. Seb ouvrit la bouche comme un poisson, il ne comprenait rien à cette pierre bizard et un sorte d'angoisse monta en lui. Il observa cette pierre qui l'attirait et le repoussait. L'effet était relexant et stridant. Le grand cercle était l'opposé du petit, l'un apportait le bien l'autre la mal. Seb était attiré par les deux, ce qui fesait un juste milieu. Il comtempla sans plus pouvoir détacher son regard. POurtant ses yeux lui brulait et il aurait fait n'importe quoi pour jetter un coup d'oeil autre part. Les cercles tournaient de plus en plus vite. Son coeur s'emballait, il pensait très vite: un bombe? Un extraterestre? Un animal? Un pierre magique?
Rien ne convenait pour la décrire. Elle semblait être indéchiffrable et un infinie. Belle et laide à la fois.
Seb s'aggripa à son lit et commença à pousser des gémissement, ses poumons se tordait, l'étouffant presque. Puis enfin la pierre s'arreta de tourner, et il fut projetter à deux mètres dans la chambre. Il resta quelques minutes au sol, suffoquant, gémissant. Il avait mal partout, mal au coeur. Il avait cru mourrir sur le coup mais en même temps il se voyait vivre.